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La détection canine a fait preuve de son intérêt dans le diagnostic du cancer de prostate. L'objectif de cette étude était de fournir un algorithme, basé sur deux scores cliniques incluant la détection canine, pour faciliter la démarche diagnostique de cancer de la prostate ISUP ≥ 2 chez l'homme suspect de ce cancer. Les hommes suspects de cancer de prostate ont été inclus de novembre à avril 2023, et classés en deux groupes selon le résultat des biopsies de prostate. Huit variables binaires ont été a priori sélectionnées pour construire les deux scores : indice de masse corporel, antécédents familiaux, âge, statut tabagique, hypertension artérielle, toucher rectal, dosage du PSAtotal et IRM prostatique. Le ProstateDetectScore excluait le résultat de la détection canine tandis que le ProstateK9DetectScore l'incluait. Le poids de chaque variable retenue pour le calcul de chaque score était la partie entière de (10xβ), avec β le coefficient de la variable incluse dans une régression logistique multivariée. Au total, 151 patients ont été inclus, 78 avec un cancer de prostate ISUP ≥ 2, et 73 sans. Pour le ProstateDetectScore, un âge ≥ 70 ans, un toucher rectal anormal, une IRM prostatique PI-RADS ≥ 3, et une hypertension artérielle pesait 7, 16, 30, et 14 points respectivement. Pour le ProstateK9DetectScore, une détection canine positive, un âge ≥ 70 ans, un toucher rectal anormal, une IRM prostatique PI-RADS ≥ 3, et une hypertension artérielle pesait 36, 11, 23, 30, et 15 points respectivement. La démarche diagnostique commence par le calcul du ProstateDetectScore. S'il est supérieur à 30, le ProstateK9DetectScore doit être calculé. S'il est supérieur à 56, il y a forte suspicion de cancer de prostate ISUP ≥ 2 et une biopsie devrait être réalisée.[-]
La détection canine a fait preuve de son intérêt dans le diagnostic du cancer de prostate. L'objectif de cette étude était de fournir un algorithme, basé sur deux scores cliniques incluant la détection canine, pour faciliter la démarche diagnostique de cancer de la prostate ISUP ≥ 2 chez l'homme suspect de ce cancer. Les hommes suspects de cancer de prostate ont été inclus de novembre à avril 2023, et classés en deux groupes selon le résultat ...

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Le diagnostic du cancer de prostate repose sur les biopsies prostatiques, geste invasif et souvent mal vécu par le patient. L'olfaction canine est capable de détecter le cancer prostatique à partir de prélèvements d'urine. En complément de l'IRM prostatique, elle pourrait permettre d'éviter certaines biopsies inutiles. L'objectif était de comparer l'efficacité de l'olfaction canine pour le diagnostic du cancer de prostate par rapport aux résultats des biopsies et de l'IRM chez l'homme suspect de cancer de prostate. Étude prospective menée dans deux centres d'urologie et une école vétérinaire française. Les hommes suspects de cancer de prostate ont été inclus de novembre 2022 à avril 2023, et classés en deux groupes, selon le résultat des biopsies de prostate, cas et témoins. Leurs urines ont été recueillies et analysées par sept chiens à l'aide d'un dispositif Quick Sniff en double aveugle. La sensibilité, la spécificité, la valeur prédictive positive (VPP) et la valeur prédictive négative (VPN) de la détection canine pour le diagnostic de cancer de prostate ISUP ≥ 2 ont été mesurées et comparées à celle de l'IRM prostatique, par rapport aux biopsies prostatiques. 151 prélèvements d'urine ont été analysés par les sept chiens, 78 provenant de patients ayant un cancer de prostate ISUP ≥ 2, et 73 provenant de patients n'ayant pas de cancer de prostate ISUP ≥ 2. La sensibilité de la détection canine pour le diagnostic de cancer de prostate ISUP ≥ 2 variait de 54 à 85% avec 5 chiens au-dessus de 73%, et la spécificité variait de 68% à 87% avec 6 chiens au-dessus de 75%. Le coefficient de concordance kappa de l'IRM PI-RADS ≥ 3 était de 0,17 [-0,14 ; 0,17], de 0,20 [0,02-0,33] pour l'IRM PI-RADS ≥ 4 et de 0,64 [0,5-0,75] pour la détection canine par rapport à la biopsie prostatique. La détection canine est donc significativement plus concordante avec la biopsie prostatique que l'IRM prostatique. L'olfaction canine est une technique fiable, sûre et non invasive pour le diagnostic de cancer de prostate ISUP ≥ 2. En complément de l'IRM prostatique, elle pourrait influer sur la décision de réaliser des biopsies prostatiques et permettre d'éviter un certain nombre de biopsies inutiles.[-]
Le diagnostic du cancer de prostate repose sur les biopsies prostatiques, geste invasif et souvent mal vécu par le patient. L'olfaction canine est capable de détecter le cancer prostatique à partir de prélèvements d'urine. En complément de l'IRM prostatique, elle pourrait permettre d'éviter certaines biopsies inutiles. L'objectif était de comparer l'efficacité de l'olfaction canine pour le diagnostic du cancer de prostate par rapport aux ...

