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Cette étude, s'inscrivant dans la continuité d'une précédente (Marquet 2021), fait un état des lieux actuel sur l'utilisation des antibiotiques lors du transfert d'embryons in vivo en France, et constate si leur utilisation ou non affecte sanitairement l'embryon ainsi que la donneuse en post-collecte. L'utilisation des antibiotiques dans les milieux de collecte est réglementée par l'Organisation Mondiale de la Santé Animale (toute lettre) et est obligatoire. Ainsi, un questionnaire diffusé aux équipes agréées a permis de recueillir les pratiques et de mettre en évidence que toutes les équipes n'utilisaient pas d'antibiotiques dans leur milieu de collecte. De plus, il a mis en exergue que l'utilisation des antibiotiques intra-utérins en post-collecte est une pratique répandue sur le terrain; malgré un faible taux d'endométrites rapporté en post-collecte. Une analyse de leurs résultats sanitaires, en collaboration avec le Laboratoire National de Contrôle des Reproducteurs, a permis de démontrer que l'utilisation des antibiotiques ne semblait pas influencer leurs résultats. Le seul facteur, influençant ces résultats est le facteur équipe : des équipes ayant significativement des résultats bactériologiques plus élevés. Enfin, le facteur lieu de collecte (en station ou en élevage) semble intéressant à étudier mais nécessite des études complémentaires. Ainsi, bien que nécessitant des études supplémentaires, notre étude ainsi que celle de M. Marquet semblent entrouvrir une porte sur un changement des pratiques et l'utilisation des antibiotiques lors de transfert d'embryons bovins in vivo.
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Cette étude, s'inscrivant dans la continuité d'une précédente (Marquet 2021), fait un état des lieux actuel sur l'utilisation des antibiotiques lors du transfert d'embryons in vivo en France, et constate si leur utilisation ou non affecte sanitairement l'embryon ainsi que la donneuse en post-collecte. L'utilisation des antibiotiques dans les milieux de collecte est réglementée par l'Organisation Mondiale de la Santé Animale (toute lettre) et est ...
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Le but de notre étude est d'estimer le sex ratio primaire et le sex ratio secondaire des produits issus d'ICSI-OPU et transférés avec cryoconservation, dans un seul centre de reproduction sur 6 ans (2015-2021), et de les comparer avec un sexe ratio standard de 1. Les embryons ont été produits par 16 juments et 23 étalons. Un total de 236 sexes de poulains ont été identifiés à différents stades de gestation : à la naissance, durant la gestation par échographie et/ou avant le transfert d'embryon par PCR. Les tests statistiques utilisés sont le test de Fischer (n<30) ou le test de chi deux (n?30). Le SRS des embryons réfrigérés (6,1) était significativement différent d'un sex ratio de 1 avec 86% de mâles (n=14 P<0.01). Cependant, les sex ratios des embryons congelés ne diffèrent jamais significativement du sex ratio standard : à la naissance (1.17 – 54,2% males) (n=83), pendant la gestation (1.5 – 60% males) (n=40), et avant transfert embryonnaire (1.52 – 60,3% males) (n=78). Seulement 50 embryons sexés (48% de mâles) ont été transférés dans des femelles porteuses, le ratio à la naissance était plus faible pour les mâles (8/24 vs 13/26) et le SRS était de 0,62 – 38% de mâles (n=21). Différents facteurs peuvent influencer le sexe ratio comme les étalons ou les juments choisies. Deux des 23 étalons utilisés ont produits plus de 30 poulains par ICSI. Pour ces derniers, le SRS était dévié en faveur des mâles, avec respectivement 2.55- 72% (n= 39 P< 0.01) et 1.71- 63% (n=38). Quatre juments ont produit plus de 18 poulains, le SRS était aussi dévié en faveur des mâles avec respectivement : 3.75 -79% (n=19 P< 0.05), 1.78 - 64% (n=25), 1.46- 59% (n=32), 1.37- 58% (n=26).
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Le but de notre étude est d'estimer le sex ratio primaire et le sex ratio secondaire des produits issus d'ICSI-OPU et transférés avec cryoconservation, dans un seul centre de reproduction sur 6 ans (2015-2021), et de les comparer avec un sexe ratio standard de 1. Les embryons ont été produits par 16 juments et 23 étalons. Un total de 236 sexes de poulains ont été identifiés à différents stades de gestation : à la naissance, durant la gestation ...
