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Olfactory Research in Dogs H

Lazarowski, Lucia | Springer | 2023

eBook | Cote : Z-02-04 [ebook]

This book unites cutting-edge research related to various aspects of dog olfaction. It includes rich expertise about detection dogs with application perspectives, and expands beyond.
In four clearly arranged sections, readers will discover specialist contributions on:
- the fundamentals of olfaction, anatomy, comparative olfactory neuroscience and dysfunction
- methodological reflections on canine olfactometry and essential implications for practice, comprising dog selection for scent detection, handler bias and signal detection concepts
- the connection with dog behavior, cognition, welfare, and learning and training methods
- diverse application examples of dog olfactory capabilities, such as disease detection for diagnostics, infectious disease surveillance, forensics and ecological conservation
The unique and exciting link between science and practice makes this book a valuable read not only for researchers, but alsofor practicing veterinarians and professionals in the fields of canine detection, chemical sensing, working dog behavior and welfare.[editeur][-]
This book unites cutting-edge research related to various aspects of dog olfaction. It includes rich expertise about detection dogs with application perspectives, and expands beyond.
In four clearly arranged sections, readers will discover specialist contributions on:
- the fundamentals of olfaction, anatomy, comparative olfactory neuroscience and dysfunction
- methodological reflections on canine olfactometry and essential implications for ...

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Dominique Grandjean, Docteur vétérinaire, Professeur à l'École nationale vétérinaire d'Alfort, Président de l'association Nosaïs et de Lekkarod, et son équipe, vous entraînent dans L'aventure Nosaïs - Les chiens de la Covid-19. Une aventure humaine et canine, et surtout une quête de démonstration scientifique pour mettre en exergue le rôle du chien en tant qu'auxiliaire de santé et sa capacité olfactive à détecter la Covid-19.
Nosaïs existait avant la Covid-19. Nosaïs véhicule des valeurs profondes : réunir des chercheurs du monde entier autour de cet animal hors du commun qu'est le chien et travailler conjointement pour faire en sorte que n'importe quel chien puisse mettre un jour son nez au service de la santé humaine !
Cet ouvrage relate cette aventure exceptionnelle dans un cadre international : de l'organisation du projet avec les moyens mis en œuvre, aux équipes mobilisées et à la formation des chiens. De belles rencontres et des chiens héros à découvrir. (4e de couverture)[-]
Dominique Grandjean, Docteur vétérinaire, Professeur à l'École nationale vétérinaire d'Alfort, Président de l'association Nosaïs et de Lekkarod, et son équipe, vous entraînent dans L'aventure Nosaïs - Les chiens de la Covid-19. Une aventure humaine et canine, et surtout une quête de démonstration scientifique pour mettre en exergue le rôle du chien en tant qu'auxiliaire de santé et sa capacité olfactive à détecter la Covid-19.
Nosaïs existait ...

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1. Marquage du territoire, repérage et circulation dans l'espace
2. Recherche de nourriture et comportements alimentaires
3. Reconnaissance interindividuelle et comportements sociaux
4. Comportements sexuels et reproducteurs
5. Comportements d'évitement du danger
6. L'odorat des animaux : une multitude de modèles

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Cette thèse est consacrée à la mise au point d'une méthode d'évaluation des capacités olfactives de chiens de race Dalmatien en vue de caractériser des phénomènes de compensation olfactive chez des sujets sourds bilatéraux par rapport à des sujets bi-entendants de la même race. La première partie de synthèse bibliographique compile une étude du système olfactif canin, une étude comparée de la fonction auditive canine normale et de la surdité neurosensorielle du Dalmatien, et enfin l'étude des méthodes d'apprentissage des chiens de recherche olfactive utilisées par les équipes cynotechniques ainsi qu'un rapide point général sur les phénomènes de plasticité cérébrale et de compensation sensorielle. Dans une deuxième partie, expérimentale, les résultats d'une étude métrologique visant à préciser les conditions matérielles et procédurales de tests d'évaluation des aptitudes olfactives de dalmatiens sourds et bi-entendants sont présentés. Bien que n'ayant pu être menée totalement à son terme, cette étude, permet de faire le point sur les difficultés rencontrées ainsi que sur les solutions possibles pour améliorer le protocole expérimental mis en œuvre. L'analyse des causes n'ayant pas permis de conduire le protocole à son terme, fait ensuite l'objet d'une discussion visant en particulier à proposer des modifications pratiques qui serviront de base pour la suite du travail initial, sujet d'une autre thèse de doctorat vétérinaire.[-]
Cette thèse est consacrée à la mise au point d'une méthode d'évaluation des capacités olfactives de chiens de race Dalmatien en vue de caractériser des phénomènes de compensation olfactive chez des sujets sourds bilatéraux par rapport à des sujets bi-entendants de la même race. La première partie de synthèse bibliographique compile une étude du système olfactif canin, une étude comparée de la fonction auditive canine normale et de la surdité ...

