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La Vitamine K époxyde réductase (VKORC1) est une enzyme essentielle qui existe sous différentes formes, dans tout organisme vivant, eucaryote ou procaryote. Chez les mammifères, on la connaît surtout pour son rôle indirect dans la coagulation sanguine. Cette enzyme permet la régénération de la vitamine K de sa forme oxydée (époxyde) vers sa forme réduite (hydroquinone), permettant ainsi, via la γ-glutamyl carboxylase, l'activation de plusieurs facteurs de coagulation. La VKORC1 a besoin, pour être active, d'un partenaire réducteur. Cependant, ce partenaire reste méconnu. Par ailleurs, cette enzyme est la cible principale des antivitamines K, utilisés couramment comme rodonticide et comme médicament anticoagulant dans le monde. Avec l'émergence de résistance de la VKORC1 à ces antivitamines K, la caractérisation fine de cette enzyme est de plus en plus importante. Ainsi, le travail de cette thèse a été de mettre au point une méthode pour purifier la VKORC1 de souris en la gardant fonctionnelle, ce qui permettra d'envisager ultérieurement des études structurales et fonctionnelles avancées (interaction enzyme-protéines redox partenaires, enzyme-substrat et enzymes-inhibiteurs)[-]
La Vitamine K époxyde réductase (VKORC1) est une enzyme essentielle qui existe sous différentes formes, dans tout organisme vivant, eucaryote ou procaryote. Chez les mammifères, on la connaît surtout pour son rôle indirect dans la coagulation sanguine. Cette enzyme permet la régénération de la vitamine K de sa forme oxydée (époxyde) vers sa forme réduite (hydroquinone), permettant ainsi, via la γ-glutamyl carboxylase, l'activation de plusieurs ...

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Le lynx boréal (Lynx lynx) est un grand prédateur considéré « en danger » en France par l'UICN dont les cadavres découverts sur le sol national sont collectés par le réseau SAGIR. Une problématique mondiale pour les prédateurs sauvages est leur exposition à divers micropolluants persistants, notamment aux rodonticides antivitamine K (AVK) utilisés abondamment pour lutter contre les rongeurs nuisibles. Ces molécules se retrouvent chez des prédateurs non-cibles par consommation de proies contaminées (rongeurs ou autres). Cette contamination peut causer la mort des individus et déclencher divers effets subléthaux, notamment une perte de vigilance pouvant prédisposer aux collisions routières (cause importante de mortalité pour le lynx). L'objectif de ce travail exploratoire était d'étudier l'ampleur du phénomène d'exposition aux AVK en France entre 2018 et 2022, et d'identifier d'éventuels facteurs de risques tels que des caractéristiques individuelles ou environnementales. Les résultats ont montré une contamination hépatique de 27% des individus analysés (n= 86) à au moins une substance. 9% des 86 lynx étaient multi contaminés et quatre possédaient une concentration totale supérieure au seuil de manifestations cliniques létales utilisé par les experts (0,02 µg/g). Les lynx les plus fréquemment contaminés étaient des individus âgés de plus d'un an avec des domaines vitaux théoriques plus fortement urbanisés. Cela est en faveur d'une implication des usages AVK « biocide » dans et autour des bâtiments, bien que cette espèce soit réputée peu anthropophile. Enfin, aucune association entre contamination aux AVK et risque de collision routière n'a pu être démontrée dans ce travail.[-]
Le lynx boréal (Lynx lynx) est un grand prédateur considéré « en danger » en France par l'UICN dont les cadavres découverts sur le sol national sont collectés par le réseau SAGIR. Une problématique mondiale pour les prédateurs sauvages est leur exposition à divers micropolluants persistants, notamment aux rodonticides antivitamine K (AVK) utilisés abondamment pour lutter contre les rongeurs nuisibles. Ces molécules se retrouvent chez des ...

