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L'exposome représente l'ensemble des expositions à des facteurs environnementaux (incluant le style de vie) auquel un organisme est soumis tout au long de sa vie depuis la période prénatale jusqu'à sa mort. Le concept d'exposome permet l'identification de facteurs de risque au sein des études épidémiologiques. Son étude chez le chien, en plus de présenter un réel intérêt pour la gérontologie vétérinaire, permettrait également de mieux comprendre l'exposome humain. Le but de ce travail est l'étude de l'association causale entre certaines composantes de l'exposome identifiées comme facteurs de risque de décès potentiels chez le chien - l'activité physique, le régime alimentaire, l'environnement fumeur et la pollution atmosphérique - et la survenue du décès toute cause chez le chien âgé. SeniorDog est une cohorte conduite entre mars 2015 et juillet 2020 à l'École nationale vétérinaire d'Alfort incluant 80 chiens de propriétaires de race Labrador ou Golden Retrievers de neuf ans ou plus. Les informations ont été collectées par questionnaire à l'inclusion (J0). Des courbes de survie de Kaplan-Meier ont été tracées selon chacune des composantes de l'exposome étudiée, et des « Hazards ratios » (HR) de décès ont été estimés par un modèle de Cox. Dans notre échantillon, les chiens peu actifs mouraient plus rapidement que les chiens actifs, avec un temps de survie médian respectivement de 15,0 mois et 37,7 mois. Indépendamment des caractéristiques de base du chien (âge à J0, sexe, race, et stérilisation) et après prise en compte de facteurs de confusion potentiels, les chiens peu actifs à J0 décédaient significativement plus rapidement que les chiens actifs (HR ajusté = 2,50, intervalle de confiance à 95 % : (1,34 ; 4,68), valeur de p < 0,01). Nous n'avons pas réussi à mettre en évidence d'associations causales avec les autres composantes de l'exposome étudiées et la survenue d'un décès toute cause : ces associations étaient à la limite de la significativité. Une faiblesse méthodologique plutôt qu'une absence réelle de causalité nous semble le plus à-même d'expliquer cela. Des études supplémentaires seraient alors nécessaires afin de préciser ces résultats.[-]
L'exposome représente l'ensemble des expositions à des facteurs environnementaux (incluant le style de vie) auquel un organisme est soumis tout au long de sa vie depuis la période prénatale jusqu'à sa mort. Le concept d'exposome permet l'identification de facteurs de risque au sein des études épidémiologiques. Son étude chez le chien, en plus de présenter un réel intérêt pour la gérontologie vétérinaire, permettrait également de mieux comprendre ...

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L'urétéronéphrectomie est une chirurgie peu courante, mais aux indications multiples. Les néoplasies rénales primaires représentent la majorité des motifs d'intervention chez les carnivores domestiques. Néanmoins, de nombreuses autres affections rénales (hydronéphrose, calculs, pyélonéphrites, etc.) sont retrouvées, dont certaines ayant peu d'informations concernant le temps de survie ou les complications inhérentes. De plus, seules 2 études de cohortes traitant d'urétéronéphrectomie pour motifs divers chez le chien, ont été référencées sur PubMed ces 30 dernières années. Ainsi, il est difficile de renseigner correctement les propriétaires lorsque cette chirurgie est envisagée, et ce, d'autant plus chez les chats pour lesquels très peu d'études concernant des motifs pathologiques ont été réalisées. Un bilan des connaissances actuelles a été réalisé concernant : l'anatomie et la physiologie rénale, la description des différents motifs d'opérations, les méthodes d'évaluation de la fonction rénale, la réalisation de l'urétéronéphrectomie par approche ouverte et fermée, les incidents, accidents et complications ainsi que les temps de survies en fonction du motif d'opération. Par la suite, une étude descriptive portant sur 59 patients (24 chats et 35 chiens) opérés d'une urétéronéphrectomie au ChuvA, EnvA entre 2004 et 2023 a été réalisée afin d'établir une durée médiane de survie et afin de comparer à l'aide de tests du Log-Rank si des différences de survies existaient entre les motifs d'opération et en fonction d'autres variables d'intérêts (créatinine préopératoire, présence d'incident/accident, de complications, etc.). L'évolution des paramètres rénaux au cours du suivi ainsi que le délai d'apparition des complications ont également été étudiés. Le temps de survie médian de notre échantillon, celui des chats et celui des chiens toutes indications confondues étaient respectivement de 1081 jours, 880 jours et 1452 jours. Aucune des expositions d'intérêts n'a été identifiée comme exerçant une influence significative sur la survie, néanmoins notre étude souffre d'un manque de puissance statistique. Une proportion importante (80 %) de patients a développé des complications, dont 15 % étaient des complications majeures. L'étude du délai de survenue des complications a permis de mettre en évidence une différence dans la répartition des complications en fonction du temps. Enfin, aucune différence statistique significative n'a été mise en évidence concernant l'évolution des paramètres rénaux en postopératoire.[-]
L'urétéronéphrectomie est une chirurgie peu courante, mais aux indications multiples. Les néoplasies rénales primaires représentent la majorité des motifs d'intervention chez les carnivores domestiques. Néanmoins, de nombreuses autres affections rénales (hydronéphrose, calculs, pyélonéphrites, etc.) sont retrouvées, dont certaines ayant peu d'informations concernant le temps de survie ou les complications inhérentes. De plus, seules 2 études de ...

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Le mastocytome est la deuxième tumeur cutanée la plus fréquente chez le chat. Peu d'études sont disponibles concernant les facteurs pronostiques du mastocytome félin, ce qui a motivé la réalisation de ce travail. Notre étude rétrospective, réalisée sur 87 chats atteints de mastocytome, vise dans un premier temps à décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, histologiques et thérapeutiques de cette tumeur. Dans un second temps, une analyse statistique de survie est réalisée afin d'identifier des facteurs pronostiques. Deux formes de mastocytome sont distinguées : la forme cutanée, plus fréquente et généralement caractérisée par une masse cutanée unique bien délimitée, et la forme viscérale se traduisant par une atteinte de la rate ou des intestins. Notre étude a permis de confirmer certains facteurs pronostiques comme l'atteinte viscérale, la présence de certains signes cliniques au moment du diagnostic, le nombre de masses cutanées, la suspicion de métastases ganglionnaires ou viscérales et la mise en place d'un traitement, notamment une exérèse chirurgicale. D'autres paramètres étudiés comme l'index mitotique ou encore la localisation ne sont pas révélés comme facteurs pronostiques significatifs, contrairement à ce qui avait été mis en évidence par les précédentes études sur le sujet.[-]
Le mastocytome est la deuxième tumeur cutanée la plus fréquente chez le chat. Peu d'études sont disponibles concernant les facteurs pronostiques du mastocytome félin, ce qui a motivé la réalisation de ce travail. Notre étude rétrospective, réalisée sur 87 chats atteints de mastocytome, vise dans un premier temps à décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, histologiques et thérapeutiques de cette tumeur. Dans un second temps, une ...