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Detection canines have been utilized throughout the world for over a century, and while numerous attempts have been made to replicate the canine's ability to detect substances by mechanical means, none has been as successful. The olfactory system is a highly intricate and sophisticated design for chemical sensing, and the olfactory capacity of many animals, including canines, is considered unmatched by machine due to not only their great sensitivity and superior selectivity but also their trainability and mobility. These unique features have led to the use of such animals as "e;whole-animal"e; biosensors.Amplifying the benefits and diminishing the limitations of detection canines' interdisciplinary research is crucial to understanding canine olfaction and detection and enhancing this powerful and complex detector. The past 50 years have produced vast advancements in animal behavior/training technology to develop canines into more proficient and reliable sensors, while scientific research has provided tremendous support to help practitioners better understand how to utilize this powerful sensor. This book assembles a diverse group of authors with expertise in a variety of fields relating to detection canines and the chemical sensing industry, including both research and operational perspectives on detection canines. It illustrates how science enhances our understanding of how canines are employed for solving some of the world's leading detection challenges. [-]
Detection canines have been utilized throughout the world for over a century, and while numerous attempts have been made to replicate the canine's ability to detect substances by mechanical means, none has been as successful. The olfactory system is a highly intricate and sophisticated design for chemical sensing, and the olfactory capacity of many animals, including canines, is considered unmatched by machine due to not only their great ...

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Le dépistage de la COVID-19 est plus que jamais un sujet d'actualité quand, chaque jour, des centaines de milliers de nouveaux cas sont détectés à travers le monde. Les tests de dépistage du SARS-CoV-2 sont indispensables et pourtant encore imparfaits. Ce manuscrit s'articule en deux parties. Premièrement, une partie bibliographique, qui fait le point sur les connaissances actuelles autour de la détection olfactive canine au service de l'Homme et plus particulièrement autour de la détection olfactive canine du SARS-CoV-2. Les résultats observés sont très prometteurs puisque la détection olfactive canine aurait une fiabilité proche de celle du test par RT-PCR. Deuxièmement une partie expérimentale, basée sur une enquête à destination du grand public à travers le Globe. Aucune enquête visant à évaluer le positionnement du grand public à travers le monde vis-à-vis de la détection olfactive canine de la COVID-19 n'avait encore été entreprise. Un questionnaire a été élaboré par l'équipe française Nosaïs, par la suite traduit en six autres langues et diffusé à travers les continents avec l'aide notable de l'OMS. Même si le manque de représentativité des échantillons n'a pas permis d'avoir recours à l'inférence, quelques grandes tendances ont pu être extraites des résultats des questionnaires. La grande majorité des répondants à travers le monde présente un grand engouement et une totale acceptation de la détection olfactive canine de la COVID-19. Les répondants chinois se placent cependant à l'opposé de ces observations en s'opposant à la mise en place de cette méthode de dépistage. Les répondants russes sont plus mitigés, puisqu'ils ne montrent pas un grand intérêt pour cette méthode, mais ne s'opposent pas pour autant à son utilisation. Les commentaires laissés par les répondants à la fin des questionnaires ont permis de cibler leurs inquiétudes, qui sont majoritairement d'ordre éthique et scientifique. Les résultats de cette étude pourraient inciter les gouvernements de nombre de pays à autoriser la mise en oeuvre de la détection olfactive canine pour le dépistage de la COVID-19 ou d'autres maladies dans le cas de futures pandémies. Les résultats pourraient en outre servir de base pour de futures études sur le positionnement du grand public vis-à-vis de la détection olfactive canine.[-]
Le dépistage de la COVID-19 est plus que jamais un sujet d'actualité quand, chaque jour, des centaines de milliers de nouveaux cas sont détectés à travers le monde. Les tests de dépistage du SARS-CoV-2 sont indispensables et pourtant encore imparfaits. Ce manuscrit s'articule en deux parties. Premièrement, une partie bibliographique, qui fait le point sur les connaissances actuelles autour de la détection olfactive canine au service de l'Homme ...