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Les tumeurs sont des affections relativement rares chez le cheval, mais qui peuvent être particulièrement débilitantes et impacter la physiologie des différents systèmes, et notamment celle du système reproducteur. Les temps de l'examen clinique constituent, chez l'étalon sain comme chez l'étalon malade, la première étape de la préservation de l'intégrité de son appareil reproducteur, nécessaire à assurer sa fonction. Une importance majeure est donnée à l'évaluation visuelle et palpatoire des organes génitaux externe en tant qu'examen de première intention, ainsi qu'à la réalisation d'examens complémentaires ciblés tels que l'échographie et les analyses histologiques et cytologiques de prélèvements lésionnels. Au sein de l'appareil reproducteur, le pénis et le prépuce sont les structures les plus couramment touchées par les tumeurs, avec une large prépondérance du carcinome épidermoïde et du papillome, de la sarcoïde et du mélanome cutané. Un large panel de traitements peut alors être proposé avec des résultats variables. Les testicules, moins fréquemment impactées par les tumeurs. Elles le sont dans la majorité des cas par le séminome ou le leydigome. L'orchidectomie sera alors la prise en charge de choix. Enfin d'autres tumeurs, plus rares, peuvent concerner les glandes annexes de l'appareil reproducteur de l'étalon. Le vétérinaire praticien endosse le rôle de conseiller. Son devoir est de mettre en œuvre tous les outils diagnostiques dans un premier temps, puis de proposer tous les moyens thérapeutiques permettant d'optimiser la prise en charge de la tumeur.[-]
Les tumeurs sont des affections relativement rares chez le cheval, mais qui peuvent être particulièrement débilitantes et impacter la physiologie des différents systèmes, et notamment celle du système reproducteur. Les temps de l'examen clinique constituent, chez l'étalon sain comme chez l'étalon malade, la première étape de la préservation de l'intégrité de son appareil reproducteur, nécessaire à assurer sa fonction. Une importance majeure est ...

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Le mélanome muqueux est l'une des tumeurs buccales de plus mauvais pronostic chez l'Homme comme chez le chien. La recherche oncologique comparée s'appuie sur le modèle spontané canin, via le recours aux lignées cellulaires tumorales, pour en élucider les mécanismes et proposer une thérapeutique efficace en médecine vétérinaire, et à terme en médecine humaine. Notre étude s'inscrit dans une démarche de validation de lignées commerciales et nouvellement établies en tant qu'outil permettant de transposer in vitro les caractéristiques d'une tumeur. Deux parties bibliographiques permettront de présenter la clinique et la pathogénie du mélanome muqueux d'une part, et la place du modèle spontané canin dans la recherche oncologique comparée autour de cette tumeur d'autre part. Dans une troisième partie expérimentale, nous avons réalisé une double caractérisation de 7 tumeurs primaires, 15 lignées et 15 tumeurs xénogreffées de mélanome muqueux canin. La caractérisation génotypique a révélé des variants nucléotidiques simples et des variations focales du nombre de copies de fragments de chromosomes conformes à la littérature et leur conservation entre les tumeurs primaires et les lignées. Parmi elles, on retrouve des amplifications du chromosome 30 (67%), de CDK4 (20%) et MDM2 (20%), des délétions de CDKN2A (73%), TP53 (40%) et RB1 (33%), et quelques mutations ponctuelles, dont BRAF_V600E (13%), BRAF_G464V (13%) et NRAS_G12V (13%). La caractérisation immunohistochimique montre une plus grande disparité morphologique et antigénique, particulièrement entre les tumeurs primaires et les greffes qu'elles engendrent, et aura permis de tester l'anticorps PRAME sur des tumeurs canines. Ces résultats permettent ainsi de valider l'utilisation des lignées étudiées comme modèle in vitro du mélanome muqueux canin.[-]
Le mélanome muqueux est l'une des tumeurs buccales de plus mauvais pronostic chez l'Homme comme chez le chien. La recherche oncologique comparée s'appuie sur le modèle spontané canin, via le recours aux lignées cellulaires tumorales, pour en élucider les mécanismes et proposer une thérapeutique efficace en médecine vétérinaire, et à terme en médecine humaine. Notre étude s'inscrit dans une démarche de validation de lignées commerciales et ...