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La leishmaniose canine est une maladie parasitaire vectorielle d'importance croissante pour les vétérinaires en France. C'est une affection extrêmement protéiforme dont la complication la plus grave est une insuffisance rénale potentiellement mortelle. Différents auteurs se sont déjà intéressés à la description de séries de cas de leishmaniose mais l'immense majorité de ces publications portait sur des cas vivant en région endémique et qui étaient donc soumis à une pression de réinfection constante. Notre étude s'intéresse à la description la plus précise possible d'une série de cas de leishmaniose diagnostiqués au CHUV-AC de l'EnvA, en région non endémique. Après une synthèse bibliographique sur les données actuelles des connaissances sur la leishmaniose (aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et pronostiques), nous avons effectué une étude rétrospective descriptive sur 51 chiens dont le diagnostic de leishmaniose a eu lieu au Chuv-AC de l'EnvA. À la suite de cela, nous avons réalisé une étude de survie sur 42 chiens pour lesquels les données médicales le permettaient et nous avons analysé l'effet sur la survie de facteurs pronostiques potentiels. Cette partie de l'étude avait pour but d'évaluer la médiane de survie, ainsi que les potentielles rechutes dans les 6 mois suivant la mise en place du traitement. Concernant la partie descriptive, notre étude était dans l'ensemble conforme aux données de la littérature. Les principales anomalies cliniques rencontrées étaient des manifestations systémiques (82,4 %), une atteinte dermatologique (76,5 %) et une atteinte ophtalmologique (39,2 %). Les principales anomalies hémato-biochimiques rencontrées étaient une hypoalbuminémie (91,9 %), une protéinurie (76,5 %) et une anémie (75,7 %). Notre analyse de survie n'a pas été concluante en raison du faible effectif de l'échantillon, mais certaines tendances, identifiées dans la littérature ont été mises en évidence.[-]
La leishmaniose canine est une maladie parasitaire vectorielle d'importance croissante pour les vétérinaires en France. C'est une affection extrêmement protéiforme dont la complication la plus grave est une insuffisance rénale potentiellement mortelle. Différents auteurs se sont déjà intéressés à la description de séries de cas de leishmaniose mais l'immense majorité de ces publications portait sur des cas vivant en région endémique et qui ...

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Le lymphome nasal félin est une maladie relativement rare puisqu'elle concernerait moins d'1% des tumeurs malignes félines. Néanmoins, le lymphome est le chef de file des tumeurs nasales chez le chat. Cette maladie concerne essentiellement les animaux âgés de plus de 8 ans. Dans une première partie, ce travail propose un rappel anatomique et histologique des structures complexes des cavités nasales. Une seconde partie synthétise les données rapportées dans la littérature sur le lymphome nasal félin et la radiothérapie vétérinaire. Cette partie revient notamment sur les différentes études parues au sujet du traitement du lymphome nasal du chat par radiothérapie ou autres modalités, mettant en avant leurs résultats et leurs limites. Dans une troisième partie est détaillée une étude rétrospective sur 22 chats présentés au service de cancérologie du centre de référés Micen Vet à Créteil (94) entre le 1er mars 2015 et le 1er avril 2022. L'inclusion des chats de l'étude reposait sur un examen histologique ou cytologique permettant un diagnostic de certitude de lymphome nasal et la réalisation d'une radiothérapie externe au centre Micen Vet. La réalisation de chimiothérapie avant ou après radiothérapie était un motif d'exclusion. L'objectif principal de cette étude était de montrer que la radiothérapie seule et en première intention était suffisante pour obtenir une réponse clinique et locale satisfaisante, si ce n'est complète, du lymphome nasal chez le chat, avec une médiane de survie autour des trois ans après diagnostic. L'objectif secondaire était de mettre en évidence des facteurs pronostiques cliniques et lésionnels susceptibles d'intégrer une classification adaptée pour le lymphome nasal félin, dans l'esprit de la classification de Adams modifiée pour les tumeurs nasales chez l'espèce canine. Les associations entre la survenue du décès et diverses expositions d'intérêt sélectionnées sur la base de la littérature ou par les auteurs ont été quantifiées à l'aide de modèles de régression logistique. Le temps de survie médian était de 847 jours, soit environ deux ans et demi. Une seule exposition d'intérêt était significativement associée à un allongement du temps de survie : « présenter une réponse clinique complète après radiothérapie ». L'effectif réduit n'a pas permis de faire de l'inférence causale. D'autres études incluant plus de chats sont nécessaires afin de déterminer des facteurs prédictifs positifs ou négatifs de décès chez les chats atteints de lymphome nasal. Cette étude renforce l'hypothèse selon laquelle la radiothérapie sans chimiothérapie est une réelle option thérapeutique du lymphome nasal, associée à un temps de survie médian encourageant.[-]
Le lymphome nasal félin est une maladie relativement rare puisqu'elle concernerait moins d'1% des tumeurs malignes félines. Néanmoins, le lymphome est le chef de file des tumeurs nasales chez le chat. Cette maladie concerne essentiellement les animaux âgés de plus de 8 ans. Dans une première partie, ce travail propose un rappel anatomique et histologique des structures complexes des cavités nasales. Une seconde partie synthétise les données ...

