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La brucellose est une maladie enzootique sur le continent africain et notamment en Zambie où la dernière étude menée en 2021 a mis en évidence une séroprévalence chez les bovins de 7,53 % à l'échelle individuelle avec 21,14 % de troupeaux infectés (Mfune et al., 2021). L'étude de la brucellose conduite au cours de cette thèse a été réalisée avec l'association Melindika, au sein de la chefferie de Musungwa, dans le district d'Itezhi-Teizhi en Zambie. L'objectif était d'évaluer la prévalence de la brucellose au sein de cette zone, dans des élevages bovins et de petits ruminants, dans le but de proposer des mesures de lutte contre la maladie. L'étude a été réalisée au sein de 80 élevages bovins et 51 élevages de petits ruminants, avec 818 animaux testés à l'aide du test à l'EAT. Ce test de dépistage a été gracieusement fourni par le LNR de l'ANSES. Les animaux testés étaient des animaux adultes, afin d'éviter la séronégativité des individus prépubères infectés. Les prélèvements ont été réalisés parmi les animaux des éleveurs volontaires. Enfin, des prélèvements de laits et des écouvillons vaginaux ont été réalisés chez les animaux séropositifs afin d'identifier les espèces bactériennes par PCR et culture bactérienne. Les résultats chez les bovins mettent en évidence des valeurs élevées avec une séroprévalence de la brucellose de 30,9 % (IC 95 % [27,3 ; 34,6] %) de bovins séropositifs dans 73,9 % (IC 95 % [64,1 ; 83,4] %) de troupeaux infectés. De plus, l'étude conduite sur les petits ruminants a permis de mettre en évidence l'absence de la maladie dans la grande majorité des élevages. En effet, 1 seul élevage a été détecté comme infecté. Enfin, l'espèce Brucella abortus biovar 2 a été identifiée dans un prélèvement de lait de bovin et Brucella melitensis dans un prélèvement de lait de caprin. La séroprévalence de la brucellose obtenue chez les bovins étant très élevée, des mesures de lutte ont été proposées. La stratégie « VETS » a été créée afin de réduire la présence de la brucellose dans la zone d'étude en tenant compte des contraintes locales. 4 piliers composent cette stratégie : la vaccination pour les jeunes bovins femelles de 4 à 8 mois ; l'éducation, avec la réalisation de campagnes de sensibilisation et de présentations des méthodes de lutte ; la réalisation de tests de dépistage de la brucellose ; et enfin, l'abattage d'un individu s'il est reconnu infecté.[-]
La brucellose est une maladie enzootique sur le continent africain et notamment en Zambie où la dernière étude menée en 2021 a mis en évidence une séroprévalence chez les bovins de 7,53 % à l'échelle individuelle avec 21,14 % de troupeaux infectés (Mfune et al., 2021). L'étude de la brucellose conduite au cours de cette thèse a été réalisée avec l'association Melindika, au sein de la chefferie de Musungwa, dans le district d'Itezhi-Teizhi en ...

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Cryptosporidium spp. est un parasite intracellulaire, qui résiste de façon prolongée à l'environnement grâce à ses structures de résistance : les oocystes. Il infecte aussi bien les animaux que les humains et est responsable d'un syndrome gastro-entérite chez la plupart des espèces, notamment chez les individus immunodéprimés ou jeunes. Il s'agit d'un parasite cosmopolite dans le monde, régulièrement à l'origine d'épidémies, dont les voies de contaminations sont principalement hydriques et alimentaires et dont l'origine est souvent imputée aux animaux, et plus particulièrement aux bovins ou aux petits ruminants considérés réservoirs du parasite. Ces derniers sont alors des sources potentielles d'infection parasitaires pour l'Homme. L'évolution de la biologie moléculaire, des techniques de diagnostic, de surveillance et les efforts mondiaux en termes de recherche scientifique nous permettent d'en apprendre plus et de comprendre l'épidémiologie du parasite chez les petits ruminants. Cryptosporidium spp. est principalement représenté par C. parvum, où la famille IIa circule principalement en Europe et la IId en Chine, C. xiaoi qui circule beaucoup en Asie et notamment en Chine chez les caprins ainsi qu'en Australie chez les ovins, et enfin C. ubiquitum, qui est moins représenté mais présent partout. Le sous-type le plus virulent est celui de C. parvum, IIa15G2R1, qualifié de « hypertransmissible ». Ce dernier circule en Europe et notamment en France chez les petits ruminants. A l'heure actuelle, aucun traitement avec AMM n'existe pour soigner et prévenir la cryptosporidiose chez les petits ruminants. Du fait de la morbidité importante du parasite et de sa mortalité potentielle notamment chez les jeunes, Cryptosporidium spp. est à l'origine de pertes économiques majeurs dans les élevages, de par les symptômes qu'il déclenche mais également par les conséquences invisibles qu'il peut avoir sur la croissance des animaux atteints par modification du microbiote. D'autant plus qu'on se rend compte qu'une part non négligeable de l'épidémiologie de Cryptosporidium spp. est liée à portage asymptomatique, et à la dissémination dans l'environnement d'oocystes infectants, notamment aux alentours des périodes de parturition. L'enjeu est donc de développer des traitements efficaces et de nombreux candidats sont actuellement testés, le Clinoptilolite ainsi que le Chitosan permettent d'aider à gérer cette parasitose, mais l'arrivée d'un vaccin, très récemment développé chez les bovins, pourrait permettre de prévenir de façon efficace cette dernière.[-]
Cryptosporidium spp. est un parasite intracellulaire, qui résiste de façon prolongée à l'environnement grâce à ses structures de résistance : les oocystes. Il infecte aussi bien les animaux que les humains et est responsable d'un syndrome gastro-entérite chez la plupart des espèces, notamment chez les individus immunodéprimés ou jeunes. Il s'agit d'un parasite cosmopolite dans le monde, régulièrement à l'origine d'épidémies, dont les voies de ...

