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La leishmaniose canine est une maladie vectorisée fortement prévalente dans le sud de la France et dans les pays du pourtour méditerranéen. Cependant des données de séroprévalence récentes sont manquantes en France métropolitaine. Une étude de séroprévalence a été initiée chez des chiens de chasse (n=169) dans une zone enzootique, les Cévennes, en 2022. Cette première campagne de prélèvements a estimé une séroprévalence chez le chien de l'ordre de 14% en utilisant le kit ELISA Bordier®. Une nouvelle enquête a été réalisée durant l'hiver 2023. L'objectif de ce travail était : (i) d'étudier la dynamique de l'infection en suivant l'évolution du statut sérologique des chiens prélevés lors des deux enquêtes, (ii) d'évaluer l'apport de la technique de western-blot (WB), en particulier pour distinguer les chiens vaccinés des non vaccinés. Pour cela, la détection d'anticorps a été réalisée par méthode ELISA (Bordier®) et par western-blot (LDBio®). 192 chiens ont été inclus dans l'étude en 2023 (dont 87 suivis depuis 2022). La séroprévalence a été estimée à 21,8% par WB et à 10,9% par méthode ELISA, montrant des valeurs équivalentes à celles obtenues lors de la campagne précédente. Une incidence de 4,6% a été calculée dans la population des chiens suivis. Ce travail met en évidence la sensibilité insuffisante de la méthode ELISA par rapport à celle obtenue par Western Blot avec 45,41% contre 90,93% respectivement. Le Western Blot semble de plus capable de détecter des infections précoces, avant l'apparition de signes cliniques. Aucune interférence vaccinale n'a été mise en évidence dans notre étude, notamment avec le vaccin Letifend®.
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La leishmaniose canine est une maladie vectorisée fortement prévalente dans le sud de la France et dans les pays du pourtour méditerranéen. Cependant des données de séroprévalence récentes sont manquantes en France métropolitaine. Une étude de séroprévalence a été initiée chez des chiens de chasse (n=169) dans une zone enzootique, les Cévennes, en 2022. Cette première campagne de prélèvements a estimé une séroprévalence chez le chien de l'ordre ...
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La thrombopénie à médiation immune primaire est une maladie rare dont la compréhension de sa pathogénie évolue rapidement et est aujourd'hui connue pour être le résultat d'une combinaison d'une réponse immunitaire à médiation humorale et cellulaire en défaveur des plaquettes et des mégacaryocytes. Elle est à distinguer des thrombopénies à médiation immunes secondaires, à une néoplasie, une infection, un processus inflammatoire ou une réaction médicamenteuse. Le diagnostic de cette maladie peut représenter un défi pour le clinicien car il constitue un diagnostic d'exclusion qui de plus, est chronophage. La détection d'anticorps liés aux plaquettes permettrait de mettre en évidence l'existence d'un processus dysimmunitaire primaire ou secondaire et plusieurs études ont mis au point un protocole permettant de détecter ces anticorps par cytométrie en flux. Le but de ce travail est donc de développer un protocole adapté au Biopôle, laboratoire d'analyses vétérinaires présent sur le site de l'École Nationale Vétérinaire d'Alfort, et de confronter les résultats à ceux d'un test ELISA permettant de mettre en évidence les anticorps dirigés contre les plaquettes dans le plasma des patients. Une analyse de cytométrie en flux directe a donc été effectuée sur 19 chiens sains et 14 chiens atteints de thrombopénie, dont 4 atteints de thrombopénie à médiation immune primaire. Les analyses de cytométrie ont été réalisées après isolement d'un plasma riche en plaquettes (PRP) et marquage par des anticorps anti-IgG canins. Un seuil de positivité égal à 10% de plaquettes fluorescentes par analyse cytométrique, mis en place par l'étude de Shropshire et al. (2018), a été choisi. L'intégralité des échantillons des chiens sains a présenté un résultat inférieur à 6%. Ces échantillons ont donc été qualifiés de négatifs, la moyenne de fluorescence étant de 1,6%. La moyenne de fluorescence des plaquettes des échantillons de chiens atteints de thrombopénies à médiation immune, toute causes confondues, était de 28%, soit fortement supérieure à celle des chiens sains. Trois prélèvements de chiens atteints de thrombopénie non immune ont été analysés et ont présenté une moyenne de fluorescence de 1%. Les faibles effectifs des chiens atteints de thrombopénie n'ont pas permis de réaliser d'analyses statistiques, ni d'observer une corrélation avec le test ELISA, mais les résultats de cytométrie de flux semblent montrer une différence notable de fluorescence chez les chiens atteints de thrombopénies à médiation immune par rapport aux autres causes de thrombopénies et aux chiens sains. Cette étude a donc permis de valider le protocole d'isolement du PRP et de marquage des plaquettes par les anticorps. De plus grands effectifs sont à présent nécessaires pour valider la cytométrie de flux pour la détection d'anticorps liés aux plaquettes.
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La thrombopénie à médiation immune primaire est une maladie rare dont la compréhension de sa pathogénie évolue rapidement et est aujourd'hui connue pour être le résultat d'une combinaison d'une réponse immunitaire à médiation humorale et cellulaire en défaveur des plaquettes et des mégacaryocytes. Elle est à distinguer des thrombopénies à médiation immunes secondaires, à une néoplasie, une infection, un processus inflammatoire ou une réaction ...
