En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Filtrer

Filtrer

Type
Date
Auteur

J Plus

Éditeur
Langue

Documents Traitement chirurgical 58 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Notre travail découle de l'observation selon laquelle la prise en charge des pneumothorax traumatiques, d'après les consensus actuels, est conservative et non chirurgicale, comme elle l'est pour les pneumothorax spontanés. Nous avons réalisé une synthèse bibliographique dans le but d'expliquer les bases physiologiques de la respiration afin de montrer l'importance du pneumothorax, d'en présenter sa pathogénie, ainsi que ses différentes prises en charge.
Nous avons par la suite réalisé une étude rétrospective sur 97 animaux pris en charge par le centre d'urgence (SIAMU) de l'hôpital universitaire vétérinaire Vetagro-sup, situé dans la banlieue ouest de Lyon, ayant pour objectif d'identifier les cas pris en charge chirurgicalement, et d'en tirer d'éventuels preuve d'avantages par rapport à une prise en charge classique, de même que de potentiels éléments pouvant amener à privilégier d'emblée cette option thérapeutique.
La population laissait apparaitre une légère majorité de mâles, sans grosses dominance comme s'accorde à le dire la littérature. Les adultes étaient majoritaires. Nous avons montré que, parmi les différents paramètres décrivant l'animal à l'admission, c'est le volume ponctionné lors de la thoracocentèse qu'était le plus lié à la pose d'un drain thoracique. De plus, ce sont les traumas de morsures que sont très majoritairement traités pas chirurgie, contrairement aux accidents de la voie publique qui ne l'ont jamais été dans notre étude. D'autre part, nous avons montré qu'un faible poids était lié à une plus faible incidence de la chirurgie. Même si nous avons montré que l'augmentation du poids de l'animal réduisait le risque d'accident de morsure, nous été en mesure de mettre évidence qu'un faible poids était tout de même significativement lié à une prise en charge chirurgicale plus fréquente. Finalement, ni le taux de mortalité ni le temps d'hospitalisation ne laissaient penser qu'une différence d'efficacité entre la prise en charge classique ou la prise en charge chirurgicale du pneumothorax traumatique existe.[-]
Notre travail découle de l'observation selon laquelle la prise en charge des pneumothorax traumatiques, d'après les consensus actuels, est conservative et non chirurgicale, comme elle l'est pour les pneumothorax spontanés. Nous avons réalisé une synthèse bibliographique dans le but d'expliquer les bases physiologiques de la respiration afin de montrer l'importance du pneumothorax, d'en présenter sa pathogénie, ainsi que ses différentes prises en ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Les instabilités de l'épaule sont une pathologie du chien responsables d'une boiterie, d'un inconfort du membre thoracique atteint. Elles sont définies comme une translation anormale de la tête humérale dans la cavité glénoïdale. Elles ont longtemps été sous-diagnostiquées et représentent de nos jours une des pathologies les plus courantes de l'épaule du chien. Elles peuvent être dues à l'atteinte de différentes structures de contention du membre thoracique, aussi bien latérales que médiales. La combinaison de différents examens complémentaires permet d'établir le diagnostic, notamment la mesure des angles maximaux d'abduction du membre thoracique et l'arthroscopie. La prise en charge de l'instabilité comprend le traitement médical mais surtout l'intervention chirurgicale. Différentes techniques ont été décrites, agissant sur différentes structures par différents abords. Cette étude rétrospective s'intéresse à la technique par ligamentoplastie vidéo-assistée réalisée chez 5 chiens atteints d'instabilité médiale ou latérale, à VetAgroSup entre 2019 et 2022. Cette technique utilise des ancres chirurgicales permettant d'imbriquer la prothèse ligamentaire au niveau de la scapula sous arthroscopie. La douleur, la boiterie et le retour à un niveau d'activité passée ont été évalués à court terme et à long terme post-opératoire, afin d'évaluer l'efficacité de la technique chirurgicale. La ligamentoplastie vidéo-assistée s'est avérée être une technique efficace pour stabiliser l'articulation de l'épaule des 5 chiens, qui ont présenté un retour plus ou moins complet au niveau d'activité passé.[-]
