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Llamas and alpacas are a globally expanding area of interest in the farming world, and in the UK alone now number over 50,000. As such, there is an urgent need to provide up-to-date, specific information on these animals. Kept as pets, stud animals, livestock guardians, and farmed for fibre and meat, national herds continue to grow and are an increasingly frequent presentation for large animal vets. This book provides practical, everyday veterinary advice on common conditions and surgical procedures. This new edition:
- Covers basic husbandry, nutrition, examination, vaccines, analgesia, anaesthesia, dermatology, and poisons;
- Expands on previous zoonotic disease coverage, as well as other key issues such as biosecurity, handling, and management of these animals;
- Updates advice throughout, including changes to legislation and advances in new treatments, surgical techniques, and medicines.
With medical and surgical options arranged by body system for easy reference, this book is an important tool for any veterinarian to have at their disposal. It also provides an approachable and practical resource for students of veterinary medicine and animal production.
[-] Llamas and alpacas are a globally expanding area of interest in the farming world, and in the UK alone now number over 50,000. As such, there is an urgent need to provide up-to-date, specific information on these animals. Kept as pets, stud animals, livestock guardians, and farmed for fibre and meat, national herds continue to grow and are an increasingly frequent presentation for large animal vets. This book provides practical, everyday ...
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Cette étude expérimentale évalue et compare les effets sédatifs de l'administration intranasale de midazolam (2mg/kg) ou de diazépam (2mg/kg), seul ou avec du butorphanol (2mg/kg), chez la poule. Un protocole en cross-over avec 3 traitements a été réalisé chez 6 poules, évaluant les propriétés sédatives du midazolam, ainsi que des associations midazolam-butorphanol et diazépam-butorphanol. L'évaluation de la sédation repose sur la notation de 9 paramètres, à 5, 10, 20 et 45 minutes après l'administration (vigilance, posture, port de tête, yeux, mise en décubitus dorsal, positionnement radio, stimulus nociceptif, prise de sang, écouvillon trachéal). Les résultats indiquent une sédation suffisante, permettant notamment le maintien de l'animal en décubitus dorsal nécessaire lors d'une radiographie, avec des variations d'intensité et de durée entre les 3 protocoles testés. L'utilisation de diazépam ou de midazolam associés au butorphanol par voie intranasale offre une sédation d'intensité équivalente, mais d'installation plus rapide et de durée plus longue avec le protocole contenant le diazépam, tandis que le midazolam seul offre une sédation d'intensité comparable mais d'installation plus lente et d'une durée plus courte. Aucun effet non recherché majeur n'a été observé, confirmant la sécurité de l'administration intranasale de médicaments chez la poule.
[-] Cette étude expérimentale évalue et compare les effets sédatifs de l'administration intranasale de midazolam (2mg/kg) ou de diazépam (2mg/kg), seul ou avec du butorphanol (2mg/kg), chez la poule. Un protocole en cross-over avec 3 traitements a été réalisé chez 6 poules, évaluant les propriétés sédatives du midazolam, ainsi que des associations midazolam-butorphanol et diazépam-butorphanol. L'évaluation de la sédation repose sur la notation de 9 ...
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La sédation par voie intranasale est une méthode facile à réaliser chez le chat et mieux tolérée que d'autres voies plus classiques. Cependant l'administration intranasale effectuée sous forme de goutte est à l'origine d'un nombre conséquent de déglutition qui pourrait être dû à un volume administré inadéquat par rapport au volume des cavités nasales chez le chat. C'est pourquoi l'objectif de ce travail est d'étudier la répartition d'un produit injecté par voie intranasale dans les cavités nasale et d'étudier le volume des cavités nasales chez le chat en utilisant la tomodensitométrie afin d'améliorer les protocoles d'injection d'un produit par voie intranasale chez le chat. L'injection intranasale de résine sur un chat mort a montré qu'un produit injecté de cette façon ne circule pas dans le compartiment caudal du sinus frontal. Les données tomodensitométriques ont été obtenues sur 26 chats âgés de 7 mois à 17 ans, présentant des cavités nasales saines. La tomodensitométrie a mis en évidence une différence significative entre le volume moyen des cavités nasales du chat européen adulte mâle (9.056 ± 1.732 mL) et du chat européen adulte femelle (5.548 ± 1.106 mL) sans influence du poids, du poids idéal, ou de l'âge.