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L'état de pandémie causé par le virus SARS-CoV-2 a été déclaré par l'OMS en mars 2020. Etant donné la contagiosité importante du virus et le rôle clef des individus infectés asymptomatiques dans sa transmission, la détection des personnes contaminées est très vite apparue comme une priorité pour les isoler et ainsi limiter la propagation de l'infection. Des tests de dépistage en laboratoire, dont le test RT-PCR ont été conçus puis commercialisés. Alors que la pandémie débutait, des études aux résultats prometteurs avaient déjà été menés sur la détection olfactive canine de certains cancers ou maladies qu'elles soient bactériennes, virales ou parasitaires. L'utilisation de la détection olfactive canine de l'infection par le virus SARS-CoV-2 a donc été envisagée. Des études ont été menées dans de nombreux pays sur différents types d'échantillons de patients (sueur, masques usagés, urine). Les résultats ont montré des résultats de sensibilité et de spécificité satisfaisants, remplissant pour certains tests les critères fixés par l'OMS. La valeur prédictive négative élevée, la rapidité et le moindre coût de la détection olfactive canine en font un test adapté à un dépistage de masse de première intention. Comme sa valeur prédictive positive reste faible dans les conditions épidémiologiques actuelles, les individus marqués comme positifs seront testés ensuite avec un test spécifique comme le test RT-PCR.[-]
L'état de pandémie causé par le virus SARS-CoV-2 a été déclaré par l'OMS en mars 2020. Etant donné la contagiosité importante du virus et le rôle clef des individus infectés asymptomatiques dans sa transmission, la détection des personnes contaminées est très vite apparue comme une priorité pour les isoler et ainsi limiter la propagation de l'infection. Des tests de dépistage en laboratoire, dont le test RT-PCR ont été conçus puis comme...

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L'objectif de ce travail est de montrer la faculté des chiens à détecter le SARS-CoV2, virus ayant engendré une pandémie à partir de l'année 2020. La première partie de cette étude dresse un état des lieux des connaissances actuelles sur l'anatomie, la physiologie et la génétique du nez et de l'odorat du chien ainsi que son utilisation dans le domaine de la détection d'affections médicales. Les facteurs responsables d'altérations de l'odorat du chien sont mis en évidence dans cette partie et permettent de mieux comprendre comment ce dernier peut représenter un atout pour le concept One Health. La deuxième partie, expérimentale, porte sur trois études progressives dans leur présentation, permettant de mettre en évidence la capacité des chiens à détecter le SARS-CoV2 grâce à des prélèvements de sueur axillaire puis de déterminer les paramètres intrinsèques tels que la spécificité et la sensibilité dans cette détection. Ces études ont été réalisées au sein de l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort ainsi qu'aux Emirats Arabes Unis. La période relativement courte d'apprentissage ainsi que les sensibilités et spécificités comprises autour de 90 % pour la plupart des chiens en font de bons candidats dans la détection rapide et efficace de ce virus. Dans la dernière étude, des valeurs prédictives positives et négatives ont aussi été déterminées et montrent que les chiens peuvent constituer un élément non négligeable pour la prise en charge de cette pandémie.[-]
L'objectif de ce travail est de montrer la faculté des chiens à détecter le SARS-CoV2, virus ayant engendré une pandémie à partir de l'année 2020. La première partie de cette étude dresse un état des lieux des connaissances actuelles sur l'anatomie, la physiologie et la génétique du nez et de l'odorat du chien ainsi que son utilisation dans le domaine de la détection d'affections médicales. Les facteurs responsables d'altérations de l'odorat du ...

