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Documents Vétérinaire rural 32 résultats

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L'objectif principal de cette thèse est de tester l'utilisation des lunettes connectées auprès d'étudiants vétérinaires en pratique bovine afin de renforcer leur confiance en eux et leur autonomie. Dans un premier temps, nous avons mesuré la confiance en soi des étudiants destinés à pratiquer la médecine bovine et ce, via un questionnaire diffusé aux 4 ENV. Au total, 108 réponses ont été obtenues. Les résultats de notre enquête ont révélé un besoin de renforcer leur confiance en eux et une demande d'accompagnement et d'encadrement durant la transition de la sortie de l'école et leur premier poste vétérinaire. Dans un second temps, notre expérimentation a testé en pratique la faisabilité et l'utilité de lunettes connectées comme solution de télémentorat. Il s'agit d'une étude exploratoire réalisée par un nombre restreint d'étudiants et sur des actes médicaux limités. Au total 4 binômes d'étudiants STER et tuteurs vétérinaires ont réalisé les essais sur le terrain et 12 interventions ont été effectuées. Elles ont permis, au cours d'essais en élevage, de relier les étudiants STER d'Oniris à leur maître de stage à distance et donc d'ajouter une étape supplémentaire pour eux entre la réalisation d'actes médicaux de manière supervisée et la réalisation d'actes totalement seuls en élevage. Les résultats des essais ont montré une facilité d'utilisation des lunettes connectées ainsi qu'une bonne acceptabilité d'un tel outil par les éleveurs. Cependant, nous avons vu que la connexion à un réseau de bonne qualité est, dans la plupart des cas, très compliqué voire impossible dans les exploitations agricoles. D'un point de vue pédagogique, l'usage des lunettes connectées est utile techniquement aux étudiants pour des interventions en élevage qu'ils maîtrisent peu et sur lesquelles ils sont peu autonomes. Pour des interventions maîtrisées, les lunettes ne sont pas utiles voire ralentissent les étudiants. Finalement, on pourrait envisager de rajouter un stéthoscope ou un échographe connectés afin que le vétérinaire à distance ait accès à des informations supplémentaires lors d'une consultation. Enfin, il serait intéressant d'étudier l'usage des lunettes connectées dans la formation étudiante vétérinaire dans le cas de la pratique canine.[-]
L'objectif principal de cette thèse est de tester l'utilisation des lunettes connectées auprès d'étudiants vétérinaires en pratique bovine afin de renforcer leur confiance en eux et leur autonomie. Dans un premier temps, nous avons mesuré la confiance en soi des étudiants destinés à pratiquer la médecine bovine et ce, via un questionnaire diffusé aux 4 ENV. Au total, 108 réponses ont été obtenues. Les résultats de notre enquête ont révélé un ...

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Le marché du soin vétérinaire dans le milieu rural fait face à de nombreux enjeux qui le façonnent. Les vétérinaires et les éleveurs rencontrant de nombreuses problématiques. Des besoins se dégagent fortement de ses problématiques. / Afin de pallier à ses enjeux et de répondre à ses besoins, des vétérinaires ont développé une nouvelle manière de travailler : La contractualisation. / Ce travail a pour but dans un premier temps de faire ressortir les problématiques et les besoins des vétérinaires et des éleveurs dans le monde qui les entoure. Dans un second temps, ce travail cherche à savoir si la contractualisation est une solution de réponse aux enjeux du marché des soins vétérinaires. C'est en réalisant une étude de marché que des réponses ont été apportées. / L'objectif de cet écrit est de donner une idée aux vétérinaires praticiens d'une solution possible à appliquer dans leurs clientèles pour répondre à leurs besoins mais aussi à ceux de leurs éleveurs.[-]
Le marché du soin vétérinaire dans le milieu rural fait face à de nombreux enjeux qui le façonnent. Les vétérinaires et les éleveurs rencontrant de nombreuses problématiques. Des besoins se dégagent fortement de ses problématiques. / Afin de pallier à ses enjeux et de répondre à ses besoins, des vétérinaires ont développé une nouvelle manière de travailler : La contractualisation. / Ce travail a pour but dans un premier temps de faire ressortir ...