Les instabilités de l'épaule sont une pathologie du chien responsables d'une boiterie, d'un inconfort du membre thoracique atteint. Elles sont définies comme une translation anormale de la tête humérale dans la cavité glénoïdale. Elles ont longtemps été sous-diagnostiquées et représentent de nos jours une des pathologies les plus courantes de l'épaule du chien. Elles peuvent être dues à l'atteinte de différentes structures de contention du ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Le cochon d'Inde est un animal de compagnie qui s'agite beaucoup lorsqu'il est stressé. Il est donc sujet aux erreurs de manipulation et aux chutes, qui sont parfois causes de fracture. La prise en charge de ce type de traumatisme constitue un défi à part entière en médecine vétérinaire tant pour l'accueil et l'analgésie de l'animal traumatisé que d'un point de vue orthopédique, chirurgical et anesthésique. Après avoir rappelé les particularités comportementales et anatomiques du cochon d'Inde, une première partie bibliographique décrit les fractures des os longs d'un point de vue général et dans le cas particulier de cet animal. A partir d'articles scientifiques, une synthèse bibliographique a été effectuée, décrivant l'ensemble des techniques de prise en charge des fractures des os longs du cochon d'Inde tout en insistant sur les spécificités de la prise en charge péri-opératoire. Enfin, une étude rétrospective a été réalisée prenant en compte 19 cas de cochons d'Inde pris en charge pour des fractures des os longs dans trois CHV d'Ile de France, entre août 2003 et juillet 2021. Cette étude constitue un recueil de cas de fractures chez le cochon d'Inde, dont la moitié a été prise en charge par traitement conservateur et l'autre par traitement chirurgical. Du fait d'un manque d'information sur le suivi des patients, cette étude n'a pas permis de comparer l'efficacité respective de ces deux approches thérapeutiques. Elle a néanmoins permis de mettre en évidence deux nouvelles pratiques par rapport aux autres études de cas de fractures chez le cochon d'Inde, disponibles dans la littérature scientifique : la pose d'un enclouage centro-médullaire sur des fractures ulnaires et l'anesthésie loco-régionale du plexus brachial.[-]
Le cochon d'Inde est un animal de compagnie qui s'agite beaucoup lorsqu'il est stressé. Il est donc sujet aux erreurs de manipulation et aux chutes, qui sont parfois causes de fracture. La prise en charge de ce type de traumatisme constitue un défi à part entière en médecine vétérinaire tant pour l'accueil et l'analgésie de l'animal traumatisé que d'un point de vue orthopédique, chirurgical et anesthésique. Après avoir rappelé les particularités ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Cette thèse a pour but d'enrichir les connaissances sur l'étiologie bactérienne des otites externes chez le lapin afin d'en améliorer la prise en charge médicale, en proposant des recommandations d'usage des antibiotiques dans le respect de la réglementation en vigueur. Cette étude rappelle dans un premier temps les bases anatomiques de l'oreille du lapin, et revient sur les connaissances actuelles sur l'étiologie, la physiopathologie, la présentation clinique et la prise en charge médicale et chirurgicale de l'otite externe. La seconde partie, basée sur une étude rétrospective, présente les principaux germes isolés lors d'otite externe et fait un état des lieux de leur sensibilité et résistance aux antibiotiques usuels. Les données obtenues sont en grande partie similaires aux résultats trouvés dans la littérature, et révèlent que Staphylococcus et Corynebacterium sont les principaux genres bactériens impliqués, avec une prédominance de l'espèce Staphylococcus aureus.[-]