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Le mastocytome est un processus néoplasique lié à une prolifération excessive et incontrôlable de mastocytes. Cette tumeur touche un grand nombre d'espèces et notamment les chats pour lesquels il est possible de distinguer une atteinte cutanée et viscérale, cette dernière comprenant la forme intestinale et splénique. Alors que l'atteinte viscérale est de plus en plus fréquemment diagnostiquée en clinique vétérinaire, ce processus reste encore, au moins en partie, incompris et manque notamment de données thérapeutiques claires. Le travail effectué avait pour objectif de rassembler les connaissances et de réaliser une étude rétrospective à propos du mastocytome viscéral félin. Un recrutement multicentrique a permis d'inclure les dossiers de 39 chats, dont 26 présentant un mastocytome d'origine splénique et 13 d'origine intestinale. Aucun cas présentant une atteinte cutanée concomitante n'a été inclus. Cette étude avait pour objectif la compréhension des éléments cliniques, biologiques et l'évolution tumorale ainsi que la survie des chats présentant un mastocytome intestinal et splénique. De nombreux paramètres épidémiologiques, diagnostiques, cliniques et thérapeutiques ont été recueillis et comparés et des analyses de survie, à partir de courbes de Kaplan-Meier, ont été réalisées. Une différence significative de la médiane de survie a été mise en évidence entre les deux types de mastocytome viscéral, avec un meilleur pronostic pour les atteintes spléniques, pour une médiane de survie de 1112 jours, comparativement aux atteintes intestinales, avec une médiane de survie à 521 jours. Par ailleurs, la médiane de survie la plus importante a été mise en évidence suite à une splénectomie, dans le cas d'une atteinte splénique. Cependant, l'analyse statistique utilisée ne permet pas de comparer un protocole thérapeutique par rapport à un autre. En ce qui concerne l'atteinte intestinale, aucun paramètre n'a montré d'impact statistiquement significatif sur la survie. Cependant, une tendance de l'efficacité thérapeutique des inhibiteurs de tyrosine kinases semble avoir été constatée.[-]
Le mastocytome est un processus néoplasique lié à une prolifération excessive et incontrôlable de mastocytes. Cette tumeur touche un grand nombre d'espèces et notamment les chats pour lesquels il est possible de distinguer une atteinte cutanée et viscérale, cette dernière comprenant la forme intestinale et splénique. Alors que l'atteinte viscérale est de plus en plus fréquemment diagnostiquée en clinique vétérinaire, ce processus reste encore, ...

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Le plumage est essentiel à la survie des oiseaux car il contribue à des fonctions essentielles telles que le vol, l'imperméabilité et la thermorégulation. La structure des plumes répond à diverses contraintes d'élasticité, de flexibilité et de résistance. Leur morphologie peut varier considérablement en fonction de leur emplacement et de leur degré de spécialisation. Les dommages aux plumes peuvent avoir des conséquences dramatiques pour les oiseaux et engager leur survie. Le toilettage permet de maintenir le plumage en bon état. Les oiseaux effectuent des d'entretiens ritualisés, ce qui permet une meilleure efficacité. Le temps consacré à cette activité varie en fonction de nombreux facteurs, notamment l'éducation parentale, la santé du plumage, les parasites, les conditions météorologiques et le niveau de stress. La sécurité de l'oiseau peut également influencer ses activités, comme une baignade réduite en cas de menace. Les études récentes ont permis de mieux comprendre la structure des plumes, y compris à l'échelle de l'ultrastructure des plumes mettant en jeu des barbules et leurs crochets qui garantissent leur intégrité et l'imperméabilité du plumage. De plus, la recherche progresse dans la compréhension des comportements essentiels au toilettage des oiseaux, comme la baignade permettant de rétablir l'élasticité de la plume, le lissage participant à la lutte contre les ectoparasites et le rôle de la cire uropygienne. Ces connaissances peuvent avoir des implications pratiques, notamment pour les oiseaux placés en captivité. Il est essentiel de leur fournir des bains d'eau et de sable, de contrôler leurs parasites et de prévenir le picage. De plus, une meilleure compréhension de la composition et des fonctions du plumage d'une part et du rôle du toilettage d'autre part peut s'avérer cruciale dans les centres de soins aux animaux sauvages pour la récupération des oiseaux mazoutés, contribuant ainsi à leur survie.[-]
Le plumage est essentiel à la survie des oiseaux car il contribue à des fonctions essentielles telles que le vol, l'imperméabilité et la thermorégulation. La structure des plumes répond à diverses contraintes d'élasticité, de flexibilité et de résistance. Leur morphologie peut varier considérablement en fonction de leur emplacement et de leur degré de spécialisation. Les dommages aux plumes peuvent avoir des conséquences dramatiques pour les ...

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Les masses spléniques rencontrées chez le chien sont diverses avec une prédominance des hémangiosarcomes mais aussi des hyperplasies nodulaires et des hématomes spléniques. Elles présentent selon leur nature des pronostics variés avec des temps de survie allant, en moyenne, de 110 jours pour des masses malignes à 436 jours pour des masses bénignes. Ces différences de pronostics ainsi que les complications pouvant être associées à la splénectomie et les moyens financiers parfois limités des propriétaires rendent souvent difficiles, pour le clinicien et le propriétaire, d'établir une marche à suivre face à la découverte d'une masse splénique. Cette difficulté décisionnelle est à l'origine de plus en plus d'études cherchant à mettre en évidence des facteurs discriminants de la malignité splénique et il nous a ainsi paru intéressant de compléter les connaissances sur ce sujet. Après un bilan des connaissances actuelles sur l'épidémiologie, la sémiologie et la démarche diagnostique face à une masse splénique, les complications associées à la splénectomie ainsi que le devenir des chiens atteints de masses spléniques, une étude descriptive et comparative a été effectuée dans ce travail à partir de 45 cas présentant une masse splénique et ayant subi une splénectomie au ChuvA. L'objectif de ce travail rétrospectif était donc de décrire les caractéristiques de notre échantillon telles que le signalement des individus, les résultats des examens hématologiques, biochimiques et d'imagerie ainsi que les taux de mortalité et les temps de survie puis de les comparer en fonction du caractère malin ou bénin de la masse et de dégager des expositions d'intérêt pouvant avoir un lien significatif avec la malignité des masses spléniques. Le temps de survie médian au sein de notre étude était de 565 jours et les taux de survie à 1 an, 2 ans et 3 ans sont respectivement de 54 %, 39 % et 33 %. Une différence significative entre les courbes de survie des chiens atteints de masses malignes et des chiens atteints de masses bénignes a été mise en évidence avec des temps de survie médians de 131 et 1397 jours respectivement. Six expositions d'intérêt sont ressorties comme significativement associées à la malignité de la masse splénique. Il s'agit de la race de l'animal, de la présence d'un abattement, d'un hémopéritoine, d'une anémie, d'une hypoprotéinémie ainsi que d'une spondylose vertébrale au moment de la présentation de l'animal. L'ensemble des individus de notre étude présentant à la fois un abattement, un hémopéritoine, une anémie et une hypoprotéinémie étaient atteints de masse maligne.[-]
Les masses spléniques rencontrées chez le chien sont diverses avec une prédominance des hémangiosarcomes mais aussi des hyperplasies nodulaires et des hématomes spléniques. Elles présentent selon leur nature des pronostics variés avec des temps de survie allant, en moyenne, de 110 jours pour des masses malignes à 436 jours pour des masses bénignes. Ces différences de pronostics ainsi que les complications pouvant être associées à la splénectomie ...