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Le carcinome gastrique représente un défi clinique de premier plan en médecine humaine, se classant au quatrième rang des cancers les plus fréquents et constituant la deuxième cause de mortalité liée au cancer à l'échelle mondiale. Bien que moins prévalent à l'échelle de l'espèce canine (moins de 1% de l'ensemble des cancers), certaines races y apparaissent prédisposées (Berger Belge, Bouvier des Flandres, Colley...). La rareté relative de ce type de cancer chez le chien explique le manque d'études vétérinaires approfondies sur le sujet. Cependant, tout comme chez l'Homme, la gestion thérapeutique du carcinome gastrique chez le chien se heurte à des défis, avec des médianes de survie rapportées très brèves. Cette thèse entreprend une analyse comparative des données scientifiques relatives au carcinome gastrique chez le chien et l'Homme, en se concentrant particulièrement sur l'épidémiologie, les différentes méthodes de classification ainsi que les modalités diagnostiques et thérapeutiques actuelles. Cette approche d'oncologie comparée vise à identifier les similitudes et les différences de cette affection chez ces deux espèces. Ce travail expose également l'état d'avancement des connaissances au sujet des mécanismes physiopathologiques et des aspects génétiques contribuant au développement de la maladie. L'intégration de la biologie moléculaire dans l'étude du carcinome gastrique représente une avancée majeure, promettant des avancées significatives dans la gestion de cette maladie complexe, à la fois chez l'Homme et le chien.[-]
Le carcinome gastrique représente un défi clinique de premier plan en médecine humaine, se classant au quatrième rang des cancers les plus fréquents et constituant la deuxième cause de mortalité liée au cancer à l'échelle mondiale. Bien que moins prévalent à l'échelle de l'espèce canine (moins de 1% de l'ensemble des cancers), certaines races y apparaissent prédisposées (Berger Belge, Bouvier des Flandres, Colley...). La rareté relative de ce ...

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La culture d'organoïdes à partir de prélèvements tumoraux semble avoir un avenir prometteur en cancérologie notamment dans le cas du cancer du sein. Des similitudes ont été observées entre cancer du sein et carcinome mammaire canin. C'est donc à partir du carcinome mammaire canin que cette étude a été menée pour évaluer le potentiel intérêt préclinique (pronostique et thérapeutique) des tumoroïdes. L'objectif de cette étude était de comparer les caractéristiques morphologiques et moléculaires entre organoïdes et tumeurs d'origine. Trente-trois tumeurs mammaires canines ont pu être collectées. Parmi ces trente-trois tumeurs, trois carcinomes ont été utilisées pour une étude comprenant des analyses histopathologiques des tumeurs et de leurs organoïdes. Les lames histologiques ont d'abord montré que les organoïdes conservaient les mêmes aspects histologiques, de type carcinome. Une immunohistochimie a été réalisée pour les marqueurs ER, PR et HER2 ainsi qu'une immunofluorescence pour le marqueur de prolifération Ki-67. Les organoïdes cette fois-ci ne conservaient pas les mêmes immunophénotypes que leurs tumeurs d'origine. Ces derniers étaient « triple-négatif » ; contrairement aux tumeurs d'origine. Dans la pratique courante, le pronostic en cas de tumeur « triple-négatif » est moins bon qu'en cas de tumeur de type « luminal ». L'expression de Ki-67 est revenue très faible à l'immunofluorescence. L'hypothèse la plus probable serait que le temps de développement des organoïdes fut trop limité (quarante-deux jours) pour permettre l'expression phénotypique complète mais également que la fixation des anticorps serait plus difficile sur des lames d'organoïdes que sur les lames de tissus. Organoïdes et tumeurs montraient donc les mêmes aspects histologiques mais divergaient en termes d'immunohistochimie. Une réflexion et différents essais pourront être entrepris pour tester l'importance de la simulation d'un micro-environnement tumoral (constitué principalement de cellules dendritiques et de lymphocytes) dans le développement des tumoroïdes.[-]
La culture d'organoïdes à partir de prélèvements tumoraux semble avoir un avenir prometteur en cancérologie notamment dans le cas du cancer du sein. Des similitudes ont été observées entre cancer du sein et carcinome mammaire canin. C'est donc à partir du carcinome mammaire canin que cette étude a été menée pour évaluer le potentiel intérêt préclinique (pronostique et thérapeutique) des tumoroïdes. L'objectif de cette étude était de comparer les ...