Cette thèse a pour but d'enrichir les connaissances sur l'étiologie bactérienne des otites externes chez le lapin afin d'en améliorer la prise en charge médicale, en proposant des recommandations d'usage des antibiotiques dans le respect de la réglementation en vigueur. Cette étude rappelle dans un premier temps les bases anatomiques de l'oreille du lapin, et revient sur les connaissances actuelles sur l'étiologie, la physiopathologie, la ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et long terme et aux retards de cicatrisation osseuse. La pierre angulaire de la prise en charge chirurgicale de ces fractures est la préservation du potentiel ostéogénique du foyer de fracture. L'objectif de l'étude a été d'évaluer les délais de cicatrisation et de récupération fonctionnelle ainsi que les complications de cicatrisation afin de faire ressortir des facteurs prédictifs de complications fracturaires chez les chiens et les chats parmi les caractéristiques de l'animal, de la fracture ou de la prise en charge péri-opératoire. Toutes nos observations ayant ensuite été comparées aux données peu nombreuses de la littérature. Chez les 26 chats de l'étude, ont été recensées 23% de retard de cicatrisation osseuse et 69% de complications de la cicatrisation réparties sur 34% des chats (4 infections des tissus mous, 4 ostéomyélites, 2 déformations osseuses, 2 mal unions et 2 pseudarthroses et 4 débricolages de montage). Chez les 29 chiens, ont été recensés 11% de retard de cicatrisation osseuse et 55% de complications de cicatrisation réparties chez 48% des chiens (2 nouvelles fractures, 3 déformations ou désaxation osseuses, 1 pseudarthrose, 2 débricolages de montage, 4 ostéomyélites et 3 infections des tissus mous). Après cicatrisation osseuse complète, 4 chiens et 5 chats présentaient encore une boiterie. Les facteurs identifiés comme influençant la cicatrisation ont été l'âge et le statut reproducteur de l'animal, le caractère ouvert ou fermé de la fracture, la localisation de cette dernière sur l'os ainsi que son orientation, sa comminution et son déplacement, la stabilité du foyer de fracture après réduction, l'occurrence d'hypotension per-anesthésique et le délai de respect du repos strict en post-opératoire. Le trop faible nombre de cas inclus dans l'étude n'a pas permis la réalisation d'analyses statistiques multivariées. Les facteurs de confusion persistants nuancent donc nos conclusions. Néanmoins, l'importante base de données constituée au cours de ce travail servira de base à la réalisation d'études ultérieures.[-]
Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
La prise en charge des plaies traumatiques aiguës est un savoir-faire essentiel en pratique vétérinaire. Elle nécessite la connaissance des divers processus de cicatrisation selon les lésions, la parfaite maitrise des gestes thérapeutiques, une rigueur sans faille, dont l'apprentissage et la réalisation sont toujours chronophages. Cependant, le questionnaire d'autoévaluation des étudiants de Vetagro Sup a mis en évidence un certain manque d'expérience dans la gestion des plaies. La création de la salle de simulation « vetskills » et ses possibilités matérielles nous ont permis d'imaginer et de réaliser des ateliers permettant de s'y exercer, pour enrichir la formation pratique actuelle. Cette thèse décrit le développement d'ateliers permettant un entrainement à l'évaluation et au traitement chirurgical des plaies traumatiques aiguës, de la réalisation du cahier des charges jusqu'à la mise en œuvre des gestes chirurgicaux. Les étudiants auront à leur disposition 6 ateliers leur permettant d'intégrer des éléments de la démarche systématique de soin des plaies traumatiques aiguës. Ces ateliers traiteront les gestes les plus simples comme la préparation du site chirurgical mais également des gestes plus techniques comme la pose de drain. Les ateliers ont été réalisés en regard de contraintes structurelles précises, mais également avec des contraintes esthétiques particulières, ce qui a permis d'introduire à vetskills un nouveau type de modèle à la fois pratiques et visuels et manipulables. En outre, ces ateliers permettront d'exploiter des compétences techniques cruciales tout en travaillant des compétences analytiques d'importance égale. Les méthodes d'évaluation des étudiants sur chaque atelier ont été formulées afin qu'ils soient également accessibles aux élèves de premier cycle.[-]
La prise en charge des plaies traumatiques aiguës est un savoir-faire essentiel en pratique vétérinaire. Elle nécessite la connaissance des divers processus de cicatrisation selon les lésions, la parfaite maitrise des gestes thérapeutiques, une rigueur sans faille, dont l'apprentissage et la réalisation sont toujours chronophages. Cependant, le questionnaire d'autoévaluation des étudiants de Vetagro Sup a mis en évidence un certain manque ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