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Les rodenticides anticoagulants sont des agents essentiels pour lutter contre les rongeurs nuisibles. Mais ils menacent la santé des espèces animales sauvages et domestiques non ciblées. L'exposition asymptomatique des animaux domestiques est peu documentée par rapport à celle de la faune sauvage. Une étude est réalisée en 2019 pour l'évaluer chez des chiens dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Pour lui faire suite, notre étude se penche sur celle des chats domestiques. Les résultats montrent une prévalence d'exposition des chats de 4,5 %, proche de celle des chiens de 2,6 %, et relativement plus faible que celle de la faune sauvage. L'accès à l'extérieur des chats semble être un facteur de risque d'exposition à l'inverse de la stérilisation. Les prévalences d'exposition entre les chats errants et ceux appartenant à un propriétaire sont proches suggérant un instinct de prédation conservé chez les chats domestiques qu'ils aient besoin ou non de chasser pour se nourrir. La détection variée en AVK de premières et secondes générations chez 13 individus montre l'existence d'une exposition asymptomatique d'origine secondaire, possiblement après ingestion de rongeurs intoxiqués. Elle signale également une exposition primaire d'origine accidentelle ou plus vraisemblablement d'origine malveillante chez les chats. Les chats sont donc aussi bien touchés par une exposition primaire que par une exposition secondaire par rapport à la faune sauvage, qui s'expose principalement par seconde intention, et au chien qui s'expose le plus souvent accidentellement en consommant des appâts mal rangés.[-]
Les rodenticides anticoagulants sont des agents essentiels pour lutter contre les rongeurs nuisibles. Mais ils menacent la santé des espèces animales sauvages et domestiques non ciblées. L'exposition asymptomatique des animaux domestiques est peu documentée par rapport à celle de la faune sauvage. Une étude est réalisée en 2019 pour l'évaluer chez des chiens dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Pour lui faire suite, notre étude se penche sur ...

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Le cochon est un animal de compagnie depuis seulement quelques dizaines d'années. Son mode de vie ainsi que son comportement fouisseur l'exposent à une diversité de toxiques. Les publications scientifiques relatives à cet animal sont très peu nombreuses, particulièrement en toxicologie. Notre analyse de la banque de données du CAPAE - Ouest montre une diversité de toxiques incriminés. Les anti - vitaminiques K1 arrivent en première position. Viennent ensuite des plantes toxiques, des produits ménagers, d'entretien, des substances alimentaires et enfin des médicaments. Le cochon de compagnie est très sensible aux anti - vitaminiques K1, occasionnant un tableau clinique hémorragique. Les autres intoxications entraînent des symptômes majoritairement généraux et digestifs. Les signes peuvent être graves, notamment dans le cas des intoxications aux végétaux. La gestion de ces intoxications fait parfois intervenir un antidote. C'est le cas de la vitamine K1, administrée de la même façon que chez le chien, dans les cas d'intoxications aux rodenticides. Les autres intoxications sont souvent gérées par un traitement symptomatique, s'articulant autour de l'utilisation de pansements digestifs et de charbon actif. Le vétérinaire possède donc un rôle thérapeutique, dans la prise en charge en urgence des intoxications. Il possède aussi un rôle préventif, dans l'information des propriétaires quant à l'éventuelle toxicité d'éléments présents dans l'environnement de l'animal.[-]
Le cochon est un animal de compagnie depuis seulement quelques dizaines d'années. Son mode de vie ainsi que son comportement fouisseur l'exposent à une diversité de toxiques. Les publications scientifiques relatives à cet animal sont très peu nombreuses, particulièrement en toxicologie. Notre analyse de la banque de données du CAPAE - Ouest montre une diversité de toxiques incriminés. Les anti - vitaminiques K1 arrivent en première position. ...

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Dans cette étude rétrospective, nous avons consignés les signes cliniques présents chez les chats et les chiens ayant été intoxiqués avec une molécule rodenticide anticoagulante. Après une synthèse bibliographique sur les intoxications aux rodenticides anticoagulants et notamment les présentations cliniques, nous avons récoltés les cas de chiens et de chats admis au SIAMU pour une intoxication aux rodenticides anticoagulants entre 2010 et 2020. Nous avons ensuite analysé les données. Notre analyse permet de montrer les signes cliniques les plus fréquents lors de ce type d'intoxication. D'après nos résultats, les signes cliniques sont très variables et vont correspondre aux répercussions des différentes hémorragies. Les signes cliniques relevés chez la plupart des animaux sont, principalement, des signes non spécifiques. Cette étude nous a également permis de montrer qu'une anémie et une thrombopénie sont fréquemment présentes lors de ces intoxications. Enfin, cela nous a également permis de voir qu'il y a une baisse du nombre d'intoxications aux rodenticides anticoagulants au fil des années ce qui est à mettre en lien avec les différentes réglementations gouvernementales quant à l'utilisation de ces composés.[-]
Dans cette étude rétrospective, nous avons consignés les signes cliniques présents chez les chats et les chiens ayant été intoxiqués avec une molécule rodenticide anticoagulante. Après une synthèse bibliographique sur les intoxications aux rodenticides anticoagulants et notamment les présentations cliniques, nous avons récoltés les cas de chiens et de chats admis au SIAMU pour une intoxication aux rodenticides anticoagulants entre 2010 et 2020. ...