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Veterinary surgical oncology H

Kudnig, Simon T. ; Séguin, Bernard | 2nd edition | Wiley Blackwell | 2022

eBook | Cote : C-04-04-41B

The new edition of the most comprehensive resource on surgical oncology, covering both basic and advanced surgical oncology procedures in small animals
Veterinary Surgical Oncology is a detailed, highly illustrated reference to surgical treatment of cancer in small animal patients. Designed to provide in-depth coverage of surgical procedures, the book also includes useful information on diagnostic testing, complications, aftercare, outcomes, prognosis, and adjuvant or alternative therapies to assist veterinary surgeons and veterinary oncologists with decision making. Contributions by leaders in the field discuss the principles of surgical oncology, multimodal therapy, and interventional radiology, and describe surgical techniques in all anatomical structures.
Now in its second edition, Veterinary Surgical Oncology is fully revised and incorporates new material, including a brand-new chapter discussing the anatomic, functional, and ethical limits of surgical oncology procedures. This edition contains expanded coverage of interventional oncology with discussion of these techniques in relevant chapters, additional surgical procedures, as well as more information regarding other modalities, including extravasation of chemotherapy and the effects of chemotherapy and radiation therapy on wound healing. Additional surgical procedures are supported by new figures, improved images, and up-to-date information. This authoritative surgical oncologic textbook:
Emphasizes a multidisciplinary approach to cancer treatment that integrates diagnostic imaging, chemotherapy, radiation therapy, alternative therapies, and cancer biology
Provides new and expanded sections by specialist medical oncologists, surgeons, and a specialist neurologist that cover all the latest advances in the field
Includes more than 800 high-quality images and illustrations
Features a new companion website with videos
Veterinary Surgical Oncology, Second Edition remains essential reading for all practicing veterinarians, as well as specialists and trainees in veterinary surgery, oncology, and internal medicine.[-]
The new edition of the most comprehensive resource on surgical oncology, covering both basic and advanced surgical oncology procedures in small animals
Veterinary Surgical Oncology is a detailed, highly illustrated reference to surgical treatment of cancer in small animal patients. Designed to provide in-depth coverage of surgical procedures, the book also includes useful information on diagnostic testing, complications, aftercare, outcomes, ...

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Les exosomes sont des vésicules extracellulaires découvertes il y a une cinquantaine d'années, mais ne sont étudiés plus largement que depuis le début du millénaire. Ces vésicules nanométriques de composition très complexe, représentent des vecteurs moléculaires à travers tout l'organisme. L'objectif de cette thèse est de constituer un recueil des données scientifiques relatives à la biogenèse des exosomes, ainsi qu'aux processus biologiques physiologiques et pathogéniques auxquels ils participent. La biogenèse dépend du complexe protéique ESCRT mais aussi d'autres mécanismes accessoires, et se déroule au carrefour des voies du métabolisme, entre endosomes, lysosomes et appareil de Golgi. Les exosomes sont impliqués dans les processus physiologiques tels que l'immunité, la reproduction, le développement. Leur étude dans le cadre des mécanismes pathologiques, notamment néoplasiques, permet de soulever de nouveaux candidats biologiques pour le diagnostic et le pronostic en médecine humaine et vétérinaire. Des chercheurs ont d'ores et déjà transposé leur utilisation à la thérapie à travers des essais cliniques. Cependant il reste un important travail de fond à faire face à l'amalgame qui entoure la définition des vésicules étudiées et au manque tangible de standardisation des protocoles. La transposition clinique des exosomes reste encore lointaine, au moins en médecine vétérinaire. Le portage de la biochimie exosomale à la médecine vétérinaire n'en est qu'à ses débuts mais l'application du concept de biopsie liquide et la bioingénierie ont permis quelques découvertes innovantes quant au diagnostic des néoplasies et maladies infectieuses notamment, mais aussi pour la thérapie régénérative, l'immunothérapie ou encore la vaccination.[-]
Les exosomes sont des vésicules extracellulaires découvertes il y a une cinquantaine d'années, mais ne sont étudiés plus largement que depuis le début du millénaire. Ces vésicules nanométriques de composition très complexe, représentent des vecteurs moléculaires à travers tout l'organisme. L'objectif de cette thèse est de constituer un recueil des données scientifiques relatives à la biogenèse des exosomes, ainsi qu'aux processus biologiques ...