[-] La sédation par voie intranasale est une méthode facile à réaliser chez le chat et mieux tolérée que d'autres voies plus classiques. Cependant l'administration intranasale effectuée sous forme de goutte est à l'origine d'un nombre conséquent de déglutition qui pourrait être dû à un volume administré inadéquat par rapport au volume des cavités nasales chez le chat. C'est pourquoi l'objectif de ce travail est d'étudier la répartition d'un produit ...
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De nombreux actes courants en médecine vétérinaire nécessitent une prise en charge anesthésique mais la voie d'administration per se des médicaments sédatifs peut être à l'origine d'un stress important chez l'animal. Cette étude a pour objectif d'évaluer la faisabilité de l'administration conjointe de médétomidine et de méthadone par voie intranasale (IN) chez le chat, ainsi que ses effets sédatifs, cardiovasculaires, respiratoires et analgésiques, en comparaison avec la voie intramusculaire (IM). Cette étude clinique prospective a été réalisée sur 19 chattes femelles entières présentées au CHUVAC pour ovariectomie entre Mars et Mai 2022. Les chattes ont été aléatoirement réparties en deux groupes, recevant un mélange de médétomidine (20 μg/kg) et de méthadone (0,2 mg/kg) par voie IM (n=9) ou IN (n=10). Différents paramètres cliniques et instrumentaux ont été suivis de la prémédication au réveil (4h après extubation). L'administration IN est ainsi facile à réaliser et semble indolore. Cependant, la voie IN est à l'origine de plus d'effets non recherchés immédiats que la voie IM. Elle entraîne une sédation moins profonde et plus tardive (15 min versus 5 min) mais de moindres effets cardiovasculaires : diminution de fréquence cardiaque moins importante (38,1 ± 12,4 % versus 45,8 ± 9,5 %), augmentation de pression artérielle plus transitoire. En outre, aucune diminution de la fréquence respiratoire n'est observée dans le groupe IN contrairement au groupe IM. Durant la phase de maintenance, ces paramètres ne montrent plus de différence significative. Les autres paramètres cardiovasculaires et respiratoires (couleur des muqueuses, temps de remplissage capillaire, SpO2, EtCO2) ainsi que la gestion de l'analgésie peropératoire ne sont pas significativement différents entre les 2 groupes. Les scores de douleur post-opératoire sont significativement plus hauts pour la voie IM. L'administration intranasale conjointe de 20 μg/kg de médétomidine et 0,2 mg/kg de méthadone produit une sédation plus lente et moins profonde mais est associée à des effets cardiovasculaires et respiratoires plus réduits qu'une administration IM dans l'espèce féline. Elle représente donc une voie d'administration alternative prometteuse des médicaments sédatifs chez le chat, avec cependant différentes perspectives d'amélioration.
[-] De nombreux actes courants en médecine vétérinaire nécessitent une prise en charge anesthésique mais la voie d'administration per se des médicaments sédatifs peut être à l'origine d'un stress important chez l'animal. Cette étude a pour objectif d'évaluer la faisabilité de l'administration conjointe de médétomidine et de méthadone par voie intranasale (IN) chez le chat, ainsi que ses effets sédatifs, cardiovasculaires, respiratoires et a...