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Durant la période néonatale, les poulains sont très sensibles aux affections. Leur état de santé peut se dégrader brutalement et une prise en charge médicale adaptée nécessite des soins intensifs chronophages et couteux. Il est important d'avoir une évaluation précise du pronostic vital dès l'admission pour des raisons éthiques afin d'éviter l'acharnement thérapeutique, mais également pour des considérations économiques afin de limiter les dépenses du propriétaire. Nous avons mis en œuvre une étude rétrospective basée sur 226 poulains de moins de trois semaines hospitalisés à la Clinéquine. Cette étude nous a permis d'identifier quinze facteurs de risques significativement associés à une probabilité de mortalité accrue. Nous avons également développé un modèle mathématique prédictif de survie à partir de trois des facteurs de risque identifiés. Néanmoins, il est important de rappeler qu'un modèle prédictif de survie est un outils d'aide, qui ne peut en aucun cas se substituer à l'avis d'un clinicien expérimenté.[-]
Durant la période néonatale, les poulains sont très sensibles aux affections. Leur état de santé peut se dégrader brutalement et une prise en charge médicale adaptée nécessite des soins intensifs chronophages et couteux. Il est important d'avoir une évaluation précise du pronostic vital dès l'admission pour des raisons éthiques afin d'éviter l'acharnement thérapeutique, mais également pour des considérations économiques afin de limiter les ...

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La fragilité est un syndrome gériatrique d'intérêt dans la prévention du vieillissement pathologique. Son évaluation en pratique clinique permet d'identifier des individus à risque d'évènements négatifs de santé. Le but de ce travail est d'adapter le concept de fragilité, issu de la gériatrie humaine, au chien par la caractérisation d'un phénotype de fragilité, en utilisant des tests de performance physique et en montrant sa valeur prédictive du décès toute chose égale par ailleurs. SeniorDog est une cohorte prospective conduite entre mars 2015 et juillet 2020 à l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort incluant des chiens de propriétaires de race Labrador ou Golden Retrievers de 9 ans ou plus. A l'inclusion dans la cohorte (J0), 80 chiens ont passé des tests de performance physique et de nombreuses variables ont été collectées. Des courbes de survie de Kaplan-Meier ont été tracées selon la fragilité à J0, et des « Hazards ratios » (HR) de décès ont été estimés par un modèle de Cox, à partir des données collectées durant mes 5 années de suivi. Dans notre échantillon, les chiens fragiles mouraient plus rapidement que les chiens pré-fragiles et que les chiens non fragiles, avec un temps de survie médian respectivement de 10,5 mois, 35,4 mois et 42,5 mois. Indépendamment des caractéristiques de base du chien (âge à J0, sexe, race, et interaction entre sexe et stérilisation), les chiens fragiles à J0 décédaient significativement plus rapidement que les chiens non fragiles à J0 (HR ajusté = 5,86 [2,45 ; 14,0], p-value < 0,01). Cette association persistait après prise en compte d'autres facteurs de confusion potentiels. La fragilité chez les chiens Goldens et Labradors Retrievers seniors vivant dans un contexte familial, évaluée à l'aide d'un phénotype à 5 composantes issu de la gériatrie humaine, semble ainsi prédictive du décès. C'est à notre connaissance la première cohorte prospective qui caractérise un phénotype de fragilité canin à partir de tests de performances physiques. Le concept de fragilité semble alors adaptable au chien et semble ainsi un syndrome gériatrique d'intérêt dans la gestion du vieillissement fonctionnel du chien au même titre que l'Homme. Des études supplémentaires sont nécessaires pour généraliser ces résultats à d'autres races de chiens.[-]
La fragilité est un syndrome gériatrique d'intérêt dans la prévention du vieillissement pathologique. Son évaluation en pratique clinique permet d'identifier des individus à risque d'évènements négatifs de santé. Le but de ce travail est d'adapter le concept de fragilité, issu de la gériatrie humaine, au chien par la caractérisation d'un phénotype de fragilité, en utilisant des tests de performance physique et en montrant sa valeur prédictive du ...

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La bibliographie sur la transfusion sanguine chez le chat est peu fournie et cela s'explique par une faible médicalisation des chats et les problématiques liées à la réalisation de la transfusion. Ce travail rétrospectif nous a permis de récolter des données sur les transfusions réalisées au SIAMU chez le chat entre janvier 2014 et avril 2019. Nous avons pu obtenir le taux de survie à très court mais aussi à plus moyen terme, ainsi qu'étudier le suivi clinique par des informations fournies par les propriétaires. Le taux de survie jusqu'à la sortie obtenu dans notre étude était de 67,5%. Les appels aux propriétaires ont permis de savoir que six des 32 chats rendus étaient décédés dans les trois semaines suivant la sortie des soins intensifs. Le pronostic au-delà de trois semaines une fois sortie du SIAMU a été évalué comme favorable avec 81,3% de survie. Cette donnée a permis d'obtenir un taux de survie global qui s'élevait à 45,6% pour 57 chats suivis. Nous avons noté deux cas de décès au cours de la transfusion sans mettre en évidence de réactions transfusionnelles. Une amélioration clinique a été constatée dans 65,6% des cas. Il faut noter que cette amélioration n'a été que transitoire dans cinq cas (23,8%) avant le décès de l'animal. Après la sortie du SIAMU, un retour chez le vétérinaire a été effectué dans 84% des cas. Ceux-ci ont été réalisés dans une autre structure que le centre hospitalier universitaire pour 74% des propriétaires. Les consultations ont eu pour motifs des contrôles, des maladies intercurrentes, et moins fréquemment des rechutes, l'absence d'amélioration et des euthanasies.[-]
La bibliographie sur la transfusion sanguine chez le chat est peu fournie et cela s'explique par une faible médicalisation des chats et les problématiques liées à la réalisation de la transfusion. Ce travail rétrospectif nous a permis de récolter des données sur les transfusions réalisées au SIAMU chez le chat entre janvier 2014 et avril 2019. Nous avons pu obtenir le taux de survie à très court mais aussi à plus moyen terme, ainsi qu'étudier le ...

