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Documents Lagréou, Céline 1 résultats

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Pourtant bien connue en médecine humaine, l'automédication de nos animaux domestiques est très peu décrite. Cette enquête concerne l'espèce domestique féline, Felis silvestris catus. Elle a montré que près d'un propriétaire de chat sur deux a déjà soigné son animal sans consulter un vétérinaire. Un questionnaire a alors été établi, afin de mieux comprendre cette pratique. Celle-ci est souvent réalisée lors de l'apparition de symptômes jugés bénins. Les cliniques vétérinaires et les pharmacies se partagent alors la délivrance des médicaments administrés dans ce contexte d'automédication. Effectivement, cette étude a mis en exergue le rôle important des pharmacien.ne.s ; mais aussi de la volonté croissante des propriétaires de chats d'utiliser les médecines non allopathique telles que la phytothérapie et l'homéopathie. Ainsi, les vétérinaires doivent se placer en tant qu'acteur primordial de la santé animale, notamment grâce à l'élargissement de leur panel de thérapies employés et de leur accessibilité (télémédecine, assurance santé), tout en améliorant leurs relations de confiance avec les pharmacies et les propriétaires d'animaux.[-]
Pourtant bien connue en médecine humaine, l'automédication de nos animaux domestiques est très peu décrite. Cette enquête concerne l'espèce domestique féline, Felis silvestris catus. Elle a montré que près d'un propriétaire de chat sur deux a déjà soigné son animal sans consulter un vétérinaire. Un questionnaire a alors été établi, afin de mieux comprendre cette pratique. Celle-ci est souvent réalisée lors de l'apparition de symptômes jugés ...

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