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L'autopsie consiste à disséquer, inspecter et décrire les parties externes et internes d'un cadavre afin de rechercher les lésions et de déterminer, si possible, la cause de la mort de l'animal ou des signes cliniques ayant entraîné la décision d'euthanasie. La réalisation correcte de l'autopsie nécessite de maîtriser convenablement le temps de la prosection et d'effectuer les prélèvements adaptés au processus pathologique suspecté d'être à l'origine de la mort de l'animal. Cet outil pédagogique a pour objectif d'apporter à l'apprenant l'ensemble des connaissances nécessaires à la réalisation optimale des différents temps de la prosection et des prélèvements sous une forme numérique de type album photos commentées sur PowerPoint. Dans l'idéal, cet outil sera hébergé sur Connect, contrôlé par un identifiant/mot de passe (plateforme pédagogique par exemple, …). Ce site sera constitué d'un sommaire interactif distinguant les différentes espèces, les temps de dissection divisés en sous-parties (cavité thoracique, abdominale, tête, muscles, articulations…). Une subdivision par compartiment sera également présente en fonction des organes constituant chaque sous-parties.[-]
L'autopsie consiste à disséquer, inspecter et décrire les parties externes et internes d'un cadavre afin de rechercher les lésions et de déterminer, si possible, la cause de la mort de l'animal ou des signes cliniques ayant entraîné la décision d'euthanasie. La réalisation correcte de l'autopsie nécessite de maîtriser convenablement le temps de la prosection et d'effectuer les prélèvements adaptés au processus pathologique suspecté d'être à ...

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Les petits ruminants, à savoir les moutons et les chèvres, sont de plus en plus retrouvés dans les foyers français. Tout vétérinaire devrait être en mesure de s'adapter à cette nouvelle clientèle qui les considère comme de véritables animaux de compagnie. Ainsi, il peut être recommandé aux vétérinaires ruraux de revoir leur approche afin de s'adapter aux exigences de ces propriétaires. D'autre part, les vétérinaires exerçant en canine peuvent également être sollicités par des détenteurs de petits ruminants qui ne parviennent pas toujours à trouver un vétérinaire rural dans leur périmètre. Ainsi, les vétérinaires canins devraient accepter de recevoir ces espèces en consultation et être en mesure de conseiller les propriétaires. Ce travail a donc pour objectif de présenter la prise en charge d'un petit ruminant de compagnie que la consultation ait lieu en clinique ou au domicile du propriétaire. Il débute ainsi par la présentation du déroulement d'une consultation, de l'anamnèse aux examens complémentaires en passant bien évidemment par un examen clinique complet. Les principales maladies ovines et caprines sont ensuite présentées. La thèse se poursuit par un rappel des conditions d'élevage d'un petit ruminant afin que chaque vétérinaire puisse prodiguer des conseils et recommandations au sujet de la réglementation, de l'alimentation, de l'hébergement ou des soins nécessaires. Enfin, afin d'encadrer au mieux la détention de ces espèces et de lutter contre les adoptions irréfléchies, il pourrait être intéressant d'élargir la réglementation mise en place en octobre 2022 pour la détention de certains animaux de compagnie. En effet, un certificat d'engagement et de connaissance est dorénavant indispensable avant l'acquisition d'un chat, chien, furet, lagomorphe ou équidé. Un modèle de certificat est ainsi proposé à destination des ovins et des caprins de compagnie.[-]
Les petits ruminants, à savoir les moutons et les chèvres, sont de plus en plus retrouvés dans les foyers français. Tout vétérinaire devrait être en mesure de s'adapter à cette nouvelle clientèle qui les considère comme de véritables animaux de compagnie. Ainsi, il peut être recommandé aux vétérinaires ruraux de revoir leur approche afin de s'adapter aux exigences de ces propriétaires. D'autre part, les vétérinaires exerçant en canine peuvent ...