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Depuis 2010, le cancer est la première cause de mortalité chez l'homme. Force est de constater que l'on observe une évolution similaire chez les animaux de compagnie. Les traitements de chimiothérapie sont des traitements qui sont souvent lourds, et réalisés chez des animaux déjà affaiblis par leur maladie et aussi par leur âge. Ils sont donc régulièrement accompagnés d'effets secondaires. Or, le docteur vétérinaire et le propriétaire d'un animal cancéreux ont le plus souvent un objectif commun : prolonger la vie de l'animal dans les meilleures conditions possibles. Je me suis donc demandé quel traitement permettrait de diminuer les effets indésirables observés chez un animal au cours d'un traitement anticancéreux conventionnel. On désire améliorer le confort de l'animal sans lui nuire, le traitement complémentaire doit donc être d'une totale innocuité, et c'est le cas des traitements de gemmothérapie. La réalisation d'un témoin historique sur les cas des chiens traités par doxorubicine nous montre que c'est un traitement responsable de nombreux effets secondaires digestifs, et confirme donc la pertinence d'y associer un traitement complémentaire. Des recherches bibliographiques ont ensuite permis d'orienter mon choix vers un traitement composé de bourgeons de noyer et de genévrier, et d'en établir un protocole. En effet, ils ont l'avantage de soutenir la fonction intestinale et hépatique sans présenter de toxicité pour l'animal. Les limites de ce travail se trouvent dans l'insuffisance de cas cliniques qui auraient pu permettre de conclure quant à l'efficacité de ce traitement complémentaire de gemmothérapie. L'intérêt à présent serait donc, au décours d'un prochain travail, de réaliser une étude comparative entre le témoin historique et l'application pratique du protocole. Cela dans l'espoir d'obtenir des résultats permettant de généraliser son application à l'ensemble des chiens sous chimiothérapie, et ainsi de pouvoir les soutenir et améliorer leur confort au cours de ces traitements qui peuvent s'avérer lourds.[-]
Depuis 2010, le cancer est la première cause de mortalité chez l'homme. Force est de constater que l'on observe une évolution similaire chez les animaux de compagnie. Les traitements de chimiothérapie sont des traitements qui sont souvent lourds, et réalisés chez des animaux déjà affaiblis par leur maladie et aussi par leur âge. Ils sont donc régulièrement accompagnés d'effets secondaires. Or, le docteur vétérinaire et le propriétaire d'un ...

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La chimiothérapie métronomique est une thérapie multiciblée qui consiste en l'administration fréquente, souvent quotidienne, de faibles doses d'agents cytotoxiques par les propriétaires. Cette thérapie cible principalement le micro-environnement tumoral en luttant contre la néoangiogenèse tumorale et en stimulant l'immunité locale. On peut la retrouver en association de divers molécules, comme des AINS ou des ITK, mais également avec la chimiothérapie conventionnelle, au sein de divers protocoles comme le « chemo-switch ». Les indications de ce traitement sont uniquement palliative, comme le prouvent la bibliographie et cette étude rétrospective sur 87 cas. Les résultats concernant cette thérapie se font de plus en plus nombreux et sont encourageants, bien qu'elle ne soit utilisée qu'au sein des rares centres spécialisés. Deux molécules sont retrouvées majoritairement dans cette étude, le cyclophosphamide et le chlorambucil, le plus souvent associées à des AINS. On note un maintien de la qualité de vie des patients traités tout en observant une toxicité faible. De plus, il s'agit d'une thérapie peu onéreuse, moins contraignante que son équivalent classique et qui offre des possibilité de traitement lorsque toutes les autres options sont inenvisageables. De nombreuses zones d'ombres restent cependant à éclaircir, tant sur les protocoles les plus pertinents que sur l'exposition des propriétaires.[-]
La chimiothérapie métronomique est une thérapie multiciblée qui consiste en l'administration fréquente, souvent quotidienne, de faibles doses d'agents cytotoxiques par les propriétaires. Cette thérapie cible principalement le micro-environnement tumoral en luttant contre la néoangiogenèse tumorale et en stimulant l'immunité locale. On peut la retrouver en association de divers molécules, comme des AINS ou des ITK, mais également avec la ...

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"Les maladies graves et chroniques, comme la maladie cancéreuse et les insuffisances chroniques cardiaque et rénale, s'accompagnent d'un syndrome nutritionnel aboutissant à un état cachectique. Cet état est lié au développement de ces maladies : en premier lieu, car les perturbations métaboliques et neuroendocriniennes mènent à l'augmentation du catabolisme et au déclin de l'anabolisme ; deuxièmement, cela se conjugue avec une réduction de l'ingestion alimentaire volontaire, voire de l'absorption dans un contexte d'augmentation de la demande énergétique. Cette composante nutritionnelle a une valeur pronostique négative et doit être combattue, chez les carnivores domestiques. L'objet de ce travail est de proposer une revue de la littérature, avec l'analyse bénéfice-risque de l'introduction de différentes solutions thérapeutiques à visée nutritionnelle, dans la stratégie thérapeutique globale de la prise en charge de ces maladies. Par exemple, l'adjonction à la ration journalière d'acides gras polyinsaturés omega-3, l 'ajout d'antioxydants, comme les vitamines C et E, le coenzyme Q10, montrent un réel intérêt, chez le chien et le chat. Lorsqu'une valence orexigène doit être intégrée, la cyproheptadine, la miansérine et la mirtazapine semblent être les molécules plus adaptées aux carnivores domestiques.   Serious and chronic illnesses, such as cancer disease and chronic heart and kidney failures, are accompanied by nutritional syndrome resulting in a wasting state. This condition is linked to the development of these diseases: first, because metabolic and neuroendocrine disturbances lead to increased catabolism and declined anabolism; second, it is combined with a reduction in voluntary food intake, or even absorption in a context of increased energy expenditure. This nutritional component has a negative prognostic value and must be fought in domestic carnivores. The objective of this work is to provide a review of the literature, with a risk-benefit analysis of the introduction of different nutritional therapeutic solutions, in the overall therapeutic strategy against these diseases. For example, the addition to the daily ration of omega-3 polyunsaturated fatty acids, the addition of antioxidants, such as vitamins C and E, coenzyme Q10, show real interest in dogs and cats. When an orexigenic valence needs to be integrated, cyproheptadine, mianserin, and mirtazapine appear to be the most suitable molecules for domestic carnivores."[-]
"Les maladies graves et chroniques, comme la maladie cancéreuse et les insuffisances chroniques cardiaque et rénale, s'accompagnent d'un syndrome nutritionnel aboutissant à un état cachectique. Cet état est lié au développement de ces maladies : en premier lieu, car les perturbations métaboliques et neuroendocriniennes mènent à l'augmentation du catabolisme et au déclin de l'anabolisme ; deuxièmement, cela se conjugue avec une réduction de ...

