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Les études menées par DiffRage, groupe en charge de l'application des procédures de gestion du risque lié aux animaux mordeur/griffeurs à l'École nationale vétérinaire d'Alfort, mettent en évidence une réticence à la mise en œuvre des procédures réglementaires, administratives et sanitaires au sein du Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort (ChuvA-Ac), et laissent suspecter une baisse du taux de déclaration des morsures et des griffures. Afin de pouvoir proposer des pistes d'amélioration de ces procédures et ainsi encourager la déclaration des morsures et des griffures, nous avons enquêté sur l'opinion vis-à-vis des procédures et leur observance ainsi que sur l'opinion et la connaissance du risque associé aux animaux mordeurs/griffeurs, chez les étudiants et cliniciens du ChuvA-Ac. Pour cela, nous avons eu recours à diverses méthodes d'étude quantitatives (deux questionnaires, respectivement à destination des étudiants et des cliniciens du ChuvA-Ac) et qualitatives (entretiens semi-directifs et focus group). Dans ce cadre, une tentative d'exploration des motifs de la réticence vis-à-vis des procédures relatives aux morsures et aux griffures a été mise en œuvre, sur la base du modèle de croyance en santé (HBM). Notre étude révèle que selon les enquêtés, certains facteurs tendent à s'opposer à la mise en place des procédures alors même qu'elle peut être souhaitée par les étudiants et les cliniciens du ChuvA-Ac, tels que le contexte d'urgence dans lequel a lieu l'accident, la complexité des documents supports des procédures de l'EnvA, les faisant considérer comme un frein plutôt qu'une aide, mais aussi un manque d'incitation voire une opposition à la mise en place des procédures de la part d'encadrants. Cependant, une réticence personnelle à la bonne observance des procédures a également été identifiée, pouvant être reliée à la conscience objective d'un décalage entre l'épidémiologie de la rage et sa réglementation, et/ou à une minimisation du risque rabique (laquelle serait à mettre en relation, au moins en partie, avec une mauvaise connaissance de la rage et de sa réglementation), mais aussi à une minimisation des risques liés aux griffures et aux surinfections bactériennes. Plusieurs propositions d'amélioration des procédures de l'EnvA ont été émises par les étudiants et cliniciens interrogés ainsi que par DiffRage et la direction du ChuvA-Ac, dont certaines ont déjà été appliquées (sensibilisation renforcée en cours d'année des vétérinaires habilités de l'EnvA, formation sur la gestion du risque rabique pour les auxiliaires spécialisés vétérinaires afin d'accompagner les vétérinaires dans leurs démarches) ou sont en cours de développement (interface simplifiée d'accès aux procédures) ou préconisées (remplissage en ligne des documents réglementaires de mise sous surveillance sous l-CAD).[-]
Les études menées par DiffRage, groupe en charge de l'application des procédures de gestion du risque lié aux animaux mordeur/griffeurs à l'École nationale vétérinaire d'Alfort, mettent en évidence une réticence à la mise en œuvre des procédures réglementaires, administratives et sanitaires au sein du Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort (ChuvA-Ac), et laissent suspecter une baisse du taux de déclaration des morsures et des ...

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La rage est une zoonose encore très présente dans le monde, qui peut affecter tous les mammifères et dont le principal réservoir et véhicule est le chien. Aujourd'hui, l'OMS recense encore 59 000 décès de la rage par an dans le monde, en particulier en Afrique et en Asie, ce qui sous-entend un nombre encore plus important de décès compte tenu du niveau de sous-déclaration. Ce qui rend cette maladie si dangereuse est d'une part son issue inexorablement mortelle lorsque les signes cliniques sont apparus, et d'autre part le manque de connaissances et de vigilance à l'égard de ce problème majeur de santé publique. Les chiffres montrent que les enfants de 4 à 15 ans sont les plus touchés par cette maladie : les enfants de moins de 15 ans représentent 40% des personnes mordues par un animal pour lequel il existe une suspicion de rage. Malgré son caractère indemne, la France est confrontée à deux risques : autochtone (EBLV-1) et non autochtone (RABV), du fait de l'importation d'animaux infectés de rage et des voyages dans des territoires où la rage est enzootique (comme l'enfant de 10 ans décédé en 2017 après avoir été contaminé au Sri Lanka). Cette thèse a donc pour objectif l'élaboration d'une bande dessinée expliquant aux enfants les risques liés à la rage, notamment lorsqu'ils voyagent, et les différents moyens de prévention : cette prévention commence par l'évitement de tout contact et par la reconnaissance des signaux d'agression des carnivores domestiques, et se poursuit par les différentes actions à mettre en œuvre si l'agression a eu lieu. Pour faciliter l'élaboration de la bande dessinée et identifier les messages importants à faire passer aux enfants, un questionnaire a été envoyé à 123 enfants de 6 à 11 ans. Il a permis d'estimer le niveau de connaissance des enfants de l'échantillon sur la rage ainsi que le taux d'enfants qui ont été à risque potentiel de morsure/griffure voire de rage. Les résultats de l'étude montrent un réel manque de connaissances des enfants de l'échantillon en matière de rage (42% d'entre eux n'ont jamais entendu parler de la maladie) ainsi qu'un taux élevé d'enfants de l'échantillon qui ont été à risque potentiel d'exposition à une morsure/griffure, voire au virus rabique (49%), sans différence significative entre les âges : tous les enfants de l'échantillon semblent concernés par cette prise de risque et par cette méconnaissance. Un même discours peut donc être adressé quel que soit l'âge et pourra être efficace au travers de la bande dessinée.[-]
La rage est une zoonose encore très présente dans le monde, qui peut affecter tous les mammifères et dont le principal réservoir et véhicule est le chien. Aujourd'hui, l'OMS recense encore 59 000 décès de la rage par an dans le monde, en particulier en Afrique et en Asie, ce qui sous-entend un nombre encore plus important de décès compte tenu du niveau de sous-déclaration. Ce qui rend cette maladie si dangereuse est d'une part son issue ...

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Parmi les accidents du travail subis par la profession vétérinaire, les morsures et griffures de chat se démarquent par leur fréquence et leur gravité, notamment liée au risque infectieux élevé. L'École nationale vétérinaire d'Alfort doit faire face à la problématique de mise en sécurité de ces étudiants, le nombre de griffures et de morsures de chat au sein de son hôpital, le Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort, étant élevé. Une nouvelle formation, à l'aide d'ateliers pédagogiques, a été mise en place à la rentrée 2019, suite au travail de thèse vétérinaire du Docteur Lardenois, dans le but de proposer des méthodes de contention respectueuses du bien-être animal en consultation et de réduire aussi de ce fait le risque d'agression par les chats. Afin d'évaluer l'intérêt pédagogique de ces nouveaux ateliers, deux groupes d'étudiants de troisième année, l'un ayant réalisé ces ateliers et l'autre non, ont été comparés lors de la réalisation d'un examen clinique simplifié sur un chat et par le biais de questionnaires, pour analyser leurs connaissances théoriques concernant l'abord du chat. Mis à part pour l'acte de mise sur le dos, aucune différence significative n'a été relevée entre les deux groupes d'étudiants. Les étudiants ayant réalisé les ateliers n'ont pas réussi à mettre en pratique l'ensemble des enseignements délivrés. Lors de la comparaison des étudiants ayant mis en pratique les techniques préconisées par les ateliers avec étudiants n'ayant pas utilisé ces méthodes, il a été mis en évidence que les chats manipulés étaient davantage détendus et présentaient moins de signes de stress. De plus, lors de la manipulation d'un chat au tempérament agressif, le nombre de tentatives de morsure était significativement plus bas. Les ateliers proposés aux étudiants présentent des techniques, qui, lorsqu'elles sont mises en application, permettent d'améliorer significativement le bien-être des chats lors d'un examen clinique et ainsi de réduire le risque d'agression. En pratiquant davantage les ateliers, les étudiants pourraient réussir à mettre en place les conseils donnés lors d'une consultation.[-]
Parmi les accidents du travail subis par la profession vétérinaire, les morsures et griffures de chat se démarquent par leur fréquence et leur gravité, notamment liée au risque infectieux élevé. L'École nationale vétérinaire d'Alfort doit faire face à la problématique de mise en sécurité de ces étudiants, le nombre de griffures et de morsures de chat au sein de son hôpital, le Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort, étant élevé. ...

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