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Les mycoplasmoses sont des maladies importantes en élevage caprin notamment à cause des pertes économiques qu'elles engendrent, mais aussi par la diversité des signes cliniques et la difficulté de réaliser avec certitude un diagnostic. La partie bibliographique développe ces points et résume les connaissances actuelles sur les mycoplasmes. Plusieurs études de prévalence des mycoplasmoses caprines ont été réalisées notamment en Poitou Charente et Savoie, mais la situation de la région Centre était jusque là peu connue. Cette étude a concerné 858 chèvres réparties dans 39 troupeaux situés dans la zone de collecte de la laiterie Tribalat (Rians 18). Des prélèvements de lait individuel, de lait de tank et de sang ont été réalisés pendant l'automne 2001. Les tests bactériologiques ont permis d'isoler des mycoplasmes dans le lait pour 18 % des élevages avec une majorité d'isolement de Mycoplasma putrefaciens. L'indice sérologique mis au point en Savoie se révèle être l'indice sérologique le plus approprié pour déterminer le statut sérologique des troupeaux de cette région à l'aide du test ELISA. Au final, 89 % des élevages sont classés en catégories " infecté latent " ou " fortement infecté " avec, cette fois ci, une majorité d'infection à Mycoplasma mycoides subsp. mycoides LC. Notre étude n'a pas pu conclure sur une meilleure validité de la bactériologie par rapport au test ELISA pour le diagnostic des mycoplasmoses caprines. Le nombre d'élevages prélevés se révèle être insuffisant pour extrapoler certains résultats obtenus sur l'échantillon à la population et il serait nécessaire d'augmenter le nombre d'élevages prélevés pour affiner les résultats.
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Les mycoplasmoses sont des maladies importantes en élevage caprin notamment à cause des pertes économiques qu'elles engendrent, mais aussi par la diversité des signes cliniques et la difficulté de réaliser avec certitude un diagnostic. La partie bibliographique développe ces points et résume les connaissances actuelles sur les mycoplasmes. Plusieurs études de prévalence des mycoplasmoses caprines ont été réalisées notamment en Poitou Charente et ...
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Les paramphistomoses gastroduodénales bovines semblent en expansion en France. Les moyens de lutte demeurent cependant limités. Notre enquête épidémiologique, réalisée dans trois abattoirs du nord de la France, a consisté en l'observation visuelle de panses de bovins. Tous les bovins abattus le jour de l'examen étaient inclus dans l'échantillon. Environ 50 % des 1289 bovins observés étaient infestés. Les vaches et des bovins de Flandre et Hainaut étaient significativement plus fréquemment infestés. D'autres facteurs associés, masqués par un effet abattoir, restent à identifier. Cette identification et la confirmation des hypothèses précédentes fera l'objet d'une enquête analytique visant à élaborer un arbre décisionnel pour le traitement. Le développement d'un test E.L.I.S.A. pour la détection de coproantigènes parasitaires afin d'obtenir un outil de dépistage fiable sur l'animal vivant, a échoué. En revanche, les résultats de la technique coproscopique de MacMaster, étudiée en parallèle, sont équivalents à ceux de l'examen nécropsique. Le nombre d'œufs par gramme de fèces est lié au niveau d'infestation.
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Les paramphistomoses gastroduodénales bovines semblent en expansion en France. Les moyens de lutte demeurent cependant limités. Notre enquête épidémiologique, réalisée dans trois abattoirs du nord de la France, a consisté en l'observation visuelle de panses de bovins. Tous les bovins abattus le jour de l'examen étaient inclus dans l'échantillon. Environ 50 % des 1289 bovins observés étaient infestés. Les vaches et des bovins de Flandre et ...
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Les infections à Bartonella chez les bovins se traduisent par une bactériémie au long cours. Jusqu'à présent, aucune pathologie n'a été décrite associée à cette infection. Ce travail a consisté à étudier l'infection à Bartonella chez les bovins du nord de la France. 239 animaux répartis sur 14 élevages du Pas-de-Calais ont fait l'objet de prélèvements sanguins en vue d'analyses bactériologiques (ensemencement et identification par PCR et RFLP) et sérologiques (immunofluorescence indirecte et ELISA). 70.7% des bovins se sont révélés bactériémiques. L'âge semble intervenir dans ce résultat mais pas le type de production. B. bovis est prédominante et représente 89% des souches identifiées par PCR/RFLP. Les autres souches appartiennent majoritairement à un autre RFLP type (type 11) et un bovin hébergeait une Bartonella d'espèce différente (type III). Les résultats sérologiques ne sont en accord ni entre eux (34.9% de discordance) ni avec les résultats bactériologiques, bien que la technique ELISA s'en rapproche plus que l'immunofluorescence indirecte.
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Les infections à Bartonella chez les bovins se traduisent par une bactériémie au long cours. Jusqu'à présent, aucune pathologie n'a été décrite associée à cette infection. Ce travail a consisté à étudier l'infection à Bartonella chez les bovins du nord de la France. 239 animaux répartis sur 14 élevages du Pas-de-Calais ont fait l'objet de prélèvements sanguins en vue d'analyses bactériologiques (ensemencement et identification par PCR et RFLP) ...
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