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Le lymphome multicentrique est un cancer fréquent chez le chien dont le traitement de choix est la polychimiothérapie. Le pronostic est un point important à discuter avec le propriétaire pour que celui-ci puisse choisir le traitement adéquat de manière éclairée. Après une étude bibliographique permettant une mise au point des facteurs actuellement connus ou suspectés pour être associés à la survenue du décès et de la rechute, deux études de cohorte rétrospectives ont été réalisées : la première était menée sur 86 chiens ayant un lymphome multicentrique de haut grade et présentés au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort entre le 1er Janvier 2007 et le 31 Juillet 2020, la seconde était menée sur un échantillon de 44 chiens tiré de la population de la première étude et présentant une rémission partielle ou complète. L'objectif de ces études était de déterminer des associations statistiques voire causales entre des expositions d'intérêt et la survenue du décès ou de la rechute chez des chiens présentant un lymphome multicentrique de haut grade. Les expositions d'intérêt évaluées ont été l'âge, le format, le sexe, le statut entier ou stérilisé, le stade, le sous-stade, le phénotype, la présence d'une anémie, la présence d'une hypercalcémie, l'infiltration du médiastin, l'infiltration du foie et/ou de la rate, le type de traitement, la corticothérapie préalable à la chimiothérapie et l'utilisation de lomustine. Sous l'hypothèse d'absence de biais de sélection et de biais de classement, il y a des chances pour que la survenue du décès soit significativement associée au format, au sexe, au statut entier ou stérilisé, au stade, au sous-stade et à l'utilisation de lomustine. Sous l'hypothèse d'absence de biais de sélection, de biais de classement différentiel et de biais de confusion, il y a des chances pour que l'infiltration du noeud lymphatique sus-sternal soit un facteur de risque dans la survenue du décès. Les chiens présentant une infiltration du noeud lymphatique sus-sternal sont décédés 1,91 fois plus rapidement que les chiens n'en présentant pas. Aucune des expositions d'intérêt étudiées n'était significativement associée à la survenue de la rechute dans notre étude.[-]
Le lymphome multicentrique est un cancer fréquent chez le chien dont le traitement de choix est la polychimiothérapie. Le pronostic est un point important à discuter avec le propriétaire pour que celui-ci puisse choisir le traitement adéquat de manière éclairée. Après une étude bibliographique permettant une mise au point des facteurs actuellement connus ou suspectés pour être associés à la survenue du décès et de la rechute, deux études de ...

