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Documents Prolapsus utérin 16 résultats

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Ce travail fait une comparaison sur la gestion corrective et préventive et sur l'épidémiologie des prolpapsus utérins en élevage laitier et allaitant. Pour cela, dans une première partie, les points communs du prolapsus utérins dans les élevages laitiers et allaitants ont été décrits : l'anatomie génitale, le déroulement et les mesures correctives du prolapsus utérin. / Ensuite, dans une deuxième partie, les différences ont été étudiées : l'épidémiologie descriptive, analytique à travers les facteurs favorisants le prolapsus utérin et les principales mesures préventives. Les carences en calcium et magnésium et les dystocies sont apparues comme les principaux facteurs favorisants les prolapsus utérins. Les moyens de prévention de ces facteurs favorisants sont respectivement une préparation au vêlage à travers la ration et une conduite de la reproduction favorisant la naissance de veau plus petit sur des animaux bien conformé. / Enfin, une comparaison des contraintes et des conduites d'élevage en exploitations laitières et allaitantes a été faite pour essayer de faire un bilan sur les mesures préventives du prolapsus utérin dans ces deux ateliers. La différence de conduite provoquée par la valorisation d'un produit différent permet d'expliquer certaines différences dans l'épidémiologie des prolpapsus utérins. Cela a permis de faire un bilan sur les pratiques déjà utilisées en élevages laitiers et allaitants par les vétérinaires dans la prévention des prolapsus utérins et de mettre en perspective des échanges de ces pratiques entre les vétérinaires allaitants et laitiers.[-]
Ce travail fait une comparaison sur la gestion corrective et préventive et sur l'épidémiologie des prolpapsus utérins en élevage laitier et allaitant. Pour cela, dans une première partie, les points communs du prolapsus utérins dans les élevages laitiers et allaitants ont été décrits : l'anatomie génitale, le déroulement et les mesures correctives du prolapsus utérin. / Ensuite, dans une deuxième partie, les différences ont été étudiées : ...

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La douleur et l'inflammation induites lors de césarienne, dystocie ou prolapsus utérin, peuvent impacter les performances de reproduction de la vache. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont souvent proposés pour la prise en charge de la douleur et de l'inflammation post-partum. Cependant l'utilisation de certains AINS comme la flunixine est controversée car elle serait associée à une baisse des performances de reproduction, ce qui ne semble pas être le cas du méloxicam. Notre étude rétrospective avait donc pour objectif d'évaluer la fécondité, grâce à l'intervalle vêlage-vêlage, de vaches multipares charolaises ayant été traitées ou non avec du méloxicam, suite à une césarienne, une dystocie ou un prolapsus utérin. A partir des données collectées dans deux clientèles vétérinaires, trois échantillons ont été constitués : 246 multipares pour l'échantillon « césarienne » (lot traité n = 177 vs lot témoin n = 69), 51 multipares pour l'échantillon « dystocie » (lot traité n = 4 vs lot témoin n = 45) et 80 multipares pour l'échantillon « prolapsus utérin » (lot traité n = 16 vs lot témoin n = 64). Dans notre étude, la prise en charge de la douleur à l'aide de méloxicam n'impacte pas la fécondité (évaluée par l'intervalle vêlage-vêlage) lors de césarienne (lot traité = 401,7 ± 6,5 j vs lot témoin = 407,7 ± 8,3 j ; p = 0,58), de dystocie (lot traité = 384,5 ± 6,2 j vs lot témoin = 380 ± 10,3 j ; p = 0,29) et de prolapsus utérin (lot traité = 377,7 ± 8,1 j vs lot témoin = 394,9 ± 9,9 j ; p = 0,51). Concernant les taux de réforme, aucune différence significative n'a été mise en évidence entre les deux lots lors de césarienne (lot traité = 64,4 % vs lot témoin = 59,4 % ; p = 0,47), de dystocie (lot traité = 33,3 % vs lot témoin = 44,4 % ; p = 0,69) ou de prolapsus utérin (lot traité = 56,3 % vs lot témoin = 60,9 % ; p = 0,78). Ainsi, contrairement aux idées reçues sur les AINS et leur impact négatif sur les performances de reproduction, la prise en charge de la douleur et de l'inflammation lors de césarienne, de dystocie ou de réduction de prolapsus utérin à l'aide de méloxicam ne semble pas pénaliser l'intervalle vêlage-vêlage ni le taux de réforme.[-]
La douleur et l'inflammation induites lors de césarienne, dystocie ou prolapsus utérin, peuvent impacter les performances de reproduction de la vache. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont souvent proposés pour la prise en charge de la douleur et de l'inflammation post-partum. Cependant l'utilisation de certains AINS comme la flunixine est controversée car elle serait associée à une baisse des performances de reproduction, ce qui ...