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La sédation chez le chat est nécessaire à la réalisation de nombreux actes en médecine vétérinaire. Néanmoins, elle est à l'origine d'effets non recherchés et l'administration de médicaments sédatifs est une source de stress importante pour l'animal, qui plus est pour l'espèce féline. Notre étude a pour but de décrire la faisabilité de l'administration intranasale (gouttes et atomisation) de dexmédétomidine chez le chat, puis d'évaluer les effets sédatifs, cardiovasculaires et respiratoires dont elle est à l'origine, en comparaison à une administration intramusculaire. Cette étude expérimentale prospective a été réalisée sur 26 chats mâles, entiers, présentés au CHUVAC pour une castration chirurgicale. Les chats ont été répartis en trois groupes recevant 20 μg/kg de dexmédétomidine par voie intramusculaire (IM), par voie intranasale sous forme de gouttes (INg) ou par voie intranasale par atomisation (INa). Divers paramètres cliniques et instrumentaux ont été suivis sur la période de prémédication, au moment de l'extubation et toutes les 10 min, pendant l'heure qui a suivi l'extubation. Une analyse statistique a été réalisée afin de comparer les paramètres au cours du temps, au sein des groupes mais également entre les groupes. L'administration par voie intranasale par gouttes et par atomisation se révèle aussi facile à mettre en place que l'administration intramusculaire et ne semble pas engendrer de douleur. Néanmoins, des effets non recherchés immédiats, notamment des vomissements, sont majorés par l'administration intranasale. La mise en place des effets sédatifs ainsi que le pic sédation sont atteints le plus rapidement, respectivement après une administration IM, INa et INg (5 min [IM], 10 min [INa], 15 min [INg]). La durée de la sédation est plus longue en IM, résultant en une plus grande proportion de chats nécessitant une antagonisation des effets sédatifs résiduels. Le pic de diminution de la fréquence cardiaque, par rapport à T0, est significativement plus marqué suite à une administration IM. Quel que soit le mode d'administration, on note un pic d'hypertension artérielle, par rapport à la valeur basale, plus marquée pour le groupe IM. Il n'y a pas de différence significative concernant la couleur des muqueuses, le temps de recoloration capillaire, la fréquence respiratoire ou la SpO2. Aucun effet secondaire retardé, après l'intervention n'a été observé dans les groupes. L'administration intranasale de dexmédétomidine, qui plus est par atomisation, est donc une bonne alternative à l'administration intramusculaire car elle produit une sédation de même intensité tout en minorant les effets cardiovasculaires non recherchés.
[-] La sédation chez le chat est nécessaire à la réalisation de nombreux actes en médecine vétérinaire. Néanmoins, elle est à l'origine d'effets non recherchés et l'administration de médicaments sédatifs est une source de stress importante pour l'animal, qui plus est pour l'espèce féline. Notre étude a pour but de décrire la faisabilité de l'administration intranasale (gouttes et atomisation) de dexmédétomidine chez le chat, puis d'évaluer les ...
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Manual of Equine Anesthesia and Analgesia provides practitioners and veterinary students with concise, highly practical guidance to anesthetizing horses, donkeys, and mules. Using a bulleted quick-reference format, this popular resource covers the basic physiological and pharmacological principles of anesthesia, patient preparation and monitoring, and the management of sedation and anesthesia. Chapters written by leading veterinary anesthesiologists contain numerous clinical images and illustrations, case examples, tables, diagrams, and boxed summaries of important points.
Now in full color, the second edition features extensively revised and updated information throughout. New sections cover chronic pain, management of horses undergoing MRI, ventilators, nerve blocks for reproductive surgery, muscle relaxants, various new drugs, paravertebral anesthesia, treatment of pain using acupuncture and physical rehabilitation techniques, and more. Up-to-date appendices contain drug lists and dosages as well as equations related to equine cardiovascular and respiratory systems. This concise, easy-to-follow guide:
Provides practical, clinically oriented information on anesthetizing equids
Uses a bulleted format designed for fast access of key information
Offers step-by-step instructions and diagrams of nerve blocks of the limbs, head, and ophthalmic structures
Includes new coverage of topics including regulation of extracellular fluid and blood pressure, acid-base disorders, and hemodynamic effects of autonomic drugs
Manual of Equine Anesthesia and Analgesia, Second Edition, remains a must-have resource for all equine practitioners and veterinary students involved with anesthetizing horses.
[-] Manual of Equine Anesthesia and Analgesia provides practitioners and veterinary students with concise, highly practical guidance to anesthetizing horses, donkeys, and mules. Using a bulleted quick-reference format, this popular resource covers the basic physiological and pharmacological principles of anesthesia, patient preparation and monitoring, and the management of sedation and anesthesia. Chapters written by leading veterinary anes...