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La lipidose hépatique féline (LHF) est une maladie fréquemment rencontrée en pratique vétérinaire notamment en Europe ou en Amérique du Nord où sa prévalence est estimée à 0,16 % des chats reçus en consultation en clinique vétérinaire. Cette maladie, rencontrée généralement chez le chat en surpoids ou possédant un historique de surpoids, fait suite à une période d'anorexie ou de malnutrition de durée variable entraînant un amaigrissement, et est provoquée par l'accumulation au sein des hépatocytes de vacuoles lipidiques. Cette accumulation, lorsqu'elle devient importante, provoque une hypertrophie cellulaire des hépatocytes responsable d'une cholestase et d'une insuffisance hépatique desquelles découle la symptomatologie observée. Dans une première partie, cette étude propose une synthèse des données rapportées dans la littérature sur la LHF. Dans une seconde partie sera présentée une étude rétrospective sur 76 chats présentés en consultation au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre 2020.
L'inclusion des chats dans cette étude reposait sur le diagnostic de la LHF par un anatomopathologiste vétérinaire grâce à l'observation microscopique d'un échantillon de foie issu d'un prélèvement cytologique ou histologique. L'objectif de cette étude était d'identifier des facteurs de risque de décès dans le mois suivant le diagnostic chez les chats atteints de LHF. Les associations entre la survenue du décès et diverses expositions d'intérêt (cliniques, paracliniques et thérapeutiques) sélectionnées sur la base de la littérature ou par les auteurs ont été quantifiées à l'aide de modèles de régression logistique. Le taux de survie était de 54 % un mois après le diagnostic (41 survivants sur 76 chats inclus dans l'étude). Les expositions d'intérêt associées de manière brute avec le décès étaient les suivantes : « souffrir de LHF secondaire versus de LHF primaire », « être hypotherme au moment du diagnostic de la LHF », « présenter un épanchement abdominal au moment du diagnostic de la LHF », « présenter une hyponatrémie < 145 mmol/L au moment du diagnostic », « présenter une acidose sanguine avec un pH < 7,35 au moment du diagnostic ». Après ajustement sur l'âge, les expositions suivantes étaient encore associées de manière significative avec la survenue du décès : « être atteint de lipidose secondaire versus primaire », « être hypotherme < 37°C au moment du diagnostic », « présenter une acidose sanguine avec un pH < 7,35 au moment du diagnostic ». Le nombre de chats inclus dans l'étude étant trop faible pour inclure tous les facteurs de confusion identifiés dans les modèles de régression logistique, il n'a pas été possible d'identifier avec confiance des facteurs de risque de décès à un mois suivant le diagnostic chez les chats atteints de LHF. D'autres études incluant plus de chats sont nécessaires afin de déterminer des facteurs de risque de décès chez les chats atteints de LHF.[-]
La lipidose hépatique féline (LHF) est une maladie fréquemment rencontrée en pratique vétérinaire notamment en Europe ou en Amérique du Nord où sa prévalence est estimée à 0,16 % des chats reçus en consultation en clinique vétérinaire. Cette maladie, rencontrée généralement chez le chat en surpoids ou possédant un historique de surpoids, fait suite à une période d'anorexie ou de malnutrition de durée variable entraînant un amaigrissement, et est ...

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Le lymphome multicentrique est un cancer fréquent chez le chien dont le traitement de choix est la polychimiothérapie. Le pronostic est un point important à discuter avec le propriétaire pour que celui-ci puisse choisir le traitement adéquat de manière éclairée. Après une étude bibliographique permettant une mise au point des facteurs actuellement connus ou suspectés pour être associés à la survenue du décès et de la rechute, deux études de cohorte rétrospectives ont été réalisées : la première était menée sur 86 chiens ayant un lymphome multicentrique de haut grade et présentés au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort entre le 1er Janvier 2007 et le 31 Juillet 2020, la seconde était menée sur un échantillon de 44 chiens tiré de la population de la première étude et présentant une rémission partielle ou complète. L'objectif de ces études était de déterminer des associations statistiques voire causales entre des expositions d'intérêt et la survenue du décès ou de la rechute chez des chiens présentant un lymphome multicentrique de haut grade. Les expositions d'intérêt évaluées ont été l'âge, le format, le sexe, le statut entier ou stérilisé, le stade, le sous-stade, le phénotype, la présence d'une anémie, la présence d'une hypercalcémie, l'infiltration du médiastin, l'infiltration du foie et/ou de la rate, le type de traitement, la corticothérapie préalable à la chimiothérapie et l'utilisation de lomustine. Sous l'hypothèse d'absence de biais de sélection et de biais de classement, il y a des chances pour que la survenue du décès soit significativement associée au format, au sexe, au statut entier ou stérilisé, au stade, au sous-stade et à l'utilisation de lomustine. Sous l'hypothèse d'absence de biais de sélection, de biais de classement différentiel et de biais de confusion, il y a des chances pour que l'infiltration du noeud lymphatique sus-sternal soit un facteur de risque dans la survenue du décès. Les chiens présentant une infiltration du noeud lymphatique sus-sternal sont décédés 1,91 fois plus rapidement que les chiens n'en présentant pas. Aucune des expositions d'intérêt étudiées n'était significativement associée à la survenue de la rechute dans notre étude.[-]
Le lymphome multicentrique est un cancer fréquent chez le chien dont le traitement de choix est la polychimiothérapie. Le pronostic est un point important à discuter avec le propriétaire pour que celui-ci puisse choisir le traitement adéquat de manière éclairée. Après une étude bibliographique permettant une mise au point des facteurs actuellement connus ou suspectés pour être associés à la survenue du décès et de la rechute, deux études de ...

