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Veterinary parasitology H

Taylor, M.A. ; Coop, R.L. ; Wall, R.L. | 4th edition | Wiley Blackwell | 2015

eBook | Cote : P-01-00-22D

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H
Neospora caninum est une coccidie responsable d'avortements chez les bovins. L'infection a aussi été décrite chez d'autres espèces de mammifères domestiques (le chien, le mouton, la chèvre et le cheval) et sauvages (le cerf, le chevreuil, le chamois, le renard et le coyote). Après avoir dressé le bilan des connaissances actuelles nécessaires à la compréhension de la biologie de ce parasite, l'auteur présente une étude visant à évaluer la prévalence de l'infection par N. caninum, en France, dans des populations de chamois (Rupricapra rupricapra), de bouquetins (Capra ibex), de chevreuils (Capreolus capreolus) et de renards roux (Pulpes vulpes). Des anticorps anti-Neospora ont été recherchés dans les sérums de 274 ruminants et de 157 renards au moyen de techniques de séroagglutination et d'ELISA indirect et par compétition (kits commercialisés). Cette étude a aussi été entreprise pour savoir si le renard roux peut dans les conditions naturelles être un hôte intermédiaire ou définitif pour N caninum. Le parasite a été recherché dans les prélèvements de matières fécales (52 animaux), d'encéphales (78 animaux) et de foetus (provenant de 17 femelles) de renards sauvages chassés en Bretagne. Un examen coprologique après enrichissement par la méthode de flottation au sucrose a été réalisé pour rechercher les oocystes coccidiens dans les matières fécales des renards. Une technique d'amplification génique (PCR) de la région Nc5, spécifique de Neospora, a été employée pour rechercher le parasite dans les fèces, les encéphales et les feetus. A l'issue de l'étude de séroprévalence, nous avons privilégié les résultats obtenus par la séroagglutination. Avec cette technique, 31 des 105 chevreuils, 5 des 63 bouquetins et 41 des 157 renards ont des anticorps à un titre supérieur ou égal au 1/40 (seuil de positivité choisi). En revanche, aucun anticorps anti-N. caninum n'a été détecté chez les chamois. Dans la seconde étude, aucun oocyste n'a été observé à l'examen coprologique des matières fécales, mais l'ADN de N caninum a été amplifié pour 9 (11,5 %) des 78 encéphales et 8 (15,4 %) des 52 prélèvements de fèces de renards sauvages. Aucun des prélèvements de foetus n'a fourni de signal en PCR. L'intensité des signaux des échantillons positifs est relativement faible, à l'exception d'un encéphale pour lequel le séquençage de l'ADN amplifié a révélé une forte similitude avec la séquence de l'ADN de N caninum. Ces résultats indiquent que la prévalence de l'infection par N. caninum dans les populations de chevreuils (29,5 +/- 8,9%) et de renards roux (32,8 +/- 8,4%) est élevée en France, en particulier en Bretagne. Nous avons d'autre part confirmé que le renard roux est un hôte intermédiaire pour le parasite (signal PCR intense et séquençage de l'ADN). Nous avons aussi mis en évidence la présence d'ADN dans les matières fécales de renards sauvages, mais sans pouvoir affirmer que le renard excrète des oocystes et qu'il est hôte définitif pour N. caninum. L'infection latente des chevreuils et des renards roux indique que ces animaux pourraient jouer un rôle dans l'épidémiologie de la néosporose en France.[-]
Neospora caninum est une coccidie responsable d'avortements chez les bovins. L'infection a aussi été décrite chez d'autres espèces de mammifères domestiques (le chien, le mouton, la chèvre et le cheval) et sauvages (le cerf, le chevreuil, le chamois, le renard et le coyote). Après avoir dressé le bilan des connaissances actuelles nécessaires à la compréhension de la biologie de ce parasite, l'auteur présente une étude visant à évaluer la ...

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