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Documents Ostertagia ostertagi 11 résultats

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La résistance des strongles gastro-intestinaux des bovins aux anthelminthiques semble en augmentation dans les grands pays d'élevage. Pour la première fois dans le centre de la France, cette résistance a été évaluée dans 10 élevages laitiers et 6 élevages allaitants vis-à-vis de l'ivermectine (11 lots) et de l'oxfendazole (11 lots). Des tests de réduction d'excrétion fécale post-traitement (TREF) suivis de coprocultures afin d'estimer la préva-lence de Cooperia oncophora et d'Ostertagia ostertagi par ddPCR ont été mis en place. Les résultats ont été analysés par le logiciel RESO Lootnew, la méthode eggCounts ainsi que l'analyse de Torgerson. Cette dernière a été retenue pour l'expression des résultats. La résis-tance à l'ivermectine a été mise en évidence de manière certaine dans 6 élevages. Elle con-cerne à la fois O. ostertagi et C. oncophora. En outre, pour les 5 autres élevages, l'efficacité de l'ivermectine n'a pas pu être établie avec certitude. Dans deux élevages, une résistance d'O. ostertagi vis-à-vis de l'oxfendazole a été mise en évidence. Dans les 9 autres élevages, l'efficacité de l'oxfendazole a été établie. Par ailleurs, une inefficacité de l'ivermectine vis-à-vis de Nematodirus sp a été observée dans un élevage. Ces résistances présentes dans des élevages ne vermifugeant pas excessivement devraient amener néanmoins les vétérinaires et les éleveurs à raisonner sur leurs habitudes de traitement. De plus, au vu du faible arsenal thérapeutique vétérinaire disponible, cette étude souligne l'importance de vérifier l'efficacité des traitements anthelminthiques dans les troupeaux bovins.[-]
La résistance des strongles gastro-intestinaux des bovins aux anthelminthiques semble en augmentation dans les grands pays d'élevage. Pour la première fois dans le centre de la France, cette résistance a été évaluée dans 10 élevages laitiers et 6 élevages allaitants vis-à-vis de l'ivermectine (11 lots) et de l'oxfendazole (11 lots). Des tests de réduction d'excrétion fécale post-traitement (TREF) suivis de coprocultures afin d'estimer la ...

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Des taux de pepsinogène et d'anticorps anti-Ostertagia ont été déterminés sur 736 génisses issues de 124 lots répartis dans 96 élevages. Les moyennes des taux individuels ont été calculées pour chaque lot et comparées aux taux mesurés sur le mélange des sérums contribuant à la moyenne. Dans les lots de plus de 6 génisses, des tirages au sort de 5 animaux ont été effectués, et la moyenne issue de chaque tirage a été calculée et comparée à la moyenne du premier tirage. Dans 19,4% des cas, les moyennes des taux de pepsinogène obtenues en fonction du choix des génisses dans le lot se distribuaient de part et d'autre du seuil de 1500 mUTyr indiquant que la thérapeutique du lot est modifiée par ce choix. De plus, les taux de pepsinogène moyens et de mélange étaient corrélés, soulignant l'intérêt diagnostique du pepsinogène de mélange. Le coût de cet examen pourrait être diminué facilitant la mise en œuvre de traitements raisonnés. Enfin, aucune relation linéaire n'a été mise en évidence entre les taux de pepsinogène et d'anticorps anti-Ostertagia : l'ELISA ne peut donc remplacer le dosage de pepsinogène.[-]
Des taux de pepsinogène et d'anticorps anti-Ostertagia ont été déterminés sur 736 génisses issues de 124 lots répartis dans 96 élevages. Les moyennes des taux individuels ont été calculées pour chaque lot et comparées aux taux mesurés sur le mélange des sérums contribuant à la moyenne. Dans les lots de plus de 6 génisses, des tirages au sort de 5 animaux ont été effectués, et la moyenne issue de chaque tirage a été calculée et comparée à la ...