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La maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative qui a pour origine la mort de neurones dopaminergiques présents dans une région particulière du cerveau, la substance noire. Cette maladie se manifeste par des troubles moteurs mais aussi des troubles non moteurs. De nos jours, la maladie de Parkinson est prise en charge par des thérapies de remplacement de la dopamine, mais ceci ne permet pas de guérir la maladie, seulement d'en retarder les effets. La pathogenèse exacte de la maladie de Parkinson reste à ce jour non élucidée, mais elle semble prendre place plusieurs années avant l'apparition des troubles de la motricité. En 2016, il est découvert qu'une femme, Joy Milne, est capable de décrire une odeur caractéristique de cette maladie. Ce qui laisse penser qu'il existe des substances, présentes sur la peau des malades, à l'origine d'une odeur spécifique. Cette odeur, si elle est détectable par une personne, a de bonnes chances d'être détectable par l'odorat canin. Étant donné que la maladie semble être présente plusieurs années avant l'expression de troubles moteurs, on peut supposer que les substances odorantes, détectées par Joy Milne, pourraient être, elles aussi, présentes bien avant les troubles moteurs. On peut donc imaginer qu'il soit possible de détecter les malades, plusieurs années avant le début des symptômes moteurs, grâce à l'olfaction canine. Nous évaluons ici l'intérêt d'une détection précoce de la maladie de Parkinson, et nous proposons un protocole afin de démontrer qu'elle pourrait être réalisée grâce à l'olfaction canine. Ceci en se basant sur des études déjà réalisées sur la détection de maladies grâce à l'olfaction canine, notamment des cancers et la COVID-19, et en se basant sur les études déjà menées aux Etats-Unis et au Royaume Uni, dans le cadre de la détection de la maladie de Parkinson, grâce à l'olfaction canine.[-]
La maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative qui a pour origine la mort de neurones dopaminergiques présents dans une région particulière du cerveau, la substance noire. Cette maladie se manifeste par des troubles moteurs mais aussi des troubles non moteurs. De nos jours, la maladie de Parkinson est prise en charge par des thérapies de remplacement de la dopamine, mais ceci ne permet pas de guérir la maladie, seulement d'en ...

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Le cancer touche en France 355 000 nouveaux cas par an avec notamment 54 000 nouveaux cas de cancer du sein chez la femme. A l'horizon 2030, le nombre de personnes victimes d'un cancer du sein pourrait connaître une hausse de 60% par rapport à 2012, atteignant alors un total de 3,5 millions de femmes concernées à travers le monde. Détecté suffisamment tôt, le cancer du sein est guéri dans neuf cas sur dix ce qui amène à réfléchir à une méthode de dépistage précoce et accessible au plus grand nombre. En 1989, une revue scientifique, le « Lancet », décrit l'histoire de chiens « oncologues » à l'origine de la détection chez leur maître de cancer de la peau. S'ensuit divers témoignages selon lesquels les chiens pourraient « sentir le cancer » : l'hypothèse d'une « odeur du cancer » est alors évoquée. C'est ainsi que la communauté scientifique s'est penchée sur l'étude des COVs (Composés Odorants Volatils), possibles biomarqueurs de la tumeur, et a commencé à prêter attention à la capacité des chiens à identifier les odeurs liées au cancer et l'impact possible que cette découverte pourrait avoir dans la pratique clinique. Ils montrent que les chiens peuvent être formés pour reconnaître la signature olfactive caractéristique de certains cancers comme celui de la peau, des poumons, de la prostate, du colon ou encore du sein via l'haleine, l'urine ou les selles des patients. Ils obtiennent des résultats prometteurs avec des sensibilités et des spécificités pouvant atteindre respectivement 99% et 98% selon les études. Avec un odorat 10 000 à 100 000 fois plus performant que le nôtre, le chien semble être un candidat idéal pour la détection de cancer. Fort de ces constatations, Isabelle Fromantin et son équipe créent le projet KDOG en 2016. L'objectif est « simple » : détecter le cancer du sein de manière transcutanée à l'aide de lingettes déposées sur le sein, le plus précocement possible par une méthode peu coûteuse et non invasive grâce à des chiens renifleurs. Trois chiens sont actuellement en formation et une étude clinique de 3 ans est en cours.[-]
Le cancer touche en France 355 000 nouveaux cas par an avec notamment 54 000 nouveaux cas de cancer du sein chez la femme. A l'horizon 2030, le nombre de personnes victimes d'un cancer du sein pourrait connaître une hausse de 60% par rapport à 2012, atteignant alors un total de 3,5 millions de femmes concernées à travers le monde. Détecté suffisamment tôt, le cancer du sein est guéri dans neuf cas sur dix ce qui amène à réfléchir à une méthode ...