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This instructional book provides a portable, durable, beside-the-animal means of learning, as well as a convenient way to refresh on how to strive for safety and efficacy in animal handling techniques. It is ideal for use during veterinary placements in all settings from farm to laboratory, to riding school.

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Pulex irritans est une espèce de puce dont la biologie reste encore méconnue. Elle infeste surtout les carnivores sauvages, mais aussi les petits ruminants et l'Homme. Elle peut alors être à l'origine de stress intense et d'exclusion sociale. D'importantes infestations en élevages ovins et caprins ont récemment été rapportées dans le Sud-Ouest de la France. Ainsi, cette étude a eu pour objectifs de (i) réaliser une analyse descriptive de ces infestations, grâce à un questionnaire proposé aux éleveurs de quatre départements du Sud-Ouest, de (ii) confirmer la présence de P. irritans dans les élevages touchés et de (iii) rechercher par biologie moléculaire la présence de l'ADN de bactéries zoonotiques du genre Bartonella au sein des puces collectées. Au total, 63 élevages ont été inclus dans l'étude, dont 13 actuellement infestés et 10 l'ayant été par le passé. L'espèce Pulex irritans a été confirmée pour la totalité des échantillons. Cette étude inédite confirme l'importance de ce problème de santé publique, pourtant négligé en élevage, et souligne la difficulté de sa gestion.[-]
Pulex irritans est une espèce de puce dont la biologie reste encore méconnue. Elle infeste surtout les carnivores sauvages, mais aussi les petits ruminants et l'Homme. Elle peut alors être à l'origine de stress intense et d'exclusion sociale. D'importantes infestations en élevages ovins et caprins ont récemment été rapportées dans le Sud-Ouest de la France. Ainsi, cette étude a eu pour objectifs de (i) réaliser une analyse descriptive de ces ...

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L'utilisation excessive des anthelminthiques depuis leur découverte dans les années 1960-1980 a entrainé le développement rapide de populations de strongles gastro-intestinaux résistantes à ces molécules chez les petits ruminants. Ce phénomène s'accélère au niveau mondial, incitant les scientifiques à rechercher de nouveaux outils pour une gestion intégrée du parasitisme et une utilisation raisonnée des anthelminthiques. L'objectif est de maintenir une population refuge de parasites non soumise à ces molécules, afin de permettre une dilution des strongles résistants parmi les sensibles. Chez les petits ruminants élevés en zone tropicale, Haemonchus contortus est un problème majeur en raison de sa prédominance et de sa grande pathogénicité. La méthode FAMACHA a été développée en Afrique du Sud chez les ovins pour identifier les animaux parasités par ce strongle hématophage et permettre leur traitement sélectif. Elle se base sur l'observation de la couleur de la muqueuse oculaire et la quantification du degré d'anémie de l'animal, qui oriente la décision de traitement. Cette méthode a été validée chez les ovins puis élargie aux caprins, avant d'être appliquée dans de nombreuses régions du monde. Sa capacité à identifier les animaux à traiter en fait un outil efficace en zone tropicale. Elle permet une réduction importante de l'utilisation des anthelminthiques et a été bien reçue par les éleveurs grâce aux gains économiques qu'elle génère, malgré le temps et la rigueur que sa mise en place nécessite. Il s'agit du premier outil de traitement sélectif fiable applicable facilement en élevage. Sa combinaison avec d'autres indicateurs cliniques permet d'accroître sa sensibilité.[-]
L'utilisation excessive des anthelminthiques depuis leur découverte dans les années 1960-1980 a entrainé le développement rapide de populations de strongles gastro-intestinaux résistantes à ces molécules chez les petits ruminants. Ce phénomène s'accélère au niveau mondial, incitant les scientifiques à rechercher de nouveaux outils pour une gestion intégrée du parasitisme et une utilisation raisonnée des anthelminthiques. L'objectif est de ...