L'obstruction urétrale par une lithiase est une affection fréquente chez les chiens induisant des complications possiblement mortelles. Une reperméabilisation des voies urinaires via une urorétropulsion (par sondage et/ou par urohydrorétropulsion) doit être réalisée afin de repousser les lithiases urétrales dans la vessie. En fonction de la réussite ou de l'échec de cette procédure, la technique chirurgicale utilisée par la suite sera différente. Si l'urorétropulsion est réussie, une cystotomie est préconisée. En revanche, si l'urorétropulsion échoue, une urétrostomie (en amont du site d'obstruction) est réalisée. Peu d'informations à propos de données épidémiologiques et cliniques des chiens présentant une obstruction par une lithiase urétrale sont disponibles dans la littérature, ainsi qu'à propos de facteurs de réussite d'une urorétropulsion. De même, peu d'études ont étudié les complications à la suite d'une urétrostomie et/ou d'une cystotomie dans un contexte d'obstruction urétrale chez le chien. Cette étude a pour but d'actualiser les connaissances à ce sujet. Après un bilan des connaissances actuelles concernant la lithogénèse et les données générales des lithiases, l'épidémiologie, la pathogénie, le diagnostic, et la prise en charge médicale et chirurgicale de l'obstruction urétrale canine, une étude rétrospective a été réalisée concernant la prise en charge chirurgicale des lithiases urétrales obstructives de 86 chiens présentés au Centre Hospitalier Vétérinaire d'Alfort entre 2010 et 2020. L'objectif de cette étude rétrospective est de recenser les données pré-opératoires, de déterminer des facteurs d'intérêt significativement associés à la réussite ou non d'une urorétropulsion, tout en dégageant les complications et leur prévalence associées aux différentes techniques chirurgicales possibles. Une urorétropulsion a été réussie chez 76,7% des chiens et non réussie chez 23,3% chiens de notre étude. Ainsi, 76,7% des chiens ont eu une cystotomie, 9,3% des chiens ont eu une urétrostomie et 14,0% des chiens ont eu une urétrostomie associée à une cystotomie. Le pourcentage de réussite d'urorétropulsion au bloc opératoire était significativement plus important que celui en consultation. De plus, la taille de la plus grosse lithiase urétrale, présente à l'admission sur les radiographies, était significativement plus petite chez les chiens ayant eu une urorétropulsion réussie que chez les chiens où l'urorétropulsion n'a pas été réussie. Les complications rencontrées à la suite des différentes techniques chirurgicales sont comparables à celles décrites dans la littérature. Plus de deux tiers des chiens ont eu au moins une complication durant leur suivi et la majorité ont eu des complications mineures et à court terme. La réalisation d'une urétrostomie, au lieu d'une cystotomie, augmentait significativement le risque d'avoir au moins une complication post-opératoire, d'avoir de l'hématurie et un saignement de plaie en post-opératoire et augmentait significativement le temps d'apparition médian d'un saignement de plaie.[-]
L'obstruction urétrale par une lithiase est une affection fréquente chez les chiens induisant des complications possiblement mortelles. Une reperméabilisation des voies urinaires via une urorétropulsion (par sondage et/ou par urohydrorétropulsion) doit être réalisée afin de repousser les lithiases urétrales dans la vessie. En fonction de la réussite ou de l'échec de cette procédure, la technique chirurgicale utilisée par la suite sera d...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Le distichiasis est un cil qui provient d'un follicule pileux adjacent à une glande de Meibomius et qui émerge via le conduit de cette glande sans en modifier la structure ou la fonction. Il est alors identifié sur le bord libre de la paupière supérieure ou inférieure. L'épidémiologie de ces distichiasis chez le chien reste peu décrite dans la littérature vétérinaire. Toutes les races de chiens peuvent être atteintes par cette anomalie oculaire, mais certaines semblent plus représentées que d'autres. Diverses options thérapeutiques sont possibles, avec des taux de succès variables.