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La maladie de Cushing est une dysendocrinie de prévalence relativement faible mais de plus en plus diagnostiquée en pratique. Secondaire à la présence d'une tumeur hypophysaire, il s'agit de la forme d'hypercorticisme la plus fréquente. Le but de cette étude était l'identification de facteurs de risque de décès potentiels chez les chiens atteints de la maladie de Cushing. En effet, à ce jour, très peu d'études se sont attachées à la recherche de ces facteurs pronostiques. Dans ces travaux, seuls l'âge, le poids et la valeur de la phosphatémie au moment du diagnostic ont été identifiés comme facteurs pronostiques. Le premier objectif était de vérifier si nous retrouvions ces résultats dans notre étude. L'objectif secondaire était d'identifier de nouveaux facteurs de risques de décès potentiels encore non établis dans la littérature. Pour ce faire, nous avons utilisé les dossiers des animaux atteints de maladie de Cushing et pris en charge au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre 2018. Au total, 80 animaux étaient inclus dans l'étude. Nous recherchions alors l'existence d'une association brute entre différentes données épidémiologiques, cliniques et paracliniques et la durée de survenue du décès. Dans ce travail de thèse, aucune inférence causale n'a été faite, ce pourquoi nous parlons de facteurs de risque de décès potentiels. Les expositions d'intérêt étudiées étaient l'âge au diagnostic, le sexe, le statut de stérilisation, la race, la présence de maladie(s) intercurrente(s), l'indice clinique, la pression artérielle, l'activité des enzymes hépatiques (PAL et ALAT), l'albuminémie, la phosphorémie, la cortisolémie basale, post-ACTH et post-freinage à la dexaméthasone à dose faible, la protéinurie objectivable à la bandelette urinaire et par la mesure du RPCU et la taille de l'hypophyse par le rapport P/B. Dans notre échantillon, une cortisolémie basale supérieure à 170 nmol/L était significativement associée à une durée de survie plus courte. La confiance accordée dans ce résultat était plutôt bonne. Par ailleurs, dans notre étude, l'hypertension artérielle, la cortisolémie basale et l'âge au diagnostic ont pu jouer le rôle de facteurs de confusion. Ainsi, dans ce travail, nous avons montré qu'une cortisolémie basale supérieure à 170 nmol/L est un facteur de risque de décès potentiel chez les chiens atteints de maladie de Cushing. La prochaine étape serait la prise en compte de l'ensemble des facteurs de confusion et l'ajustement sur ces derniers dans un modèle multivarié, rendant ainsi l'inférence causale possible.[-]
La maladie de Cushing est une dysendocrinie de prévalence relativement faible mais de plus en plus diagnostiquée en pratique. Secondaire à la présence d'une tumeur hypophysaire, il s'agit de la forme d'hypercorticisme la plus fréquente. Le but de cette étude était l'identification de facteurs de risque de décès potentiels chez les chiens atteints de la maladie de Cushing. En effet, à ce jour, très peu d'études se sont attachées à la recherche de ...

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Dans cette étude réalisée en prolongement de celle de Marion Capron (Capron, 2019), les effets de l'usage du Candilat® (association vincamine-papavérine) et/ou du Calf Resuscitator® en complément d'un protocole de réanimation « standard » ont été évalués sur des paramètres qui témoignent de la vitalité des veaux à la naissance, de leur croissance et de leur survie au long cours en bonne santé. Soixante-treize veaux issus d'un vêlage dystocique ayant nécessité l'intervention d'un vétérinaire ont été inclus dans cette étude. Après réalisation d'un protocole de réanimation commun à tous les animaux (suspension par les membres postérieurs, positionnement en décubitus sternal, aspersion d'eau, stimulation de la respiration), ces derniers ont été inclus après randomisation à l'un des trois protocoles expérimentaux évalués ou au lot témoin. Des mesures de la saturation en oxygène, de la glycémie et l'établissement d'un score selon la grille VIGOR scoring étaient réalisés à la naissance puis 15 minutes plus tard. Le poids à la naissance ainsi que la qualité du colostrum des vaches ont été enregistrés. Par la suite, différentes variables (gain moyen quotidien, qualité du transfert colostral, évènement de santé) étaient également collectées. Au bilan de cette étude, aucune différence significative n'a été observée entre les lots de veaux traités et le lot de veaux témoin sur des variables d'intérêt zootechnique majeur (« Qualité du transfert colostral », « Malade ou mort dans les deux mois », « GMQ durant la période d'étude »). Les différents lots traités présentaient une variation de glycémie entre T0 et T15 plus faible que le lot témoin avec une analyse univariée (tendance qui était proche de la significativité : p < 0,1). Une analyse multivariée a montré l'existence d'une interaction entre la variable « lot » et la variable « oxymétrie à T0 ». Cependant, ces résultats ne présentent pas un grand intérêt biologique puisque le delta de glycémie entre T15 et T0 ne constitue pas un facteur pronostic pour la survie des veaux ou concernant un quelconque autre paramètre de long terme. Si les résultats obtenus ne permettent pas de conclure à l'intérêt des trois protocoles thérapeutiques testés dans le traitement de l'hypoxie néonatale, le faible effectif de notre échantillon d'étude invite à interpréter ces résultats avec une grande prudence. Une étude avec un effectif plus large pourrait être pertinente pour évaluer de manière plus fiable l'intérêt de ces traitements. [-]
Dans cette étude réalisée en prolongement de celle de Marion Capron (Capron, 2019), les effets de l'usage du Candilat® (association vincamine-papavérine) et/ou du Calf Resuscitator® en complément d'un protocole de réanimation « standard » ont été évalués sur des paramètres qui témoignent de la vitalité des veaux à la naissance, de leur croissance et de leur survie au long cours en bonne santé. Soixante-treize veaux issus d'un vêlage dystocique ...

