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Documents Élevage conventionnel 6 résultats

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Le bien-être animal en élevage porcin recquiert aujourd'hui de limiter l'apparition et l'impact de comportements délétères tels que la caudophagie pour pouvoir arrêter la caudectomie. Dans cet objectif, nous avons besoin de mieux comprendre ces comportements. L'étude présentée ici s'intéresse à la détection précoce et la gestion des épisodes de caudophagie chez des porcs n'ayant pas subi de caudectomie. Elle repose sur des observations réalisées dans un élevage conventionnel porcin Breton. Elle a été menée sur un nombre réduit d'épisodes, ses résultats doivent donc être considérés avec précaution. Des observations en continu des comportements sociaux et des scans des positions des queues ont été réalisés de sept jours avant à sept jours après la détection d'un épisode. Sur cette période, le nombre de morsures de queues observées un jour donné est corrélé aux nosings des queues et à la proportion de queues basses observées dans la case, et les comportements agonistiques autres que les morsures de la queue et des oreilles sont corrélés au jeu. En revanche, aucune tendance dans l'évolution des comportements observés pendant l'épisode n'a été mise en évidence. La proportion de queues basses dans une case augmente progressivement dans les 7 jours qui précèdent l'épisode, ce qui est en faveur de l'utilisation de cette position de queue pour détecter précocément la caudophagie. Lors de l'apparition de l'épisode, l'ajout d'objets manipulables (corde et sac de jute) a permis de diminuer le nombre de morsures le jour même de l'ajout. En revanche, cet effet ne semble pas persister les jours suivants.[-]
Le bien-être animal en élevage porcin recquiert aujourd'hui de limiter l'apparition et l'impact de comportements délétères tels que la caudophagie pour pouvoir arrêter la caudectomie. Dans cet objectif, nous avons besoin de mieux comprendre ces comportements. L'étude présentée ici s'intéresse à la détection précoce et la gestion des épisodes de caudophagie chez des porcs n'ayant pas subi de caudectomie. Elle repose sur des observations réalisées ...

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La pré-socialisation consiste à mettre en contact des porcelets de différentes portées en maternité, ce qui leur permettrait, outre l'accès à un espace plus vaste, de développer leurs capacités sociales et immunitaires, et limiterait le stress du sevrage. Les porcelets de 4 élevages commerciaux ont été soit socialisés dès l'âge de 14 jours (n = 78 portées), soit non socialisés (n = 78 portées) au sein des mêmes maternités. Des examens cliniques et des observations comportementales ont été réalisées lors des différentes visites sur les truies et les porcelets. La socialisation précoce n'a pas impacté la santé ni la croissance des porcs charcutiers. Immédiatement après le co-mélange à J14, le groupe socialisé présentait plus de comportements exploratoires que les témoins, avec des interactions sociales plus fréquentes. La pré-socialisation a permis de limiter le stress du sevrage avec des concentrations en cortisol salivaire significativement plus faibles juste après le sevrage dans le groupe socialisé par rapport aux témoins. Au même moment, les comportements sociaux positifs étaient plus fréquents dans le lot socialisé alors que les comportements agonistiques étaient majoritairement associés au lot témoin. En début comme en fin de post-sevrage, si la présence de lésions cutanées n'était pas significativement différente entre les deux groupes, les porcelets pré-socialisés avaient des lésions significativement moins sévères que les témoins. Enfin, bien que les truies étaient moins tranquilles au moment du mélange de leurs portées, leur état de santé, en particulier l'état de leurs mamelles, n'est pas différent de celui des truies contrôles. La socialisation précoce apparaît donc comme une voie d'évolution possible pour l'amélioration du bien-être des porcelets mais des questions persistent comme celles relatives au bien-être des truies et aux conditions de travail des éleveurs.[-]
La pré-socialisation consiste à mettre en contact des porcelets de différentes portées en maternité, ce qui leur permettrait, outre l'accès à un espace plus vaste, de développer leurs capacités sociales et immunitaires, et limiterait le stress du sevrage. Les porcelets de 4 élevages commerciaux ont été soit socialisés dès l'âge de 14 jours (n = 78 portées), soit non socialisés (n = 78 portées) au sein des mêmes maternités. Des examens cliniques ...

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