L'objectif de notre étude était d'abord de réaliser une étude épidémiologique du distichiasis chez le chien, en incluant tous les cas de distichiasis, associés ou non à des signes cliniques. Nous avons pour cela étudié les chiens examinés au service d'ophtalmologie du ChuvA entre le 1er janvier 2010 et le 31 décembre 2019, ce qui représentait un effectif de 5342 chiens. Nous avons mis en évidence que la prévalence de distichiasis au sein de notre population d'étude était de 5,5 % avec 74 % des cas sans signes cliniques associés. L'âge médian au moment du diagnostic était de 3,9 ans pour tous les cas inclus, avec une différence entre les cas associés à de signes cliniques pour lesquels l'âge médian au moment du diagnostic était de 1,3 ans, contre 5 ans pour les cas non associés à des signes cliniques. Aucune prédisposition sexuelle n'a pu être montrée dans cette étude. Parmi les 52 races atteintes par l'affection, le Bulldog Anglais, le Cocker Américain, le Cavalier King Charles, le Boxer, le Cocker Anglais, le Shih Tzu et le Bouledogue Français étaient surreprésentés dans notre étude. Nous notions également que les chiens de races brachycéphales avaient entre deux et trois fois plus de risque d'être atteints par des distichiasis que les non brachycéphales. Les chiens atteints de distichiasis associés à de signes cliniques présentaient des lésions de kératite ou de conjonctivite. Sur les 42 chiens traités chirurgicalement, seuls 17 ont eu un suivi suffisamment long pour interpréter les résultats des chirurgies effectuées. Dans notre étude, le taux de succès de la cryoablation de distichiasis était de 100 % pour six yeux opérés, de l'exérèse en bloc de 80 % pour cinq yeux opérés, de l'exérèse en bande de 57 % pour sept yeux opérés et de l'électroépilation de 20 % pour dix yeux opérés. Neuf chiens n'avaient plus de signes de douleur oculaire ou des lésions de kératite après une chirurgie, et six chiens ont nécessité une reprise chirurgicale.[-]
Le distichiasis est un cil qui provient d'un follicule pileux adjacent à une glande de Meibomius et qui émerge via le conduit de cette glande sans en modifier la structure ou la fonction. Il est alors identifié sur le bord libre de la paupière supérieure ou inférieure. L'épidémiologie de ces distichiasis chez le chien reste peu décrite dans la littérature vétérinaire. Toutes les races de chiens peuvent être atteintes par cette anomalie oculaire, ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
La mycose des poches gutturales est une affection peu courante des équidés dont l'issue peut être fatale. Le seul moyen de prévenir une épistaxis potentiellement fatale repose sur l'interruption du flux sanguin dans les artères affectées par la plaque fongique. Différentes techniques permettent d'y parvenir, telles que la réalisation de ligatures artérielles ou une embolisation transartérielle à l'aide de coils ou de plugs. Les cathéters à ballonnet permettent également de bloquer le flux sanguin rétrograde et s'insèrent plus simplement. Toutefois, contrairement à l'utilisation des coils,la mise en place de cathéters à ballonnet n'a pas été rapportée sur cheval debout sous sédanalgésie dans la littérature. L'embolisation de l'artère carotide interne ayant fait l'objet d'un travail de thèse préalable, la première partie du manuscrit présente une étude expérimentale ayant pour objectif d'évaluer la faisabilité de l'embolisation des artères carotide externe et maxillaire par des cathéters à ballonnet sur cheval debout. L'intervention a été réalisée chez quatre chevaux, pour lesquels cinq artères carotides externes et cinq artères maxillaires ont été embolisées avec succès à l'aide d'un cathéter à ballonnet sous sédanalgésie. Cette procédure a été réalisée sans observer de complications peropératoires majeures. La deuxième partie du manuscrit présente les résultats d'une étude rétrospective multicentrique effectuée dans le but de dresser un bilan de l'utilisation en France de la technique d'embolisation artérielle à l'aide de cathéters à ballonnet, ainsi que d'illustrer l'utilisation de cette méthode sur cheval debout chez des sujets malades. Les résultats permettent de conclure que l'embolisation artérielle par cathéter à ballonnet demeure une technique intéressante dans le traitement chirurgical de la mycose des poches gutturales et que cette méthode est utilisable sur cheval debout pour la prise en charge des artères carotide externe et maxillaire. Une utilisation de cette procédure à plus large échelle chez des sujets malades permettrait d'en affiner les indications et contre-indications, ainsi que d'évaluer les complications per et post-opératoires qui pourraient y être associées.[-]