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Actuellement, les conditions de culture in vitro et les méthodes de sélection et de transfert embryonnaire ne permettent qu'à peu d'embryons bovins produits in vitro de donner naissance à un veau sain. Un des leviers pour améliorer ces faibles rendements est une meilleure sélection des embryons à transférer. Les systèmes time-lapses permettent désormais d'obtenir des informations morphocinétiques sur le développement embryonnaire in vitro et pourrait permettre de mieux sélectionner ces embryons. L'objectif de cette thèse a été de tester la validité d'une nouvelle classification des embryons produits in vitro à partir de critères morphocinétiques sur un faible effectif de transferts embryonnaires. Pour ce faire, 27 embryons produits in vitro ont été classés selon ces nouveaux critères et transférés chez des receveuses. Une étude comparative du déroulement des gestations obtenues à partir d'embryons classés dans les catégories A « éclosion précoce », B « éclos », C « blastocyste retardé » et D « arythmiques » a alors été réalisée grâce des dosages de progestérone et un suivi échographique. Les résultats obtenus suggèrent que les embryons de la catégorie A sont bien les plus intéressant à transférer puisqu'ils ont donné le meilleur taux de naissance (66,7%) avec uniquement les pertes causées par la mortalité embryonnaire précoce. La catégorie D est également intéressant puisqu'elle obtient 25% de naissance mais avec une majorité de pertes tardives à très tardives. Il n'est donc économiquement pas conseillé de transférer cette catégorie, cependant, il serait intéressant de connaitre la cause de ces pertes tardives. Nous avons observé un avorton et un veau mort-né qui pourrait avoir subi un Large Offspring Syndrome. Bien que testé sur un petit effectif, cette classification semble déjà efficace pour distinguer la catégorie avec le plus de chance de générer une naissance et celle avec plus de chances de générer des pertes en fin de gestation. Tester cette classification à plus grande échelle est donc la prochaine étape de ce projet.
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Actuellement, les conditions de culture in vitro et les méthodes de sélection et de transfert embryonnaire ne permettent qu'à peu d'embryons bovins produits in vitro de donner naissance à un veau sain. Un des leviers pour améliorer ces faibles rendements est une meilleure sélection des embryons à transférer. Les systèmes time-lapses permettent désormais d'obtenir des informations morphocinétiques sur le développement embryonnaire in vitro et ...
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La forte variabilité dans la réponse à la superovulation chez les bovins limite une utilisation plus large du transfert embryonnaire. Les multiples facteurs de variation de production d'embryons (traitement de superovulation, facteurs liés à la vache elle-même, élevage, alimentation...) sont abordés dans la partie bibliographique. La partie expérimentale de la thèse s'est axée plus particulièrement sur la détermination du statut métabolique de vaches laitières Montbéliardes et l'identification des facteurs de variation de production d'embryons. 92 animaux (19 génisses, 65 vaches en lactation et 8 vaches taries) ont été collectées par l'équipe de « Franche-Comté Embryon » entre décembre 2000 et avril 2001. Le traitement de superovulation consistait en 8 injections à doses décroissantes de FSH-p (Stimufol®). Une injection de PGF2alpha (Estrumate®) a été réalisée à la 5ème injection de FSH-p. Les vaches ont été inséminées 12 et 24 heures après le début de l'oestrus (JO) puis collectées à J7. L'intervalle vêlage-collecte, la note d'état corporel, le poids vif, les données de production laitière (niveau au dernier contrôle, TB, TP), les résultats de collecte, les paramètres d'élevage, ainsi que la couverture des besoins en UFL, PDIN, PDIE, P et Ca ont été recueillis en début de traitement. Les vaches ont fait l'objet de 3 prises de sang : une au début du traitement, une au moment des chaleurs et une le jour de la collecte. Dans ces échantillons ont été dosés la progestérone, l'oestradiol, le glucose, l'insuline, les acides gras non-estérifiés (AGNE), le beta-hydroxy-butyrate, le cholestérol, les triglycérides, la leptine et l'urée. A l'issue de l'analyse univariée, les vaches produisant plus de 9 embryons/ovocytes non fécondés montrent un intervalle vêlage-collecte plus court, une production laitière plus élevée et un TP plus faible que les vaches produisant moins de 9 embryon s/ ovocytes non fécondés. Les bonnes productrices présentent une insulinémie et une triglycéridémie plus faible que les mauvaises, ainsi qu'une concentration en AGNE plus élevée. Ces données traduisent un déficit énergétique. Quant à la production d'embryons transférables, elle est affectée par la production laitière et la triglycéridémie. De plus, les génisses qui ont une urémie inférieure à 0,2 g/1 et les vaches qui ont une urémie supérieure à 0,3 g/1 donnent moins de structures collectées et moins d'embryons transférables que les animaux dont l'urémie se situe entre 0,2 et 0,3 g/l. Enfin, le dosage de progestérone chez les vaches en lactation avant le traitement de superovulation permet de classer les bonnes et les mauvaises donneuses d'embryons transférables, les bonnes ayant une progestéronémie supérieure. Un léger déficit énergétique semble donc propice à la production d'embryons comme cela a déjà été rapporté par de nombreux auteurs. La quantité d'azote dans la ration joue également un rôle dans la production d'embryons, que ce soit par carence (cas des génisses) ou par excès (cas des vaches en lactation). L'urémie s'avère donc particulièrement intéressante à doser pour prédire la production d'embryons/ovocytes non fécondés ou d'embryons transférables. Les animaux dont l'urémie ne se situe pas entre 0,2 et 0.3 g/1 n'ont alors pas de bons résultats de collecte. Les paramètres métaboliques variant au cours de la lactation, une analyse multivariée viendra compléter cette première approche.
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La forte variabilité dans la réponse à la superovulation chez les bovins limite une utilisation plus large du transfert embryonnaire. Les multiples facteurs de variation de production d'embryons (traitement de superovulation, facteurs liés à la vache elle-même, élevage, alimentation...) sont abordés dans la partie bibliographique. La partie expérimentale de la thèse s'est axée plus particulièrement sur la détermination du statut métabolique de ...
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