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Afin de maîtriser l'apparition de résistances des strongles gastro-intestinaux aux anthelminthiques, des stratégies de traitement ciblé-sélectif sont à l'étude. Des travaux récents ont mis en évidence que des indicateurs zootechniques, basés sur le niveau de pâturage et le niveau de production des vaches vêlant en cours de saison de pâturage, pourraient servir de critères de traitement sélectif. Pour vérifier la pertinence de ces indicateurs zootechniques, l'objet de cette thèse était d'évaluer leur relation avec des indicateurs parasitaires marqueurs de l'infestation (niveau d'excrétion fécale, taux de pepsinogène sérique et taux d'anticorps anti-Ostertagia), par le biais de l'impact sur la production laitière. Neuf troupeaux de vaches laitières situés dans l'ouest de la France ont été suivis avec quatre points de prélèvements durant la saison de pâturage 2019, 472 vaches en lactation ont été incluses (dont 236 vêlant en cours de saison). Le lien entre les marqueurs du parasitisme et la production laitière a été analysé grâce à des modèles linéaires mixtes. Une excrétion d'œufs significativement plus élevée a été trouvée chez les vaches débutant leur lactation au pâturage, faibles productrices dans des troupeaux à niveau d'herbe pâturée élevé. Ce résultat confirmerait l'usage des critères zootechniques pour le traitement sélectif. Toutefois, du fait de l'absence de relation significative, ces critères n'ont pas été validés par le pepsinogène et le RDO Ostertagia. Il est probable que la valeur diagnostique de ces marqueurs sériques d'infestation, reconnue comme faible chez les vaches adultes, n'ait pas été suffisante pour explorer la pertinence des critères zootechniques.[-]
Afin de maîtriser l'apparition de résistances des strongles gastro-intestinaux aux anthelminthiques, des stratégies de traitement ciblé-sélectif sont à l'étude. Des travaux récents ont mis en évidence que des indicateurs zootechniques, basés sur le niveau de pâturage et le niveau de production des vaches vêlant en cours de saison de pâturage, pourraient servir de critères de traitement sélectif. Pour vérifier la pertinence de ces indicateurs ...

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L'évolution des indicateurs parasitaires pour Ostertagia ostertagi chez la vache laitière adulte au cours de la saison de pâturage n'est que très peu documentée. Cette étude a suivi 9 élevages laitiers sur une saison de pâturage complète via différentes méthodes : prélèvements d'herbe, coproscopies, dosage du pepsinogène sanguin, ELISA sur sérum et DO lait de tank. Chaque indicateur parasitaire a été mis en relation avec la conduite d'élevage. Le système expert Parasit'Sim®, habituellement employé pour les animaux de première et seconde saison de pâture, a été utilisé pour choisir les pâtures à prélever et pour estimer le risque parasitaire. Il est apparu que les vaches laitières recyclent à bas bruit : la charge parasitaire des pâtures est faible avec un nombre limité de générations larvaires et l'excrétion fécale d'œufs de SGI est surdispersée au sein des troupeaux. Toutefois, les manifestations lésionnelles ne sont pas proportionnelles à l'exposition au parasite : les résultats de dosage du pepsinogène sanguin montrent des valeurs maximales au début de l'été (3 111 mUTyr en moyenne) et minimales en fin d'automne lors de la rentrée en bâtiment (1 314 mUTyr en moyenne). Ces valeurs élevées en début de saison de pâture permettent de suspecter un processus immuno-inflammatoire associé à la sortie d'hypobiose des L4 transhivernantes ou à la ré-infestation de printemps (« self-cure »). Quelques points de prélèvements supplémentaires en début de saison de pâturage notamment aurait pu permettre de différencier les conséquences lésionnelles des deux mécanismes suspectés.[-]
L'évolution des indicateurs parasitaires pour Ostertagia ostertagi chez la vache laitière adulte au cours de la saison de pâturage n'est que très peu documentée. Cette étude a suivi 9 élevages laitiers sur une saison de pâturage complète via différentes méthodes : prélèvements d'herbe, coproscopies, dosage du pepsinogène sanguin, ELISA sur sérum et DO lait de tank. Chaque indicateur parasitaire a été mis en relation avec la conduite d'élevage. ...

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