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Cette étude prospective vise à évaluer la voie intranasale comme alternative à la voie gazeuse dans le cadre d'une sédation légère chez la poule. Deux protocoles à base de diazépam (2 mg/kg) associé ou non à du butorphanol (2mg/kg) ont été expérimentés en cross-over chez 8 poules. La sédation est estimée par la notation de 7 paramètres à 5, 10, 20 et 45 minutes post-administration. Chaque valeur est ensuite comparée à la note basale évaluée avant la sédation. L'administration des protocoles a procuré une sédation satisfaisante en moins de 10 minutes. Elle est notamment suffisante pour placer les animaux en position pour radiographies qui est un examen complémentaire important chez la poule. Cependant aucune différence significative n'a été observée entre les deux protocoles. Quelques effets secondaires indésirables ont été observés tels que de l'épistaxis ou de l'encombrement respiratoire mais sans conséquence sur l'état général des animaux.
[-] Cette étude prospective vise à évaluer la voie intranasale comme alternative à la voie gazeuse dans le cadre d'une sédation légère chez la poule. Deux protocoles à base de diazépam (2 mg/kg) associé ou non à du butorphanol (2mg/kg) ont été expérimentés en cross-over chez 8 poules. La sédation est estimée par la notation de 7 paramètres à 5, 10, 20 et 45 minutes post-administration. Chaque valeur est ensuite comparée à la note basale évaluée ...
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La sédation est largement pratiquée en médecine humaine et vétérinaire et est essentielle à la réalisation de différents actes douloureux ou inconfortables. Actuellement, les molécules sédatives sont le plus souvent administrées par voie intramusculaire ou intraveineuse. Cependant, l'usage de la voie intranasale afin d'obtenir une sédation est de plus en plus pratiqué en médecine humaine. En médecine vétérinaire, elle a déjà fait l'objet de plusieurs études, sans pour autant être actuellement utilisée en routine parles praticiens vétérinaires. Cette voie présente notamment l'avantage d'être indolore et d'éviter toute effraction cutanée. Ce travail de thèse permet de faire le point sur l'usage de la voie intranasale pour l'administration de molécules sédatives chez l'homme et chez l'animal ainsi que sur les indications d'utilisation de cette voie d'administration. Il réalise une synthèse des connaissances actuelles en médecine humaine et vétérinaire à propos de la sédation par voie intranasale. L'objectif de ce travail est de proposer un protocole de sédation intranasale utilisable en routine par les vétérinaires praticiens chez le chat. Dans une première partie, l'auteur évoque les particularités anatomiques, physiologiques et histologiques des cavités nasales. Dans une deuxième partie, l'auteur présente les propriétés physico-chimiques et pharmacocinétiques des molécules sédatives les plus utilisées en médecine humaine et vétérinaire, à savoir la kétamine, la médétomidine et dexmédétomidine, les benzodiazépines et les morphiniques. Dans une troisième partie, l'auteur reprends les études menées sur l'administration des molécules sus-citées par voie intranasale en médecine humaine et vétérinaire. Enfin, dans une quatrième partie, l'auteur propose un protocole d'étude de la sédation par voie intranasale chez le chat, dans le cadre du parage d'un abcès sous- cutané.
[-] La sédation est largement pratiquée en médecine humaine et vétérinaire et est essentielle à la réalisation de différents actes douloureux ou inconfortables. Actuellement, les molécules sédatives sont le plus souvent administrées par voie intramusculaire ou intraveineuse. Cependant, l'usage de la voie intranasale afin d'obtenir une sédation est de plus en plus pratiqué en médecine humaine. En médecine vétérinaire, elle a déjà fait l'objet de ...