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Olfaction in animal behaviour and welfare H

Nielsen, Birte L. | Cabi Publishing | 2017

eBook | Cote : E-06B-00-[ebook]

Evidence-based, yet entirely practical, this important new text builds upon the basics of neuroscience to describe the links between olfaction and animal behaviour, and the effects of odours in animal welfare. Animals use smells in a multitude of ways: to orientate themselves, to create social bonds, to recognise food, to initiate reproduction, and to avoid predators and imminent threats such as fire.Starting from the scientific basis of olfaction and odour perception, the book covers pheromones and behavioural tests, before describing the role of olfaction in feeding behaviour, reproduction, disease detection, and animal housing. The book:
· is written in an evidence-based way, yet with an easy-to-understand style, making it accessible to non-experts
· focuses on animals managed by humans, i.e. farm, zoo, lab and companion species
· is illustrated by in-depth research examples of many different species
This is a captivating introduction to the world of smells, suitable for advanced students, researchers, and teachers of applied ethology, animal welfare and veterinary science.[-]
Evidence-based, yet entirely practical, this important new text builds upon the basics of neuroscience to describe the links between olfaction and animal behaviour, and the effects of odours in animal welfare. Animals use smells in a multitude of ways: to orientate themselves, to create social bonds, to recognise food, to initiate reproduction, and to avoid predators and imminent threats such as fire.Starting from the scientific basis of ...

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L'olfaction est le sens le plus développé chez les rongeurs et joue un rôle important dans la mise en place de nombreux comportements. L'objectif de ce travail est de faire la synthèse des études menées et des connaissances à ce sujet. La première partie consiste à faire un point sur l'organisation du système olfactif, en différenciant systèmes olfactifs principal et accessoire, puis à décrire les étapes et les caractéristiques de la perception olfactive. La deuxième partie décrit trois grandes catégories de molécules olfactives : les molécules odorantes « classiques », puis les phéromones avec leurs effets neuro-endocrines et comportementaux, et enfin une catégorie de découverte plus récente, les « odortypes » ou molécules susceptibles de constituer une signature olfactive individuelle pour lesquels on étudie l'hypothèse d'une implication du complexe majeur d'histocompatibilité. La troisième et dernière partie illustre la variété des comportements gouvernés par l'olfaction et des mécanismes mis en jeu, en se focalisant sur certains effets sur le comportement social et le comportement reproducteur. Ce qui permet de faire une synthèse et un parallèle avec la deuxième partie, en déterminant quelles catégories de molécules olfactives sont mises en jeu dans les différents effets sur le comportement étudiés.[-]
L'olfaction est le sens le plus développé chez les rongeurs et joue un rôle important dans la mise en place de nombreux comportements. L'objectif de ce travail est de faire la synthèse des études menées et des connaissances à ce sujet. La première partie consiste à faire un point sur l'organisation du système olfactif, en différenciant systèmes olfactifs principal et accessoire, puis à décrire les étapes et les caractéristiques de la perception ...

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L'odorat constitue le sens le plus développé de l'espèce canine. L'utilisation de chiens de sauvetage lors d'avalanches ou de catastrophes urbaines s'est considérablement développée depuis une trentaine d'années. L'objectif de ce travail, après un rappel d'anatomie, d'histologie et de physiologie du système olfactif canin, est d'évaluer les conséquences pratiques de l'olfaction chez les chiens de recherche en décombres et en avalanches lors de localisation de victimes ensevelies. Pour cela, nous nous appuyons sur les exemples des équipes cynophiles des Sapeurs-Pompiers de l'Ain et de la BSPP (Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris) ainsi que des équipes cynophiles des CRS (Compagnie Républicaine de Sécurité) de sauvetage en montagne. Une partie porte sur les variations de l'acuité olfactive et les rares moyens d'étude à disposition. De nombreux facteurs individuels, physiologiques, environnementaux, pathologiques et iatrogènes doivent être pris en compte dans le choix du chien ainsi que sa gestion au quotidien et en intervention. Une autre partie traite du travail olfactif lors de la recherche de personnes ensevelies, en insistant sur les particularités environnementales et en soulignant le rôle du maitre-chien. La formation des chiens de sauvetage repose sur le jeu. La description de la composition et des variations de l'odeur corporelle humaine permet de mettre en évidence son unicité.[-]
L'odorat constitue le sens le plus développé de l'espèce canine. L'utilisation de chiens de sauvetage lors d'avalanches ou de catastrophes urbaines s'est considérablement développée depuis une trentaine d'années. L'objectif de ce travail, après un rappel d'anatomie, d'histologie et de physiologie du système olfactif canin, est d'évaluer les conséquences pratiques de l'olfaction chez les chiens de recherche en décombres et en avalanches lors de ...