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Dans cette étude rétrospective nous avons recensé l'ensemble des lésions thoraciques radiographiques secondaires aux intoxications aux AVK chez les chiens et les chats. Après un rappel sur la classification et le mécanisme d'action des molécules anti-vitamine K auxquelles peuvent s'intoxiquer les animaux domestiques, une étude clinique de ses intoxications et une synthèse bibliographique des études déjà disponibles sur ces lésions thoraciques à la radiographie secondaires aux intoxications aux AVK nous avons recueilli l'ensemble de ces lésions chez 44 chiens et chats admis au SIAMU entre 2004 et 2020. D'après nos résultats, ces lésions sont les opacifications mixtes alvéolaires, péri-bronchique et/ou interstitielles, l'épanchement pleural, l'épanchement médiastinal et le collapsus pulmonaire chez le chien et le chat auxquelles s'ajoutent l'épanchement péricardique et la diminution du diamètre trachéal chez le chien uniquement. Toutes ces lésions s'améliorent voire se résolvent dans les jours suivants la mise en place du traitement. Une étude prospective sur un nombre de cas plus important, la réalisation systématique d'une radiographie thoracique et un suivi prolongé permettrait d'obtenir la prévalence de ces lésions, d'en découvrir éventuellement encore certaines, notamment chez le chat, et d'établir plus précisément leur évolution.[-]
Dans cette étude rétrospective nous avons recensé l'ensemble des lésions thoraciques radiographiques secondaires aux intoxications aux AVK chez les chiens et les chats. Après un rappel sur la classification et le mécanisme d'action des molécules anti-vitamine K auxquelles peuvent s'intoxiquer les animaux domestiques, une étude clinique de ses intoxications et une synthèse bibliographique des études déjà disponibles sur ces lésions thoraciques à ...

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A l'heure actuelle, la lutte contre les rongeurs passe majoritairement par l'utilisation de raticides anticoagulants. Ils sont divisés en deux classes : les premières et les secondes générations. Les molécules de seconde génération ont été mises sur le marché suite à l'apparition de résistances des rongeurs aux raticides mais elles présentent une toxicité forte pour les espèces non-cibles. La toxicité des secondes générations est grande et pose un réel problème. Le diagnostic de ces intoxications est parfois difficile. La réalisation d'un temps de Quick permet d'orienter nos hypothèses mais le diagnostic de certitude passe par le dosage de l'anticoagulant dans le plasma ou dans le foie. Le traitement antidotique repose sur l'administration de vitamine K pendant plusieurs semaines suivant la molécule incriminée, ces données n'ont pas été validées par des études. Nous avons mené une étude multicentrique sur 21 chiens pour lesquels un vétérinaire a suspecté une intoxication aux anticoagulants, 14 chiens s'avéraient réellement intoxiqués. Les secondes générations sont les raticides majoritairement impliqués dans notre étude. Nous avons montré que les fèces constituent la matrice la plus appropriée pour réaliser une analyse toxicologique et limite le risque de faux négatif, qui est fortement présent avec le plasma. De plus, le dosage des facteurs de coagulation met en évidence une diminution rapide de la concentration en facteurs VII et X lors d'intoxication. Enfin, l'étude des diastéréoisomères montre une élimination plus rapide de la forme trans du difénacoum chez le chien[-]
A l'heure actuelle, la lutte contre les rongeurs passe majoritairement par l'utilisation de raticides anticoagulants. Ils sont divisés en deux classes : les premières et les secondes générations. Les molécules de seconde génération ont été mises sur le marché suite à l'apparition de résistances des rongeurs aux raticides mais elles présentent une toxicité forte pour les espèces non-cibles. La toxicité des secondes générations est grande et pose ...

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