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La sédation chez le chat est un acte couramment utilisé en médecine vétérinaire. Elle peut cependant être à l'origine d'effets secondaires non désirés et potentiellement une source de stress importante, du fait de la contention nécessaire à l'administration des médicaments. Cette étude a pour but de décrire la faisabilité de l'administration intranasale de médétomidine chez le chat ainsi que d'évaluer les effets sédatifs, cardiovasculaires et respiratoires dont elle est à l'origine en la comparant avec l'administration intramusculaire. Cette étude expérimentale prospective a été réalisées sur 26 chats mâles entiers présentés au CHUVAC pour une castration chirurgicale. Les chats ont été répartis en deux groupes recevant 40 μg/kg de médétomidine par voie intramusculaire (groupe IM) ou par voie intranasale sous forme de goutte (groupe INg). Un certains nombre de paramètres cliniques et instrumentaux (cardiovasculaires, respiratoires, faisabilité de l'administration, scores de sédation) ont été suivis sur une période d'une heure (T0 à T60), au moment de l'extubation (Text) et sur une période de deux heures suivant l'extubation (Text+1h et Text+2h). Plusieurs tests statistiques ont été réalisés pour comparer les paramètres au cours du temps et entre les deux groupes. L'administration INg se révèle ainsi plus facile à réaliser que l'administration IM 5 [3 – 5] versus 3 [2 – 5]). La mise en place ainsi que le pic sédation sont atteints plus rapidement après une administration IM comparée à une administration INg (10 min versus 15 min ; 10 min versus 20 min). La durée est également plus longue en IM (90,6 ± 33,26 min versus 73,06 ± 11,47 min) résultant en une plus grande proportion d'antagonisation pour ce groupe. Concernant le pic de diminution de la fréquence cardiaque, il est plus limité après une administration INg (31 ± 10% versus 48 ± 11 %). Il n'y a en revanche pas de différence significative concernant les autres paramètres cardiovasculaires (pression artérielle, couleur des muqueuses et temps de recoloration capillaire), les paramètres respiratoires (fréquence respiratoire et saturation artérielle en O2), le score de douleur post-opératoire. Aucun effet secondaire 48 heures après l'intervention n'a été observé dans les deux groupes. L'administration intranasale de 40 μg/kg de médétomidine produit une sédation efficace avec moins d'effets cardiovasculaires (notamment la bradycardie moins importante) qu'une administration IM et pourrait être considérée comme une alternative à la voie IM chez le chat.
[-] La sédation chez le chat est un acte couramment utilisé en médecine vétérinaire. Elle peut cependant être à l'origine d'effets secondaires non désirés et potentiellement une source de stress importante, du fait de la contention nécessaire à l'administration des médicaments. Cette étude a pour but de décrire la faisabilité de l'administration intranasale de médétomidine chez le chat ainsi que d'évaluer les effets sédatifs, cardiovasculaires et ...
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L'objectif de cette étude est de comparer les modifications topographiques et la sensibilité tactile du larynx et du pharynx entre quatre protocoles de sédanalgésie sur chevaux debout. Pour réaliser les expériences, huit juments du troupeau expérimental d'ONIRIS ont été sélectionnées. Les quatre protocoles comportaient une molécule sédative (détomidine ou xylazine) et une molécule analgésique (butorphanol ou lidocaine) toutes injectées par voie intraveineuse sauf la lidocaine appliquée localement. La qualité de la sédation, la différence de hauteur de tête avant et après sédation et les mouvements de tête étaient relevés. Le grade d'abduction des cartilages aryténoïdes, le collapsus du pharynx dorsal et le déplacement dorsal du voile du palais étaient aussi évalués. La sensibilité tactile du pharynx et du larynx était appréciée par des stimulations à l'aide d'un stylet atraumatique sur 10 zones différentes et prédéfinies. L'utilisation d'un modèle linéaire à effet fixe et d'un modèle généralisé à effet fixe a permis de mettre en évidence les interactions et les effets des différentes molécules. Nous avons donc pu dire que la hauteur de tête diminuait significativement avec les protocoles incluant la xylazine. Les mouvements de tête augmentaient significativement avec le butorphanol. Aucun protocole n'influençait le grade d'abduction des cartilages aryténoïdes ni le déplacement dorsal du voile du palais par rapport au groupe contrôle. Le collapsus du pharynx dorsal était significativement plus fréquent avec les protocoles comprenant la lidocaine et la xylazine. Au niveau du pharynx, la sensibilité tactile n'était pas différente avec ou sans protocole de sédanalgésie. Concernant le larynx, la sensibilté diminuait quel que soit le protocole par rapport au groupe contrôle.
[-] L'objectif de cette étude est de comparer les modifications topographiques et la sensibilité tactile du larynx et du pharynx entre quatre protocoles de sédanalgésie sur chevaux debout. Pour réaliser les expériences, huit juments du troupeau expérimental d'ONIRIS ont été sélectionnées. Les quatre protocoles comportaient une molécule sédative (détomidine ou xylazine) et une molécule analgésique (butorphanol ou lidocaine) toutes injectées par voie ...
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