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H
In order to characterize age-related cognitive changes, olfactory discrimination was assessed in Microcebus murinus, a prosimian primate. We compared young (n = 10) and old (n = 8) animals for individual performance on three olfactory tasks. Animals had to perform a detection, a transfer, and a reversal learning task using a go, no go conditioning procedure. No differences were observed between the two groups, indicating that aging is not inevitably associated with a decline in cognitive function. We did, however, observe two aged animals showing altered behavior. One animal displayed impairments in the reversal learning task, and the other showed impairments in both the transfer and reversal tasks. Transfer impairment may be due to a hippocampal alteration, whereas the perseverative tendency noted in the reversal task may be associated with frontal lobe dysfunction. Because some aged M. murinus display lesions that are pathognomonic of Alzheimer's disease, our observations highlight its potential utility as a primate model for studying cognitive deficits in relation to age and associated pathologies.[-]
In order to characterize age-related cognitive changes, olfactory discrimination was assessed in Microcebus murinus, a prosimian primate. We compared young (n = 10) and old (n = 8) animals for individual performance on three olfactory tasks. Animals had to perform a detection, a transfer, and a reversal learning task using a go, no go conditioning procedure. No differences were observed between the two groups, indicating that aging is not ...

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V
Les chiens sont doués d'extraordinaires capacités olfactives que la Police Technique et Scientifique utilise pour identifier un suspect au cours d'une enquête pénale : le chien est chargé de comparer l'odeur d'un suspect avec des odeurs prélevées, à l'aide de tissus spéciaux, sur une scène de crime ou sur des pièces à conviction. C'est ce qu'on appelle l'odorologie.

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V

Physiologie et pathologie de l'odorat du chien

Vadurel, Anne | 1995

Thèse | Cote : N-1995-053

Après un rappel de l'anatomie des cavités nasales du chien, l'auteur présente les données histologiques intervenant dans l'olfaction, nécessaires à la compréhension de la physiologie de l'odorat. Ensuite sont évoquées les performances des chiens de chasse et de gendarmerie dans le pistage et la localisation d'une source odorante permettant d'illustrer l'acuité olfactive. Enfin, sont exposées certaines maladies induisant une modification de l'odorat.[-]
Après un rappel de l'anatomie des cavités nasales du chien, l'auteur présente les données histologiques intervenant dans l'olfaction, nécessaires à la compréhension de la physiologie de l'odorat. Ensuite sont évoquées les performances des chiens de chasse et de gendarmerie dans le pistage et la localisation d'une source odorante permettant d'illustrer l'acuité olfactive. Enfin, sont exposées certaines maladies induisant une modification de ...

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V
La perception des aliments repose sur le bon fonctionnement du goût et de I'odorat. Ces deux sens répondent aux lois générales de la physiologie sensorielle. Il n'existe que quatre types de stimulis gustatifs : salée, sucrée, acide et amère; mais pour chaque saveur existe une multitude de perceptions différentes qui répondent à la stimulation d'un ensemble spécif ique de récepteurs. L'olfaction met en jeu des mécanismes de stimulation moléculaire d'un ensemble de récepteurs qui est spécifique de l'odeur. La combinaison gustation-olfaction permet une haute discrimination des flaveurs qui semble cependant perçue différemment selon I'animal. Notre propre expérimentation sur I'aromatisation des petfood déjà compliquée par des problèmes d'interprétation, s'est vu confrontée à des contraintes sur Ie terrain qui ont appauvri les résultats obtenus. Nous avons néanmoins néussi à identifier un arôme intéressant, à établir un protocole expérimental et à réunir des informations sur les qualités de testeurs des chiens et leur comportement.[-]
La perception des aliments repose sur le bon fonctionnement du goût et de I'odorat. Ces deux sens répondent aux lois générales de la physiologie sensorielle. Il n'existe que quatre types de stimulis gustatifs : salée, sucrée, acide et amère; mais pour chaque saveur existe une multitude de perceptions différentes qui répondent à la stimulation d'un ensemble spécif ique de récepteurs. L'olfaction met en jeu des mécanismes de stimulation m...

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