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Objectifs : Décrire des données cliniques complètes, la prévalence des rémissions et la survie d'une large population de chats diabétiques. Évaluer une éventuelle association entre d'une part le type d'insuline prescrit ou les comorbidités présentes à l'admission et d'autre part la survie et l'apparition d'une rémission. Matériels et méthodes : Ont été rétrospectivement recrutés 334 chats diabétiques au sein du Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort (ChuvA) entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2020. Les données analysées concernaient l'anamnèse et les commémoratifs, l'examen clinique, les analyses sanguines et urinaires, les résultats échographiques, l'éventuelle rémission et la survie. Résultats : L'âge médian d'apparition des signes cliniques pour les chats recrutés était de 10 ans. Trois quarts des chats étaient des mâles stérilisés et aucune prédisposition raciale n'a été mise en évidence. Un tiers des chats de l'étude étaient en surpoids et 73 % vivaient en intérieur strict. Une association significative entre la présentation d'une pancréatite et d'un diabète sucré acido-cétosique à l'admission a été retrouvée. L'insuline prescrite initialement était majoritairement du Caninsulin© (68 %) mais une augmentation de la prescription de Prozinc© et de Lantus© a été notée au cours du suivi. Moins de 50 % des chats avaient atteint une rémission durant leur suivi dans la cohorte, soit au bout de 2005 jours (5 ans et demi). Parmi ces individus, 50 % avaient rechuté 365 jours soit 1 an après le diagnostic de rémission et un tiers de ceux ayant rechuté sont entrés une deuxième fois en rémission, ce qui n'est rapporté dans aucune publication à notre connaissance. Une association significative entre la présentation d'une hyperthyroïdie à l'admission et une diminution du temps de survenue d'une rémission a été observée. En revanche, l'insuline utilisée ainsi que le surpoids à l'admission, la présence d'un diabète acido-cétosique ou hyperosmolaire, d'une neuropathie, d'une tumeur, d'une affection du tractus digestif ou d'une affection du tractus urinaire à l'admission n'étaient pas significativement associées avec une modification du temps de survenue d'une rémission. La médiane de survie était de 1245 jours. Une association significative entre la présence d'une tumeur ou d'une maladie rénale chronique à l'admission et une diminution du temps de survie médian a été retrouvée. En revanche, l'insuline utilisée ainsi que le surpoids à l'admission, la présence d'un diabète acido-cétosique ou hyperosmolaire, d'une neuropathie, d'une affection endocrine, d'une affection du tractus digestif ou d'une affection du bas appareil urinaire à l'admission n'étaient pas significativement associées avec une modification du temps de survie médian dans notre étude. Conclusion : Certaines de nos observations n'ont jamais été décrites précédemment. Ainsi, la fréquence d'une seconde rémission pourrait s'estimer à 25% des chats ayant rechuté. Les autres données pertinentes sont l'observation d'une association significative entre la présence d'une hyperthyroïdie et un temps de survenue d'une rémission diminué et la découverte d'une association significative entre une affection tumorale ou une maladie rénale chronique à l'admission et un temps de survie médian modifié.[-]
Objectifs : Décrire des données cliniques complètes, la prévalence des rémissions et la survie d'une large population de chats diabétiques. Évaluer une éventuelle association entre d'une part le type d'insuline prescrit ou les comorbidités présentes à l'admission et d'autre part la survie et l'apparition d'une rémission. Matériels et méthodes : Ont été rétrospectivement recrutés 334 chats diabétiques au sein du Centre hospitalier universitaire ...

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L'albumine est la protéine la plus abondante du compartiment vasculaire, jouant un rôle majeur dans le maintien de l'homéostasie en assurant environ 80 % de la pression oncotique. Différents processus pathologiques peuvent aboutir à une hypoalbuminémie chez le chat, notamment par excès de pertes (rénales, digestives, cutanées), défaut de synthèse hépatique, inflammation, etc. Alors qu'en médecine humaine, l'hypoalbuminémie a été identifiée comme facteur pronostique négatif à l'admission d'un patient en hospitalisation indépendamment de la cause sous-jacente, cette valeur pronostique n'a été que peu étudiée en médecine vétérinaire, et la seule étude réalisée chez le chat n'a pas démontré cette relation. Ce travail comprenait différents objectifs. D'une part, il a permis d'étudier les caractéristiques générales d'une population de chats hypoalbuminémiques, pour mettre en avant notamment les principales causes d'hypoalbuminémie chez cette espèce. D'autre part, nous souhaitions mettre en évidence une association causale entre une hypoalbuminémie, en différenciant plusieurs degrés de gravité, et la mortalité chez le chat indépendamment du diagnostic. Enfin, il visait à mettre en évidence de potentiels facteurs de risque de décès chez un chat hypoalbuminémique. Notre étude rétrospective a porté sur une cohorte de 178 chats hypoalbuminémiques présentés au Centre Hospitalier Universitaire d'Alfort entre le 1 er octobre 2016 et le 19 octobre 2019, répartis selon la gravité de l'hypoalbuminémie (minime versus modérée à « marquée »). Dans la majorité des cas, l'origine de l'hypoalbuminémie était une affection digestive (41,3 %). Les affections les plus représentés étaient les néoplasies digestives, suivies des processus inflammatoires localisés et systémiques. Notre étude a suggéré qu'une hypoalbuminémie modérée à « marquée » est plus fréquemment observée chez les chats présentant un faible indice corporel (NEC < 3/9) (OR = 6,71 [2,14 – 21,03]). Nous n'avons pas mis en évidence d'association brute significative entre la gravité de l'hypoalbuminémie et la mortalité (RR brut = 1,593, p = 0,122) et, bien qu'aucune variable n'ait été identifiée comme facteur de confusion, l'inférence causale n'était pas envisageable au vu du risque d'erreur beta inconnu. Nos analyses nous ont permis de suggérer l'éventuelle possibilité d'une relation causale, chez le chat hypoalbuminémique, entre la mortalité et les facteurs suivants : hypoprotéinémie, élévation des paramètres de cytolyse hépatique (ALAT et/ou ASAT) et anémie. Néanmoins, au vu de la nature observationnelle de notre étude, du biais de confusion résiduel et de la taille de notre échantillon, l'inférence causale est tout de même délicate à établir. Des études prospectives plus larges seraient nécessaires afin d'entériner ces résultats préliminaires.[-]
L'albumine est la protéine la plus abondante du compartiment vasculaire, jouant un rôle majeur dans le maintien de l'homéostasie en assurant environ 80 % de la pression oncotique. Différents processus pathologiques peuvent aboutir à une hypoalbuminémie chez le chat, notamment par excès de pertes (rénales, digestives, cutanées), défaut de synthèse hépatique, inflammation, etc. Alors qu'en médecine humaine, l'hypoalbuminémie a été identifiée comme ...

