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Le syndrome de Cushing est une dysendocrinie fréquente chez le chien, caractérisée par une combinaison de signes cliniques et biologiques. Pour le diagnostiquer, le test de freinage de la cortisolémie par la dexaméthasone à faible dose est utilisé, dont différents profils de résultats ont été décrits. L'objectif de cette étude était de caractériser les performances de ce test et d'analyser les performances des différents profils de résultats. Une étude rétrospective a été réalisée sur 304 chiens ayant bénéficié d'un test entre 2010 et 2023 au Centre Hospitalier Vétérinaire Universitaire d'Alfort. Sur ces chiens, 166 ont été diagnostiqués avec le syndrome de Cushing (groupe HAC) tandis que le syndrome de Cushing a été exclu chez 138 (groupe non-HAC). Les anomalies cliniques et biologiques observées chez les chiens atteints correspondaient aux données bibliographiques existantes. En utilisant un seuil de cortisolémie à 8h fixée à 40 nmol/L, le test de freinage de la cortisolémie par la dexaméthasone avait une sensibilité de 95,8 % (IC95% [92,8-98,7 %]) et une spécificité de 84,1 % (IC95% [77,3-90,7 %]). La valeur prédictive positive variait de 40,4 % à 98,2 % selon les probabilités pré-test, tandis que la valeur prédictive négative allait de 99,5 % à 69,0 %. Le profil le plus couramment observé chez les chiens HAC était l'absence de freinage. L'analyse des différents profils a également été effectuée. Les profils « échappement » et « freinage partiel » avaient respectivement une sensibilité de 90,0 % (IC95% [83,0-97,0 %]) et 98,3 % IC95% [95,5-100 %]), mais leur spécificité était relativement faible (environ 45,6 %). Les valeurs prédictives positives et négatives des profils étaient également influencées par les probabilités pré-test, soulignant que le profil « échappement » n'exclut pas le syndrome de Cushing en cas de suspicion modérée à forte. Un profil inverse a été observé chez un chien HAC et 10 chiens non-HAC, ce qui a rendu son analyse difficile en raison de sa faible prévalence. Enfin, le profil d'augmentation n'a été trouvé que chez des chiens atteints de syndrome de Cushing d'origine hypophysaire. En conclusion, cette étude confirme que les résultats du test de freinage doivent être interprétés avec prudence, en tenant compte du contexte clinique.[-]
Le syndrome de Cushing est une dysendocrinie fréquente chez le chien, caractérisée par une combinaison de signes cliniques et biologiques. Pour le diagnostiquer, le test de freinage de la cortisolémie par la dexaméthasone à faible dose est utilisé, dont différents profils de résultats ont été décrits. L'objectif de cette étude était de caractériser les performances de ce test et d'analyser les performances des différents profils de résultats. ...

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L'obésité est une grave maladie inflammatoire et métabolique chronique, dont la fréquence chez le Chat est préoccupante. Les dérèglements hormonaux, le développement de comorbidités et les difficultés thérapeutiques rendent difficiles l'établissement d'un pronostic lors du diagnostic de la maladie. L'objectif de cette étude rétrospective et prospective est d'identifier des facteurs prédictifs de l'efficacité thérapeutique, autrement dit de la perte de poids, et du développement de comorbidités, dans une population de 50 chats obèses. Plusieurs facteurs épidémio-cliniques et biologiques ont été identifiés : être un mâle, un âge élevé, un poids élevé au diagnostic, une diminution de l'intérêt pour les activités habituelles, une activité phosphatase alcaline et une bilirubinémie élevées, une leptinémie, une concentration élevée en IGF1 et une thyroxinémie élevées sont significativement associés à la perte de poids. Les chats âgés, pesant plus lourd au diagnostic et ayant une concentration sanguine en IGF1 élevée ont plus de risques de développer un diabète sucré. Aucun facteur prédictif significatif du développement d'hypothyroïdie, d'insulinorésistance ou du retour à un poids optimal n'a pu être identifié.[-]
L'obésité est une grave maladie inflammatoire et métabolique chronique, dont la fréquence chez le Chat est préoccupante. Les dérèglements hormonaux, le développement de comorbidités et les difficultés thérapeutiques rendent difficiles l'établissement d'un pronostic lors du diagnostic de la maladie. L'objectif de cette étude rétrospective et prospective est d'identifier des facteurs prédictifs de l'efficacité thérapeutique, autrement dit de la ...

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