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Chez la vache, le prolapsus utérin est une complication grave et fréquente de la mise-bas. Sa prise en charge se divise en trois étapes principales : l'anesthésie épidurale, la réduction du prolapsus et la suture vaginale de rétention. Cependant, pour des raisons éthiques, il n'est plus possible pour les étudiants de réaliser ces gestes techniques pour la première fois sur des animaux dans un contexte clinique d'urgence. La simulation médicale permet ainsi aux étudiants d'acquérir et de maitriser ces gestes sur des modèles inertes avant leur transposition sur des animaux. Or, si de nombreux modèles de simulation ont été développés ces dernières années, aucun ne s'intéresse à ce jour à la prise en charge des prolapsus utérins chez les ruminants.
L'objectif de cette thèse était donc d'élaborer des ateliers pédagogiques pour permettre aux étudiant d'avoir une première approche pratique de la prise en charge du prolapsus utérin, dans une situation sans danger pour le manipulateur, sans le stress associé à la gestion de l'urgence, de l'éleveur et du pronostic vital de l'animal. La simulation de l'anesthésie épidurale faisant l'objet d'un autre projet de thèse vétérinaire, le présent travail s'est concentré sur la réalisation de deux nouveaux ateliers de simulation ainsi que leur fiche méthodologique : le premier pour apprendre à réduire un prolapsus utérin, le second pour l'apprentissage d'une technique de suture vaginale de rétention, la suture de Bühner. Ces ateliers ont été conçus pour la salle de simulation VetSims de l'École nationale vétérinaire d'Alfort dans le but d'être intégrés dans le cursus de formation initial des étudiants vétérinaires avant leur passage en clinique.[-]
Chez la vache, le prolapsus utérin est une complication grave et fréquente de la mise-bas. Sa prise en charge se divise en trois étapes principales : l'anesthésie épidurale, la réduction du prolapsus et la suture vaginale de rétention. Cependant, pour des raisons éthiques, il n'est plus possible pour les étudiants de réaliser ces gestes techniques pour la première fois sur des animaux dans un contexte clinique d'urgence. La simulation médicale ...

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V
Le prolapsus utérin est l'invagination progressive puis l'expulsion par la vulve de la corne utérine gravide peu après l'expulsion du foetus. Des rappels sur la physiologie du déroulement de la parturition, puis sur la tonicité utérine, le relâchement des tissus pelviens, permettent de mieux comprendre les mécanismes physiopathogéniques du prolapsus utérin.
L'incidence du phénomène est faible. La population atteinte se situe plutôt chez les multipares en production laitière et chez les primipares en élevage allaitant. Les prédispositions anatomiques et physiologiques de l'espèce bovine la rendent particulièrement sensible à cet accident du vêlage : mésos lâches, mobilité importante de l'organe, fortes dilatations des segments postérieurs au moment de la mise-bas. L'atonie utérine, l'ouverture prolongée du col utérin, les ténesmes sont des facteurs déterminants.
Les troubles génitaux (rétention placentaire, prolapsus vaginal, dystocies foeto-matemelles) et l'hypocalcémie restent les facteurs causaux les plus évoqués.
Les symptômes sont caractéristiques : l'utérus est apparent, pendant de la vulve. La vache peut être en bonne forme, ou très atteinte sur le plan général. Le diagnostic est aisé, mais il faut impérativement identifier les complications (choc, hypocalcémie puerpérale, hémorragies).
Le traitement, qui doit être fait en urgence, repose sur trois possibilités : la réduction manuelle, l'abattage en urgence ou l'hystérectomie. Les deux premières solutions donnent d'excellents résultats et sont donc le plus souvent pratiquées. L'hystérectomie n'a qu'un très faible pronostic vital.
La réduction manuelle est une opération pénible, qui demande au moins un assistant. L'utérus est nettoyé et réparé, puis il est progressivement replacé dans l'abdomen. Les troubles généraux sont corrigés et une antibiothérapie est mise en place. Les complications per et post opératoires restent rares. L'hystérectomie sera réservée aux animaux dont l'utérus est trop endommagé pour pouvoir être replacé.
La prévention du prolapsus utérin est quasiment inexistante et repose sur la gestion rigoureuse des conditions de mise-bas, sur la maîtrise du rationnement pré et post-partum pour éviter les hypocalcémies puerpérales, sur les choix de croisement, pour éviter les dystocies foeto-matemelles.[-]
Le prolapsus utérin est l'invagination progressive puis l'expulsion par la vulve de la corne utérine gravide peu après l'expulsion du foetus. Des rappels sur la physiologie du déroulement de la parturition, puis sur la tonicité utérine, le relâchement des tissus pelviens, permettent de mieux comprendre les mécanismes physiopathogéniques du prolapsus utérin.
L'incidence du phénomène est faible. La population atteinte se situe plutôt chez les ...

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