La mycose des poches gutturales est une affection peu courante des équidés dont l'issue peut être fatale. Le seul moyen de prévenir une épistaxis potentiellement fatale repose sur l'interruption du flux sanguin dans les artères affectées par la plaque fongique. Différentes techniques permettent d'y parvenir, telles que la réalisation de ligatures artérielles ou une embolisation transartérielle à l'aide de coils ou de plugs. Les cathéters à ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Les abcès et fistules sont fréquents au niveau de la tête et du cou chez le chien et sont le résultat de processus infectieux engendrés par l'introduction dans les tissus d'agents pathogènes, le plus souvent à la faveur d'un traumatisme. Leur persistance est couramment liée à l'existence d'une source d'inflammation et/ou d'infection (SOI) et notamment d'un corps étranger d'origine végétale. Leur prise en charge est chirurgicale et nécessite l'utilisation préopératoire d'un examen d'imagerie performant dans le but d'identifier et localiser une éventuelle SOI et d'obtenir la visualisation de l'étendue des tissus affectés et des structures anatomiques environnantes à risques, nombreuses dans cette région. L'objectif de cette étude rétrospective était d'évaluer l'apport du scanner dans la planification du traitement chirurgical des abcès et fistules au niveau de la tête et du cou chez le chien. Notre étude a porté sur 30 chiens opérés d'un abcès et/ou d'une fistule de la tête ou du cou après la réalisation d'un scanner préopératoire et pour lesquels nous disposions d'un suivi postopératoire d'au minimum 12 mois. Ces chiens ont été classés selon qu'une source d'inflammation et/ou d'infection a été identifiée au scanner (groupe 1) ou bien seulement suspectée en raison de la présence de cavité(s) (abcès) ou de trajets fistuleux (groupe 2). L'intervention chirurgicale a consisté en un strict retrait de la SOI (groupe 1), le parage et/ou l'exérèse en bloc des lésions visualisées au scanner (groupe 2). Aucun accident peropératoire n'a été rapporté. Une SOI a été retirée dans 90% (9 sur 10) et 25% (5 sur 20) des cas dans les groupes 1 et 2 respectivement. Le taux de guérison plus de 12 mois après l'intervention était de 100% et 90% dans les groupes 1 et 2 respectivement, sans complications majeures rapportées. L'utilisation préopératoire du scanner a permis un succès de la prise en charge chirurgicale des abcès et fistules au niveau de la tête et du cou chez 93% (28 sur 30) des animaux après une seule intervention. Le retrait d'une SOI lors de l'intervention n'a pas eu d'impact significatif sur la guérison des lésions avec toutes les limites d'analyse liées à la faible taille des effectifs étudiés. Il est intéressant de noter que le taux de guérison était de 100% lorsque la source d'inflammation et/ou d'infection avait été identifiée et retirée et que les deux récidives observées n'ont concerné que des chiens pour lesquels ni le scanner ni l'intervention n'avaient permis d'identifier une SOI.[-]
Les abcès et fistules sont fréquents au niveau de la tête et du cou chez le chien et sont le résultat de processus infectieux engendrés par l'introduction dans les tissus d'agents pathogènes, le plus souvent à la faveur d'un traumatisme. Leur persistance est couramment liée à l'existence d'une source d'inflammation et/ou d'infection (SOI) et notamment d'un corps étranger d'origine végétale. Leur prise en charge est chirurgicale et nécessite ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
L'incontinence urinaire chez le chien procède de nombreuses causes. On peut les classer selon qu'il s'agit d'affections neurogènes ou non neurogènes, congénitales ou acquises. Ces perturbations affectent l'organisation anatomique de l'appareil urinaire ou les mécanismes nerveux de régulation de la miction. Après des rappels anatomo-physiologiques, l'auteur répertories les principales maladies responsables de l'incontinence dans l'espèce canine ; L'établissement d'un diagnostic étiologique précis étant nécessaire, les éléments sémiologiques à rechercher et les examens complémentaires à disposition sont exposés (imagerie médicale et épreuves urodynamiques). Les possibilités thérapeutiques médicales et chirurgicales et les résultats que l'on peut en attendre sont décrits. Les principales techniques chirurgicales correctives de ces désordres sont illustrées.[-]
L'incontinence urinaire chez le chien procède de nombreuses causes. On peut les classer selon qu'il s'agit d'affections neurogènes ou non neurogènes, congénitales ou acquises. Ces perturbations affectent l'organisation anatomique de l'appareil urinaire ou les mécanismes nerveux de régulation de la miction. Après des rappels anatomo-physiologiques, l'auteur répertories les principales maladies responsables de l'incontinence dans l'espèce canine ; ...

Lire plus | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur