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Documents Immunosuppresseur 7 résultats

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Historiquement, la stérilisation des porcs femelles se faisait par ovariectomie. En 2021, le laboratoire Zoetis France obtient l'autorisation d'utiliser sur les femelles pubères son vaccin anti-gonadolibérine Improvac® dans le but d'obtenir une immunosuppression temporaire de la fonction ovarienne. Nous nous sommes intéressés à l'impact de cette suppression immunologique sur la qualité de la viande. Pour ce faire nous avons mis en place une étude dans une filière plein air, la filière Kintoa située dans le Pays basque. Cette étude cas/témoin avait pour objectif de vérifier que la vaccination avec le vaccin Improvac® n'avait pas d'effet négatif sur la qualité de la viande des cochettes élevées par la filière Kintoa. Un total de 13 critères de qualité a été étudié : le poids de la carcasse, le taux de muscle des pièces, le poids du jambon, l'épaisseur du gras du jambon, la couleur du muscle et du gras du jambon, la température et le pH du jambon au moment de sa transformation, le poids d'une côte de longe, la couleur du gras, du muscle et le persillage d'une côte de longe et l'exsudation de la viande. Les données ont été récoltées sur un an et demi d'abattage hebdomadaire, puis analysées. Une analyse statistique fondée sur des tests de Student a été réalisée. Les faibles effectifs par élevage de la filière Kintoa a poussé à inclure de nombreux élevages dans cette étude (12). Pour prendre en compte le facteur de confusion qu'est l'élevage d'origine, un modèle linéaire mixte généralisé avec comme effet fixe le statut vaccinal de l'animal et effet aléatoire l'élevage d'origine a été employé. Nous avons pu observer sur les données brutes des différences significatives sur certains critères tels que le poids des carcasses, le persillage ou l'épaisseur du gras du jambon. Cependant en prenant compte l'effet élevage, cette significativité est perdue pour tous les critères sauf pour le poids du jambon. La viande des animaux vaccinés avec le vaccin Improvac® n'est pas significativement différente de celle des animaux non vaccinés. Les animaux vaccinés ont tendance à être plus lourds, plus gras, et avec un meilleur persillage et ont des jambons plus lourds.[-]
Historiquement, la stérilisation des porcs femelles se faisait par ovariectomie. En 2021, le laboratoire Zoetis France obtient l'autorisation d'utiliser sur les femelles pubères son vaccin anti-gonadolibérine Improvac® dans le but d'obtenir une immunosuppression temporaire de la fonction ovarienne. Nous nous sommes intéressés à l'impact de cette suppression immunologique sur la qualité de la viande. Pour ce faire nous avons mis en place une ...

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Les maladies à médiations immunes, connues pour être un facteur de risque des glomérulopathies et d'altération de la fonction rénale, sont couramment traitées à l'aide d'une corticothérapie. Il a été préalablement démontré qu'une dose immunosuppressive de prednisolone provoque une hyperfiltration rénale et une protéinurie chez le chien sain. L'objectif de cette étude a été de documenter l'évolution de la fonction rénale chez les chiens atteints de maladie à médiation immune avant et pendant un traitement à base de glucocorticoïdes. Les chiens présentant une maladie à médiation immune primaire et n'ayant pas reçu de corticoïdes dans le mois précédant étaient éligibles pour cette étude expérimentale prospective longitudinale. La pression artérielle systolique, le débit de filtration glomérulaire (DFG), basé sur le calcul de la clairance de la créatinine exogène, les analyses biochimiques sanguines ainsi qu'une analyse urinaire complète, incluant le rapport protéines sur créatinine urinaire (RPCU) et l'électrophorèse des protéines urinaires, ont été obtenus avant et après 7, 30 et 90 jours de traitement immunosuppresseur. Un modèle général linéaire a été utilisé afin d'évaluer l'impact du traitement sur les différentes variables. Neuf chiens présentant une maladie à médiation immune primaire ont été inclus dans cette étude. La dose maximale de prednisolone a été atteinte à J7 pour une valeur moyenne de 2,8 mg/kg/jour. L'effet de la dose est significativement corrélé avec une augmentation de la pression artérielle systolique, du potassium, des bicarbonates et une diminution du chlore, du calcium ionisé et de la densité urinaire. Une absence d'effet significatif est notée sur les autres variables en particulier sur le DFG, la créatinine et le RPCU. La dose de glucocorticoïdes est associée à des variations de l'équilibre électrolytique qui doivent être connues et intégrées à la pratique clinicienne. Le nombre d'animaux inclus et la durée courte de suivi ne permettent pas de conclure avec certitude concernant les variations liées aux marqueurs de la fonction rénale. La poursuite de ce travail est nécessaire pour consolider les résultats.   Immune mediated diseases (IMD) are a known as a risk factor for glomerular diseases and are usually treated with glucocorticoids. Immunosuppressive dosages of prednisolone have been associated with renal hyperfiltration and proteinuria in healthy dogs. The aim of this prospective study was to provide new insights on renal function evolution in dogs affected by IMD and treated with prednisolone. Dogs presenting with a primary IMD, which did not received glucocorticoids within the previous month, were eligible. Systolic blood pressure, glomerular filtration rate (GFR) using exogenous creatinine clearance, biochemistry and complete urinalysis, including urine protein-to-creatinine ratio (UPC) and protein electrophoresis, were obtained before and after 7, 30 and 90 days of treatment. A general linear model was used to evaluate the effects of steroids on the studied variables. Nine dogs with primary IMD were included in this study. The maximal dose of prednisolone was reached at day 7 with an average value of 2,8 mg/kg/day. Daily dosage was correlated with significant increases in systolic arterial pressure, potassium, bicarbonates and decreases in chlorides, ionized calcium and urine specific gravity. A lack of significant effects was notified concerning other variables such as GFR, creatinine and UPC. Daily dose to prednisolone is associated with variation of electrolytic status, which should be taken into account for an adequate follow-up of such dogs. The limited number of included dogs and the short period of follow-up prevent any further conclusion regarding some renal biomarkers. Additional data are warranted to support these results.[-]
Les maladies à médiations immunes, connues pour être un facteur de risque des glomérulopathies et d'altération de la fonction rénale, sont couramment traitées à l'aide d'une corticothérapie. Il a été préalablement démontré qu'une dose immunosuppressive de prednisolone provoque une hyperfiltration rénale et une protéinurie chez le chien sain. L'objectif de cette étude a été de documenter l'évolution de la fonction rénale chez les chiens atteints ...

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Les anémies hémolytiques à médiation immune (AHMI) sont des anémies par destruction accrue des érythrocytes en raison d'un dysfonctionnement du système immunitaire. Les AHMI sont d'origine primaire, secondaires à des affections variées (infections, inflammations, néoplasie) ou encore iatrogènes. Les signes cliniques les plus fréquemment rencontrés sont des muqueuses pâles, une tachypnée, une tachycardie, un souffle cardiaque, un abattement, une anorexie et plus occasionnellement des syncopes et des signes neurologiques. Dans une première partie, cette étude propose une synthèse des données rapportées par la littérature jusqu'à ce jour. Puis, sera abordée, dans une seconde partie, une étude rétrospective sur 72 cas présentés au Centre Hospitalier Vétérinaire d'Alfort entre le 1er janvier 2012 et le 1er août 2020. L'objectif de cette étude est de corroborer les connaissances actuelles sur le sujet et de fournir de nouvelles données sur une affection très peu documentée dans l'espèce féline. Les paramètres étudiés étaient le signalement des chats, leur présentation clinique et biologique, les modalités de diagnostic, le traitement proposé et le temps de survie. Les cas d'AHMI ont été détectés principalement via une hémagglutination persistante après dilution saline. Le test de Coombs direct semble peu contributif dans le diagnostic des AHMI et sa sensibilité est remise en cause. Notre étude a mis en évidence une majorité d'AHMI secondaires avec une prédominance des causes inflammatoires suivi par les causes néoplasiques. Les AHMI centrales sont des affections rares, avec un premier cas de Pure Red Cell Aplasia associée à une néoplasie chez le chat rapporté dans cette étude. Les chats atteints d'AHMI primaire sont plus jeunes que les chats atteints d'AHMI secondaire. Les animaux stérilisés semblent prédisposés au développement d'une AHMI. Les Siamois et Angoras seraient prédisposés aux AHMI secondaires. L'anémie est généralement sévère avec une atteinte concomitante fréquente des autres lignées sanguines. La présentation clinique et les paramètres biologiques n'orientent généralement pas vers un type d'AHMI et des examens d'imagerie ou de recherche d'agent infectieux sont requis. Le traitement repose principalement sur une immunomodulation, sachant que la méthylprednisolone semble moins efficace, et une suppression de la cause sousjacente. Une grande proportion de chats répond au traitement immunosuppresseur mais le taux de rechute est élevé. Le taux de mortalité est d'environ un tiers des animaux mais varie en fonction de l'affection sous-jacente. Seule l'absence de normalisation de l'hématocrite sous un mois est de mauvais pronostic. Une étude prospective concernant l'efficacité du traitement, la survie et les facteurs pronostics de mortalité serait à envisager.[-]
Les anémies hémolytiques à médiation immune (AHMI) sont des anémies par destruction accrue des érythrocytes en raison d'un dysfonctionnement du système immunitaire. Les AHMI sont d'origine primaire, secondaires à des affections variées (infections, inflammations, néoplasie) ou encore iatrogènes. Les signes cliniques les plus fréquemment rencontrés sont des muqueuses pâles, une tachypnée, une tachycardie, un souffle cardiaque, un abattement, une ...

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