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Les tumeurs nasopharyngées représentent 35 à 39% des affections respiratoires chroniques chez le chat. L'expression de COX-2 dans les cancers est bien connue chez l'homme. Cependant les études chez le chat manquent dans la littérature. Deux études se sont intéressées à l'expression de COX-2 dans plusieurs types de tumeurs félines mais elles ne concernaient qu'un faible nombre de cas. Le but de ce travail était d'étudier l'expression de COX-2 dans une série de carcinomes nasaux félins. Dans une première partie bibliographique, nous présenterons les caractéristiques et la physiologie des protéines COX ainsi que des rappels d'anatomie des cavités, puis la physiopathologie et l'expression de COX-2 dans les tumeurs nasopharyngées. Une synthèse des connaissances actuelles, portant sur l'épidémiologie, les méthodes de diagnostic et les options thérapeutiques sera également réalisée. Dans une seconde partie, nous présenterons notre étude rétrospective portant sur 18 cas de carcinomes nasaux diagnostiqués entre 2007 et 2020 au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort (ChuvA). Cette étude a porté sur l'expression immunohistochimique de COX-2 ainsi que sur les données cliniques associées. Dans notre étude, il n'a pas été observé d'expression de COX-2 dans les carcinomes nasaux du chat par méthode immunohistochimique. Ces résultats sont en accord avec les rares études publiées qui suggèrent une faible expression de COX-2 dans les tumeurs félines. Ces résultats suggèrent que l'utilisation d'anti-inflammatoires anti-COX-2 ne semble pas une option thérapeutique pertinente dans le traitement des carcinomes nasaux du chat. Cette étude s'inscrit dans une compréhension et une caractérisation des facteurs pouvant favoriser le développement de carcinomes nasaux chez le chat. Il serait intéressant de poursuivre ce travail par une étude de COX-2 dans les autres tumeurs nasopharyngées et/ou la recherche d'autres facteurs pronostics.[-]
Les tumeurs nasopharyngées représentent 35 à 39% des affections respiratoires chroniques chez le chat. L'expression de COX-2 dans les cancers est bien connue chez l'homme. Cependant les études chez le chat manquent dans la littérature. Deux études se sont intéressées à l'expression de COX-2 dans plusieurs types de tumeurs félines mais elles ne concernaient qu'un faible nombre de cas. Le but de ce travail était d'étudier l'expression de COX-2 ...

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Le sarcome histiocytaire (SH) est une maladie tumorale qui sévit de façon prédominante dans la race des bouviers Bernois. Cette maladie, également présente chez l'Homme, mais de manière plus rare que chez le chien, soulève encore aujourd'hui un grand nombre de questions. Son pronostic très sombre est à l'origine d'un nombre important de décès, ce qui renforce la volonté commune de lutte contre cette tumeur. Les recherches actuelles, avec l'aide des clubs de race et des propriétaires de bouviers Bernois, ont mis en évidence l'implication de facteurs génétique dans la prédisposition au développement du SH. Des analyses génétiques et tissulaires ont permis la naissance d'un test génétique de prédisposition au développement de cette maladie et à la transmission d'allèles favorables ou défavorables à la descendance. Ce test, appelé test SH, est commercialisé depuis peu et représente une avancée majeure dans la lutte contre le SH chez le bouvier Bernois. Nous avons étudié une cohorte de 4100 bouviers Bernois suivi au niveaux clinique et génétique (test SH). Nous avons confirmé la pertinence du test SH, la dépendance et l'indépendance des résultats du test avec différents facteurs (sexe, origine géographique des chiens par exemple) et mis en évidence que le résultat du test SH donnait une indication sur le risque de développer un SH, mais aussi de développer tout autre type tumoral et qu'il renseignait sur l'espérance de vie des chiens. Ces découvertes posent de nombreuses questions et ouvrent des pistes de recherche futures qui pourraient aider à mieux comprendre la physiopathologie du SH et ainsi aider à mieux lutter contre.[-]
Le sarcome histiocytaire (SH) est une maladie tumorale qui sévit de façon prédominante dans la race des bouviers Bernois. Cette maladie, également présente chez l'Homme, mais de manière plus rare que chez le chien, soulève encore aujourd'hui un grand nombre de questions. Son pronostic très sombre est à l'origine d'un nombre important de décès, ce qui renforce la volonté commune de lutte contre cette tumeur. Les recherches actuelles, avec l'aide ...