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En 2016, le GDS Corse mit en place un protocole de surveillance du parasitisme interne des petits ruminants corses, afin de proposer aux éleveurs des outils pour décrire le parasitisme dans leur élevage et adapter les mesures de gestion. Les résultats de cette surveillance, basée sur des coproscopies, sont saisis dans une base de données. En outre, en 2019, une étude d'efficacité des benzimidazoles et des lactones macrocycliques fut réalisée à l'aide de tests de réduction d'excrétion fécale post-traitement. Les données issues du protocole de surveillance du parasitisme pour l'année 2018 révélèrent des prévalences et des intensités d'infestation par les strongles gastro-intestinaux dans les valeurs usuelles pour des élevages ovins et caprins semi-extensifs à extensifs. Dicrocoelium lanceolatum était présent dans la moitié des coproscopies d'ovins mais dans seulement 2 des 50 coproscopies de caprins. Les autres trématodes furent rarement observés dans les fèces. La fréquence annuelle de traitements anthelminthiques fut estimée à 1,1 dans les élevages de notre échantillon. Enfin, sur 6 élevages ovins et caprins, 4 montrèrent une résistance aux benzimidazoles, associée à une résistance aux lactones macrocycliques dans 1 élevage. Les travaux de cette thèse permirent d'enrichir les données épidémiologiques du parasitisme interne et de mettre en évidence des résistances aux anthelminthiques chez les ovins et les caprins corses. Les résistances nécessitent d'autres études, afin d'estimer plus précisément leur prévalence réelle dans les élevages de petits ruminants en Corse.[-]
En 2016, le GDS Corse mit en place un protocole de surveillance du parasitisme interne des petits ruminants corses, afin de proposer aux éleveurs des outils pour décrire le parasitisme dans leur élevage et adapter les mesures de gestion. Les résultats de cette surveillance, basée sur des coproscopies, sont saisis dans une base de données. En outre, en 2019, une étude d'efficacité des benzimidazoles et des lactones macrocycliques fut réalisée à ...

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Le syndrome de lactation anormale affecte les petits ruminants n'ayant pas obligatoirement eu de gestation par le passé. Cette pathologie, peu connue des vétérinaires actuellement en exercice en France, se traduit principalement par une augmentation de taille de la mamelle et une production lactée plus ou moins importante. De nombreuses mesures de gestion, de tarissement et médicales peuvent être mises en œuvre pour le traitement de ce syndrome, mais se révèlent bien souvent inefficaces. Les mesures chirurgicales semblent plus adaptées lorsqu'elles sont soigneusement effectuées. Ce travail avait pour but d'évaluer la prévalence de cette pathologie en France, de répertorier les traitements mis en œuvre par les vétérinaires, d'estimer leur taux de réussite et de faire connaître aux vétérinaires les différentes prises en charge possibles de cette maladie. Pour cela, une enquête a été réalisée auprès de vétérinaires via un questionnaire en ligne, avec collecte de 39 réponses. La fréquence de survenue du syndrome de lactation anormale a été estimée à un cas par an en moyenne dans la clientèle des vétérinaires répondants, avec toutefois des variations (entre zéro et cinq). Les examens complémentaires sont rarement utilisés, malgré leur intérêt clairement démontré pour le diagnostic de certaines pathologies sous-jacentes. Des réponses très différentes ont été obtenues concernant la gestion thérapeutique de ce syndrome, témoignant d'une probable méconnaissance de cette pathologie par les praticiens. Les mesures de tarissement et médicales sont le plus souvent utilisées par les vétérinaires, avec cependant un taux d'échec de près de 50 %. Les mesures chirurgicales sont quant à elles peu utilisées. Cette enquête constitue un premier état des lieux de cette pathologie. Comme aucune donnée n'existait jusqu'alors en France et très peu dans la littérature étrangère, ce travail constitue un document intéressant, d'autant plus que le nombre de petits ruminants « de compagnie » étant actuellement en hausse dans le pays, une augmentation de la prévalence de ce syndrome est peut-être à prévoir.[-]
Le syndrome de lactation anormale affecte les petits ruminants n'ayant pas obligatoirement eu de gestation par le passé. Cette pathologie, peu connue des vétérinaires actuellement en exercice en France, se traduit principalement par une augmentation de taille de la mamelle et une production lactée plus ou moins importante. De nombreuses mesures de gestion, de tarissement et médicales peuvent être mises en œuvre pour le traitement de ce syndrome, ...

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- Echec au traitement anti-parasitaire : est-ce de la résistance ?
- Traiter aussi peu que possible mais autant que nécessaire en parasitologie bovine
- Les médicaments vétérinaires et leurs résidus : quels risques pour les organismes non ciblés et les écosystèmes ?
- Gestion des parasitoses chez les bovins : intérêts et limites du diagnostic de laboratoire

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Cattle and sheep medicine H

Scott, Philip R. | 2nd Edition | CRC Press | 2016

eBook | Cote : R-01-03

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Avortements Tome 1

Collectif d'auteurs | SNGTV | 2013

N°spécial | Cote : 103550

- Dispositifs de surveillance
- Démarche diagnostique
- Mesures de maîtrise

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