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La maladie valvulaire dégénérative mitrale (MVDM) est la cardiopathie acquise la plus fréquente chez le chien de petit format. La rupture de cordage (RDC) est une complication potentielle de la MVDM pouvant entrainer des perturbations hémodynamiques brutales et majeures. Les données concernant cette complication de la MVDM sont manquantes, une seule étude, réalisée à l'Unité de Cardiologie d'Alfort (UCA) en 2007, ayant été publiée sur le sujet. De plus, à notre connaissance, l'impact de la RDC sur la survie du chien atteint de MVDM en fonction des différents types de cordages rompus (cordages primaires versus secondaires et cordages rattachés au feuillet antérieur mitral [FAM] versus feuillet postérieur mitral [FPM]) reste inconnu. Après une synthèse bibliographique sur la MVDM, une étude rétrospective a été réalisée. Ses objectifs étaient : 1) de décrire les caractéristiques épidémiologiques, anamnestiques, cliniques, radiographiques et écho-Doppler d'une grande population de chiens atteints de MVDM avec RDC, 2) de comparer les chiens atteints de RDC primaire à ceux atteints de RDC secondaire, puis les chiens avec une RDC du FAM à ceux avec une RDC du FPM selon plusieurs variables et 3) d'effectuer une analyse de survie afin d'identifier d'éventuelles expositions associées à la survie. La population de l'étude fut constituée de 500 chiens de moins de 15 kg atteints de MVDM pour lesquels une RDC avait été identifiée à l'examen échocardiographique lors d'une consultation à l'UCA entre janvier 2009 et juin 2019. La RDC était principalement visualisée sur les coupes grand axe 4 et 5 cavités par voie parasternale droite. La distinction entre cordage primaire et cordage secondaire était essentiellement fondée sur le nombre de coupes échocardiographiques sur lesquelles les signes de RDC étaient observés. Les RDC touchaient préférentiellement le FAM (300/403, 74 %) plutôt que le FPM (121/403, 30 %), et il s'agissait majoritairement de cordages secondaires (276/417, 66 %) plutôt que primaires (153/417, 37 %). Une association significative a été constatée entre la présence d'une RDC primaire et plusieurs expositions anamnestiques, cliniques et écho-Doppler : fatigabilité ou d'intolérance à l'effort, syncopes et de lipothymies, prétraitement (dont diurétique), souffle systolique apexien gauche frémissant, rapport atrium gauche/aorte augmenté (AG/Ao ≥ 1 pour les Cavalier King Charles et 1,2 pour les autres races), dilatation ventriculaire gauche télédiastolique normalisée au poids selon la formule de Cornell (VGdnormalisé 1,9), pression artérielle pulmonaire systolique (PAPS) ≥ 50 mmHg et stade ACVIM B 2019. Il existait une association significative entre la présence d'une RDC du FAM et celle d'une dyspnée, d'un œdème pulmonaire à J0 et d'une arythmie. Les temps de survie (médiane [distance interquartile]) au décès toutes causes confondues et au décès d'origine cardiaque étaient respectivement de 17,2 mois [5,7 – 34,7] et de 26,8 mois [9,1 – 54,2]. Plusieurs associations statistiques ont été mises en évidence entre la survenue du décès cardiaque et certaines expositions : antécédent d'OAP, OAP à J0, SSAG frémissant, prétraitement diurétique, signes cliniques fonctionnels, rapport AG/Ao augmenté, un Gdnormalisé ≥ 1,9, un VGsnormalisé ≥ 1,14, une fraction de raccourcissement < 48,4 %, une fraction de régurgitation ≥ 50 % et une PAPS ≥ 50 mmHg, une arythmie, les stades ACVIM et les stades échocardiographiques. Pour les chiens de stade B ACVIM, le temps à la décompensation cardiaque était de 32,6 mois [13,1 – 66,3]. Aucune association significative n'a été mise en évidence entre le type de RDC et la survenue du décès d'origine cardiaque, ni entre le type de RDC et la décompensation cardiaque. La MVDM est de stade plus avancé parmi les chiens avec RDC primaire que parmi les chiens avec RDC secondaire. Néanmoins, ni le temps de survie, ni le temps avant décompensation ne sont significativement différents selon le type de cordage concerné par la rupture.[-]
La maladie valvulaire dégénérative mitrale (MVDM) est la cardiopathie acquise la plus fréquente chez le chien de petit format. La rupture de cordage (RDC) est une complication potentielle de la MVDM pouvant entrainer des perturbations hémodynamiques brutales et majeures. Les données concernant cette complication de la MVDM sont manquantes, une seule étude, réalisée à l'Unité de Cardiologie d'Alfort (UCA) en 2007, ayant été publiée sur le sujet. ...

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Le lymphome multicentrique canin est la forme prépondérante des lymphomes chez le chien. Au diagnostic, l'estimation du pronostic est un enjeu majeur. Le pronostic dépend essentiellement du traitement choisi et de facteurs pronostiques. Le gold standard dans le traitement du lymphome multicentrique canin c'est la polychimiothérapie type CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, prednisolone). D'autres options thérapeutiques sont possibles mais généralement moins efficaces. L'objectif est d'atteindre une première rémission (induction), une deuxième rémission à la rechute (réinduction) voire une énième rémission avec des protocoles d'échappement qui diffèrent du protocole initial. Les facteurs pronostiques sont des expositions associées à la survenue de la rechute et/ou du décès. L'immunophénotype T (versus B), le sous-stade OMS b (versus a) seraient des facteurs pronostiques négatifs, c'est-à-dire indicateurs d'un moindre taux de réponse à la chimiothérapie, de durées de rémission et de survie plus courtes. Le grade est aussi associé au pronostic avec les lymphomes de haut grade répondant mieux à la chimiothérapie mais évoluant vers la rechute alors que les lymphomes de bas grade d'évolution indolente. Enfin, le sous-type morphologique/histologique pourrait influencer le pronostic du fait que les différents sous-types de lymphomes ont des évolutions différentes. La lymphadénopathie crânio-médiastinale et le traitement antérieur aux corticoïdes sont aussi associés à un moins bon pronostic. De nombreux autres facteurs sont étudiés, parmi eux des marqueurs biologiques, des facteurs génétiques et des profils d'expression de gènes. Ce travail souligne l'importance d'uniformiser le type de lymphome étudié dans les études pronostiques. À ce stade, des études randomisées s'intéressant aux sous types morphologiques les plus communs permettraient de comparer l'efficacité des différents protocoles et de tester leur influence sur le pronostic. Des effectifs plus importants faciliteraient la mise en évidence de différences significatives relatives au pronostic, entre des chiens exposés à un facteur pronostique potentiel, et ceux ne l'étant pas. Enfin, la nature prospective des études serait à privilégier afin de collecter les données d'expositions plus systématiquement.[-]
Le lymphome multicentrique canin est la forme prépondérante des lymphomes chez le chien. Au diagnostic, l'estimation du pronostic est un enjeu majeur. Le pronostic dépend essentiellement du traitement choisi et de facteurs pronostiques. Le gold standard dans le traitement du lymphome multicentrique canin c'est la polychimiothérapie type CHOP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, prednisolone). D'autres options thérapeutiques sont ...

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