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Le cursus vétérinaire est riche d'apprentissages, pratiques ou théoriques, et ce, dans plusieurs domaines. De nombreux enseignants proposent aujourd'hui un apprentissage selon plusieurs supports : les classiques polycopiés et cours magistraux mais aussi maintenant des vidéos pédagogiques, des exercices d'auto-évaluation ou encore des jeux éducatifs. Ces nouvelles modalités d'enseignement et le fait d'en utiliser plusieurs de nature différente, permettent souvent une meilleure appropriation des connaissances par les étudiants, peu importe leur cursus. D'autres supports sont disponibles, créés par des étudiants dans le cadre d'une thèse ou par des laboratoires pharmaceutiques comme par exemple des applications mobiles, des sites internet ou des CD-Roms d'apprentissage. Un sondage, lancé sur les réseaux sociaux, a permis de recueillir l'avis de 160 personnes, vétérinaires diplômés ou étudiants, au sujet de la création d'un nouvel outil pédagogique pour une utilisation en médecine rurale. Le podcast n'était pas en première position sur la totalité de la population sondée, mais il a été de nombreuses fois réclamé dans le groupe des vétérinaires diplômés et en fin de cursus. Le podcast ayant déjà fait ses preuves en étude de médecine humaine, il était envisageable de l'expérimenter en médecine vétérinaire rurale. Le podcast possède de nombreux avantages, le principal étant la possibilité d'utiliser cette ressource en conduisant, le vétérinaire rural passe beaucoup de temps au volant. L'une des limites de ce support est l'absence d'informations visuelles, comme des tableaux ou des schémas. Pour tenter de contrer cela, une fiche récapitulative est associée à chaque série de podcasts. Deux séries de podcast sont donc disponibles, une sur le syndrome vache couchée et l'autre sur le veau en diarrhée. Elles sont disponibles sur trois plateformes différentes : Deezer®, Spotify® et YouTube®. L'utilisation de Deezer® et Spotify® permet un téléchargement au préalable pour une écoute sans réseau internet. Cet outil est gratuit, accessible sur plusieurs plateformes et traite de motifs d'appel communs des éleveurs.[-]
Le cursus vétérinaire est riche d'apprentissages, pratiques ou théoriques, et ce, dans plusieurs domaines. De nombreux enseignants proposent aujourd'hui un apprentissage selon plusieurs supports : les classiques polycopiés et cours magistraux mais aussi maintenant des vidéos pédagogiques, des exercices d'auto-évaluation ou encore des jeux éducatifs. Ces nouvelles modalités d'enseignement et le fait d'en utiliser plusieurs de nature différente, ...

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En médecine vétérinaire comme en médecine humaine, la communication interpersonnelle en consultation est largement reconnue comme une compétence indispensable à l'établissement d'une bonne relation-client. Elle permet une meilleure satisfaction du client et du praticien, et est de plus en plus enseignée dans les écoles vétérinaires à travers le monde. En médecine vétérinaire rurale, la communication est reconnue importante mais les pratiques de communication à appliquer en élevages bovins français sont peu documentées. À travers des entretiens semi-dirigés auprès de neuf éleveurs bovins français, ce travail explore les attentes des éleveurs en matière de communication avec leurs vétérinaires. À partir de ce premier échantillon, il apparaît que les éleveurs désirent un partenariat d'égal à égal avec leur vétérinaire, et une relation basée sur le respect mutuel, les explications détaillées et l'adaptation. Les compétences développées dans le guide de Calgary-Cambridge telles que « offrir un partenariat » et « utiliser un langage facile à comprendre » sont essentielles au développement de cette relation. Les éleveurs interrogés étaient majoritairement satisfaits de leur relation avec leur vétérinaire et des compétences de communication de celui-ci. Par ailleurs, peu de différences d'attentes entre éleveurs laitiers et éleveurs allaitants ont été mises en évidence. Cette étude qualitative offre une première exploration des attentes des éleveurs bovins français en matière de communication et pourrait être étendue à une étude quantitative pour confirmer ou infirmer les résultats obtenus.[-]
En médecine vétérinaire comme en médecine humaine, la communication interpersonnelle en consultation est largement reconnue comme une compétence indispensable à l'établissement d'une bonne relation-client. Elle permet une meilleure satisfaction du client et du praticien, et est de plus en plus enseignée dans les écoles vétérinaires à travers le monde. En médecine vétérinaire rurale, la communication est reconnue importante mais les pratiques de ...

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L'élevage bovin laitier a un impact majeur sur la gestion de nombreux enjeux environnementaux tels que les émissions de gaz à effet de serre et d'ammoniac, le stockage de carbone, le maintien de la biodiversité, la gestion de l'eau et dans une moindre mesure l'équilibre énergétique. De nombreuses publications scientifiques ont étudié les mécanismes impliqués dans cet impact et permis le développement de divers leviers d'optimisation. La diffusion de ces leviers à grande échelle en France a récemment débuté. Cette transition écologique des élevages touche directement plusieurs domaines d'activité du vétérinaire rural. Cette étude bibliographique présente la place de l'élevage bovin laitier au sein des différents enjeux environnementaux, les méthodes permettant d'estimer les performances environnementales d'une exploitation et les principaux leviers d'action associés. Une partie de cette étude offre une description des principaux acteurs et programmes actuels impliqués dans la transition écologique de l'élevage bovin laitier en France. La place actuelle du vétérinaire rural dans cette transition et les possibilités d'évolution de celle-ci sont également évoquées. L'optimisation de la gestion de santé du troupeau et de la reproduction sont des leviers d'action environnementaux actuellement accessibles au vétérinaire rural. À l'avenir, le vétérinaire rural a la possibilité de devenir un acteur clé de la transition écologique de l'élevage bovin laitier. La mise en place de contrats de conseil entre éleveur et vétérinaire pourrait voir le jour dans le cadre de programmes d'optimisation environnementale. Afin de permettre au vétérinaire de participer pleinement à la transition écologique de l'élevage bovin laitier, l'acquisition de nouvelles connaissances et compétences dans plusieurs domaines tels que l'alimentation, l'agronomie et la valorisation des déjections semble nécessaire.[-]
L'élevage bovin laitier a un impact majeur sur la gestion de nombreux enjeux environnementaux tels que les émissions de gaz à effet de serre et d'ammoniac, le stockage de carbone, le maintien de la biodiversité, la gestion de l'eau et dans une moindre mesure l'équilibre énergétique. De nombreuses publications scientifiques ont étudié les mécanismes impliqués dans cet impact et permis le développement de divers leviers d'optimisation. La ...

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Dans un contexte de marché des emplois vétérinaires en tension, une fois la phase de recrutement réussie, il est primordial pour une structure vétérinaire de conserver durablement son nouveau salarié. Cet objectif de fidélisation des collaborateurs est un des domaines d'action du Groupement d'Intérêt Économique (GIE) Boischaut Sud. Avec l'aide de certaines cliniques adhérentes à ce GIE, nous avons réalisé une étude ayant pour objectif de mettre en évidence les principaux facteurs d'implication durable des salariés des structures vétérinaires en zone rurale. Cette étude qualitative a permis de déterminer deux principaux facteurs d'implication : l'ambiance de travail et l'attachement géographique. Pour chacun de ces facteurs, nous avons détaillé des outils managériaux de communication interne aussi bien à destination des employeurs que des salariés des structures vétérinaires.[-]
Dans un contexte de marché des emplois vétérinaires en tension, une fois la phase de recrutement réussie, il est primordial pour une structure vétérinaire de conserver durablement son nouveau salarié. Cet objectif de fidélisation des collaborateurs est un des domaines d'action du Groupement d'Intérêt Économique (GIE) Boischaut Sud. Avec l'aide de certaines cliniques adhérentes à ce GIE, nous avons réalisé une étude ayant pour objectif de mettre ...

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Brochiure de l'exposition " Le vétérinaire de campagne, une icône culturelle ?" présentée au congrès du SNGTV à la Cité des Congrès de Nantes, 18-20 mai 2022

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Depuis plus d'un siècle, la France subit un exode rural qui a entraîné de nombreuses modifications dans l'organisation de ses espaces. En Ile-de-France, malgré la diminution drastique du nombre d'élevages observée au cours de ces 50 dernières années, certains demeurent toujours. Avec cette urbanisation de la population française, certains métiers font face à un problème de renouvellement. C'est le cas du métier de vétérinaire praticien rural. Ce manuscrit présente dans un premier temps le nouveau visage de la ruralité en Ile-de-France, avec l'apparition notamment de structures pratiquant l'éco-pâturage et de fermes pédagogiques, en accord avec de nouvelles tendances sociétales. Ce manuscrit décrit également le déficit de vétérinaires ruraux exerçant en Ile-de-France et les conséquences que cet affaiblissement du maillage vétérinaire entraîne. De ce fait, les prophylaxies obligatoires sont de plus en plus difficiles à assurer ainsi que la lutte contre l'émergence des différentes maladies réglementées. Enfin, ce manuscrit fait état des solutions mises en place par le gouvernement, les différentes instances vétérinaires ainsi que les écoles vétérinaires françaises afin d'assurer le renouvellement des vétérinaires praticiens ruraux. Ces solutions concernent principalement la formation vétérinaire de manière générale, les voies d'entrée au concours vétérinaire ainsi que l'aide à l'installation des jeunes vétérinaires. La seconde partie correspond à un travail personnel comprenant deux enquêtes menées à la fois auprès des vétérinaires praticiens d'Ile-de-France mais aussi auprès des détenteurs d'animaux de rente d'Ile-de-France, afin de rendre compte de la situation actuelle concernant le maillage vétérinaire en Ile-de-France. Ainsi, on note que près de 90% des détenteurs d'animaux de rente se sentent directement concernés par le manque de vétérinaire ruraux. De plus, 74% affirment éprouver déjà des difficultés à trouver un vétérinaire acceptant de soigner les animaux de rente. Enfin 75% des vétérinaires praticiens ruraux interrogés affirment souhaiter arrêter leur activité rurale dans les dix prochaines années, dénonçant des contraintes d'exercice trop importantes ainsi qu'un manque de renouvellement de la main d'oeuvre. Cependant, il semble important de préciser l'existence de biais d'échantillonnage et un taux de réponse qui n'est pas très élevé. Il faudrait réaliser d'autres études afin de venir étayer notre propos.[-]
Depuis plus d'un siècle, la France subit un exode rural qui a entraîné de nombreuses modifications dans l'organisation de ses espaces. En Ile-de-France, malgré la diminution drastique du nombre d'élevages observée au cours de ces 50 dernières années, certains demeurent toujours. Avec cette urbanisation de la population française, certains métiers font face à un problème de renouvellement. C'est le cas du métier de vétérinaire praticien rural. Ce ...

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L'autopsie des bovins fait partie des actes courants du vétérinaire rural. Elle est réalisée dans différentes circonstances comme en cas de morbidité ou de mortalité accrue dans un élevage. L'autopsie peut être pratiquée à la ferme, au clos d'équarrissage ou dans un laboratoire départemental vétérinaire. Il existe différentes techniques d'autopsies, notamment sur animal couché ou sur animal suspendu par le jarret. Une enquête a été menée auprès des vétérinaires ruraux français. Le but était d'identifier leurs pratiques sur le terrain et de les comparer aux recommandations trouvées dans la littérature. L'enquête a été présentée sous la forme d'un questionnaire en ligne sur la plateforme Google Forms®. Le questionnaire a été diffusé aux vétérinaires par le biais de la SNGTV, de VétoFocus® et de Facebook®. Le questionnaire débutait par une partie permettant d'identifier le profil de chacun des vétérinaires répondant. Puis, le questionnaire était orienté sur les techniques d'euthanasie et sur les techniques d'autopsie. Pour terminer, le questionnaire s'intéressait à la rédaction du compte rendu d'autopsie, aux analyses effectuées et aux accidents d'autopsie. Le taux de réponse est de 3,7 %. Les pratiques d'euthanasie avant l'autopsie sont relativement conformes aux recommandations actuelles. L'utilisation d'une technique chimique est privilégiée par 99,4 % des vétérinaires répondant. Concernant l'autopsie, les pratiques sont variées. Il est à noter que seulement 28,7 % des vétérinaires répondant à l'étude réalisent une autopsie complète alors que tous les auteurs conseillent de réaliser une autopsie complète.[-]
L'autopsie des bovins fait partie des actes courants du vétérinaire rural. Elle est réalisée dans différentes circonstances comme en cas de morbidité ou de mortalité accrue dans un élevage. L'autopsie peut être pratiquée à la ferme, au clos d'équarrissage ou dans un laboratoire départemental vétérinaire. Il existe différentes techniques d'autopsies, notamment sur animal couché ou sur animal suspendu par le jarret. Une enquête a été menée auprès ...

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Objectifs : réaliser un panorama des applications pour Smartphones Android® pour les vétérinaires exerçant en rurale disponibles sur le marché français et recueillir via une enquête auprès de vétérinaires ruraux leurs avis et habitudes concernant l'utilisation de telles applications. Matériels et méthodes : le panorama des applications a été réalisé par une recherche dans le catalogue Google Play® via des mots clés ou des suggestions d'applications. Concernant l'enquête, il s'agit d'un questionnaire mis à disposition de vétérinaires ruraux francophones via le site de Vétofocus et des groupes vétérinaires du réseau social Facebook® sur une période de 5 mois, du 2 février 2021 au 13 juillet 2021. Résultats : Parmi les vétérinaires ruraux interrogés, 39% (62/157) sont salariés, 38% (59/157) sont étudiants, 16% (25/157) sont associés et 6% (10/157) sont collaborateurs libéraux ou exercent seuls. Concernant l'activité professionnelle, 59% (93/157) des vétérinaires de notre échantillon exercent en mixte, 25% (39/157) en rurale pure, 14% (22/157) sont étudiants sans dominante et 2% (3/157) ne travaillent pas ou plus en clientèle. À propos de l'ancienneté professionnelle, 22% (35/157) exercent depuis moins de 2 ans, 18% (28/157) exercent depuis moins de 5 ans, 6% (9/157) exercent depuis moins de 10 ans et 16% (26/157) exercent depuis plus de 10 ans, le reste (59/157) étant encore étudiants. Une majorité des personnes sondées (90%, 142/157) utilisent leur smartphone dans leur pratique professionnelle, sans différence statistiquement significative entre les plus jeunes (moins de 5 ans d'ancienneté) et les plus expérimentés. Dans notre échantillon, 44% (69/157) des sondés utilisent des applications mobiles vétérinaires, sans différence statistiquement significative entre les plus jeunes et les plus expérimentés. Concernant la fréquence d'utilisation de ces applications, 32% (22/69) les utilisent tous les jours, 42% (29/69) au moins une fois par semaine, 19% (13/69) au moins une fois par mois et 7% (5/69) moins d'une fois par mois. Les catégories d'applications les plus utiles sont l'aide au traitement (avec entre autres des applications d'aide au choix du traitement, bases de données médicamenteuses et calculateurs) (n=42), l'aide au diagnostic (n=22) et la prévention (n=14). Les principales attentes concernant ces applications sont principalement la facilité (n=140) et la rapidité d'utilisation (n=108), la réassurance via des bases de données ou des aides diagnostiques (n=104) et un gain de temps (n=85). Enfin les freins à l'utilisation de ces applications mobiles vétérinaires sont principalement la non-connaissance des applications disponibles (n=115), la nécessité d'un accès au réseau internet pour les utiliser (n=87), le manque de praticité (n=57) et le coût (n=53). Conclusion : Il existe un décalage entre les attentes des vétérinaires vis-à-vis des applications mobiles à leur disposition et l'offre réellement disponible sur le marché français. Par ailleurs, mettre en place un système d'évaluation officiel et/ou impliquer des professionnels dans leur développement pourraient augmenter la confiance des vétérinaires dans ces nouveaux outils. Enfin, augmenter la visibilité de ces applications et la formation à leur utilisation semble une nécessité afin d'augmenter leur attractivité. [-]
Objectifs : réaliser un panorama des applications pour Smartphones Android® pour les vétérinaires exerçant en rurale disponibles sur le marché français et recueillir via une enquête auprès de vétérinaires ruraux leurs avis et habitudes concernant l'utilisation de telles applications. Matériels et méthodes : le panorama des applications a été réalisé par une recherche dans le catalogue Google Play® via des mots clés ou des suggestions d'...