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L'intérêt concernant les biomarqueurs sanguins tumoraux connait un véritable essor en médecine humaine comme vétérinaire. Un biomarqueur tumoral idéal permettrait de diagnostiquer une affection tumorale de manière précoce, de l'identifier spécifiquement et avec précision, d'établir un pronostic, de prédire son comportement notamment vis-à-vis des différentes solutions thérapeutiques, permettrait également de suivre son évolution dans le temps, et ce de manière non invasive et peu coûteuse. Pour l'heure, aucun biomarqueur répondant à tous ces critères n'a été mis en évidence, notamment en raison d'un manque de spécificité des principaux biomarqueurs protéiques étudiés jusqu'à présent. Toutefois un grand espoir est actuellement placé dans les biomarqueurs regroupés sous l'appellation de biopsie liquide ; les miARN circulants, l'ADN circulant tumoral et les cellules tumorales circulantes, qui pourraient se révéler être des outils performants utilisés couramment en clinique dans un futur proche. Les cellules myéloïdes suppressives (MDSCs) sont des cellules intervenant dans la régulation de la réponse immunitaire, et jouent un rôle majeur dans l'expansion tumorale. Il a été montré que leur taux sanguin (%MDSCs) est augmenté lors de processus néoplasique, particulièrement en phase tardive de développement. Il serait donc envisageable que le %MDSCs puisse être un biomarqueur diagnostique et pronostique, permettant de distinguer une affection tumorale précoce d'une affection tumorale en phase tardive de développement, et ainsi permettre d'adapter la prise en charge thérapeutique des patients. Le travail effectué dans cette thèse visait à déterminer le %MDSCs chez des chiens présentant une atteinte tumorale précoce d'une part et avancée d'autre part, afin de déterminer la capacité de ce marqueur à distinguer ces deux groupes dans le but de guider le choix du clinicien dans la prise en charge de ces individus. Nous avons pu mettre en évidence que le %MDSCs des chiens atteints de cancer peu avancé était significativement supérieur à celui des chiens sains (9,10%, EIQ = [5,7 – 13,15] % versus 2,8%, EIQ = [0,525 - 7,400] %, p = 0,001), mais ces %MDSCs restent proches et inférieurs à 10%. Toutefois, le groupe de chiens atteints de cancers avancés n'a pas montré d'augmentation significative du %MDSCs. Un travail réalisé sur un groupe plus important de chiens atteints de cancers avancés que dans cette étude serait intéressant pour obtenir une comparaison plus fiable de ces deux groupes. D'autre part, le suivi du %MDSCs de deux chiens a permis de montrer une évolution dynamique de celui-ci au cours du traitement de chimiothérapie. Ceci encourage la réalisation d'études supplémentaires sur un nombre plus important.[-]
L'intérêt concernant les biomarqueurs sanguins tumoraux connait un véritable essor en médecine humaine comme vétérinaire. Un biomarqueur tumoral idéal permettrait de diagnostiquer une affection tumorale de manière précoce, de l'identifier spécifiquement et avec précision, d'établir un pronostic, de prédire son comportement notamment vis-à-vis des différentes solutions thérapeutiques, permettrait également de suivre son évolution dans le temps, ...

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Le lymphome multicentrique canin est la forme prépondérante des lymphomes chez le chien. Au diagnostic, l'estimation du pronostic est un enjeu majeur. Le pronostic dépend essentiellement du traitement choisi et de facteurs pronostiques. Le gold standard dans le traitement du lymphome multicentrique canin c'est la polychimiothérapie type CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, prednisolone). D'autres options thérapeutiques sont possibles mais généralement moins efficaces. L'objectif est d'atteindre une première rémission (induction), une deuxième rémission à la rechute (réinduction) voire une énième rémission avec des protocoles d'échappement qui diffèrent du protocole initial. Les facteurs pronostiques sont des expositions associées à la survenue de la rechute et/ou du décès. L'immunophénotype T (versus B), le sous-stade OMS b (versus a) seraient des facteurs pronostiques négatifs, c'est-à-dire indicateurs d'un moindre taux de réponse à la chimiothérapie, de durées de rémission et de survie plus courtes. Le grade est aussi associé au pronostic avec les lymphomes de haut grade répondant mieux à la chimiothérapie mais évoluant vers la rechute alors que les lymphomes de bas grade d'évolution indolente. Enfin, le sous-type morphologique/histologique pourrait influencer le pronostic du fait que les différents sous-types de lymphomes ont des évolutions différentes. La lymphadénopathie crânio-médiastinale et le traitement antérieur aux corticoïdes sont aussi associés à un moins bon pronostic. De nombreux autres facteurs sont étudiés, parmi eux des marqueurs biologiques, des facteurs génétiques et des profils d'expression de gènes. Ce travail souligne l'importance d'uniformiser le type de lymphome étudié dans les études pronostiques. À ce stade, des études randomisées s'intéressant aux sous types morphologiques les plus communs permettraient de comparer l'efficacité des différents protocoles et de tester leur influence sur le pronostic. Des effectifs plus importants faciliteraient la mise en évidence de différences significatives relatives au pronostic, entre des chiens exposés à un facteur pronostique potentiel, et ceux ne l'étant pas. Enfin, la nature prospective des études serait à privilégier afin de collecter les données d'expositions plus systématiquement.[-]
Le lymphome multicentrique canin est la forme prépondérante des lymphomes chez le chien. Au diagnostic, l'estimation du pronostic est un enjeu majeur. Le pronostic dépend essentiellement du traitement choisi et de facteurs pronostiques. Le gold standard dans le traitement du lymphome multicentrique canin c'est la polychimiothérapie type CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, prednisolone). D'autres options thérapeutiques sont ...

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y

Tumors in domestic animals H

Meuten, Donald J. | 5th edition | Wiley Blackwell | 2017

eBook | Cote : H-05-00-21C

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V

The biology of cancer

Weinberg, Robert A. | 2nd edition | Garland Science | 2014

Livre | Cote : H-05-00-38

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