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Les autovaccins ont été interdits chez les ruminants de 2003 à 2017 afin de prévenir le risque de transmission du prion, agent des Encéphalopathies Spongiformes Subaiguës Transmissibles. Cette longue interdiction a été propice à l'oubli de l'intérêt qu'ils avaient dans la pharmacopée vétérinaire. Après avoir évoqué les évolutions réglementaires encadrant leur réautorisation, leur utilité, leurs limites et comment les utiliser en pratique, nous avons souhaité interroger les vétérinaires travaillant au contact des ruminants pour évaluer ce qui justifiait leur recours aux autovaccins ou au contraire ce qui constituait un frein à leur utilisation. Pour identifier leviers et freins à l'usage des autovaccins, nous avons conçu un questionnaire, diffusé avec le secours de la SNGTV, dans lequel nous évaluions leur niveau et le contexte d'utilisation des autovaccins, puis les freins à leur usage, notamment en abordant leurs connaissances sur le sujet. Entre avril et mai 2020, 198 vétérinaires ont répondu à cette enquête. Il en ressort que les modalités d'emploi des autovaccins sont encore mal connues des vétérinaires, que ce soit les types de prélèvement autorisé en fonction de l'espèce animale, les agents pathogènes contre lesquelles les autovaccins peuvent être fabriqués ainsi que le contexte pouvant conduire à la prescription d'autovaccin. La poursuite des communications à visée informative semble judicieuse pour promouvoir le recours aux autovaccins dans une perspective en particulier de réduction du recours aux antibiotiques.[-]
Les autovaccins ont été interdits chez les ruminants de 2003 à 2017 afin de prévenir le risque de transmission du prion, agent des Encéphalopathies Spongiformes Subaiguës Transmissibles. Cette longue interdiction a été propice à l'oubli de l'intérêt qu'ils avaient dans la pharmacopée vétérinaire. Après avoir évoqué les évolutions réglementaires encadrant leur réautorisation, leur utilité, leurs limites et comment les utiliser en pratique, nous ...

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V

Le médecin vétérinaire à la ferme

Nicolle, F. | Nouvelle édition soigneusement revue et corrigée, augmentée de gravures explicatives | Le "Soleil" Ltée | 1916

Livre | Cote : 156882

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