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Les coronavirus constituent une grande famille de virus qui peuvent infecter l'Homme et l'animal. Ils sont connus et étudiés depuis longtemps en médecine vétérinaire et sont très répandus dans la faune sauvage, notamment chez les chauves-souris. Depuis ces dernières décennies, on assiste à l'émergence d'épidémies potentiellement mortelles chez l'Homme, comme l'épidémie de Covid-19 qui s'est propagée au monde entier. Dans ce contexte, les recherches sur ces virus se sont fortement accélérées. L'objectif de notre travail bibliographique est de comparer l'ensemble des lésions causées par les coronavirus chez les animaux domestiques et chez l'Homme. De grandes lignes se dégagent concernant les tissus infectés : ces virus provoquent essentiellement une atteinte respiratoire, digestive et neurologique, et nous constatons des similitudes d'un point de vue lésionnel. / /[-]
Les coronavirus constituent une grande famille de virus qui peuvent infecter l'Homme et l'animal. Ils sont connus et étudiés depuis longtemps en médecine vétérinaire et sont très répandus dans la faune sauvage, notamment chez les chauves-souris. Depuis ces dernières décennies, on assiste à l'émergence d'épidémies potentiellement mortelles chez l'Homme, comme l'épidémie de Covid-19 qui s'est propagée au monde entier. Dans ce contexte, les ...

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La présence de fortes densités de population humaine en France, les changements de pratiques d'élevage comme le développement de l'élevage en plein air, et l'augmentation des populations d'ongulés sauvages participent à l'augmentation des risques de transmission de maladies entre les ongulés sauvages, les humains (i.e. zoonose) et le bétail. Cette thèse présente les enjeux sanitaires, liés aux ongulés sauvages, identifiés en France : la contamination des humains par la manipulation et la consommation de gibier, la transmission de pathogènes entre les ongulés sauvages et les animaux domestiques, le rôle épidémiologique des ongulés au sein des systèmes multi-hôtes, le risque d'émergence de nouvelles maladies dans les populations d'ongulés sauvages françaises et enfin l'impact démographique d'agents pathogènes dans les populations sauvages. Les impacts économiques et de santé animale et humaine justifient la surveillance sanitaire des ongulés sauvages pour la prévention de la transmission de maladies vers les espèces domestiques et vers les humains, et pour la préservation des populations sauvages.[-]
La présence de fortes densités de population humaine en France, les changements de pratiques d'élevage comme le développement de l'élevage en plein air, et l'augmentation des populations d'ongulés sauvages participent à l'augmentation des risques de transmission de maladies entre les ongulés sauvages, les humains (i.e. zoonose) et le bétail. Cette thèse présente les enjeux sanitaires, liés aux ongulés sauvages, identifiés en France : la ...

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L'antibioprophylaxie en chirurgie de stérilisation de convenance est une pratique répandue, utilisée afin de prévenir le développement d'infections de site opératoire, mais n'est actuellement plus systématiquement recommandée dans ce type de chirurgie, désignées comme « propres » et associées à un faible degré de contamination selon la classification d'Altemeier. L'étude rétrospective présentée dans cette thèse porte sur 2391 cas de stérilisations de convenance de chiens, chiennes et chattes réalisées entre 2016 et 2020 au Chuvac de VetAgro Sup. Les déroulés opératoires, les pratiques pharmacologiques et chirurgicales, ont été mis en perspective à l'aide d'Analyses des Correspondances Multiples, pour ensuite étudier leur impact sur les taux de complications générales et d'infections de site opératoire. Dans cette étude, il ressort une stabilité des taux de complications postopératoires et d'infections de site opératoire autour de 3,1 % et <1 % respectivement, malgré la modification de différentes pratiques, notamment antibiotiques, analgésiques, de technique de suture cutanée et de type de pansement employées. La présence de léchage de la plaie semblait, quant à elle, liée à l'identification de complications inflammatoires ou infectieuses de site opératoire. Ce travail s'intègre dans la continuité des initiatives de l'Organisation Mondiale de la Santé et autres organismes scientifiques de santé visant à limiter le phénomène d'antibiorésistance dans la perspective du « One Health », et souligne de façon convaincante l'intérêt de ne plus employer systématiquement l'antibioprophylaxie dans le cadre des chirurgies de stérilisation de convenance des animaux de compagnie.[-]
L'antibioprophylaxie en chirurgie de stérilisation de convenance est une pratique répandue, utilisée afin de prévenir le développement d'infections de site opératoire, mais n'est actuellement plus systématiquement recommandée dans ce type de chirurgie, désignées comme « propres » et associées à un faible degré de contamination selon la classification d'Altemeier. L'étude rétrospective présentée dans cette thèse porte sur 2391 cas de sté...

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Dans le cadre du concept « One Health », l'usage raisonné des antibiotiques est plus que jamais au cœur des préoccupations en santé publique, du fait du développement croissant d'antibiorésistances. Cela a motivé la mise en place de réseaux de surveillance et de nombreux plans de lutte dans le monde. L'usage d'antibiotiques en prévention est notamment l'une de leurs cibles. Or, en médecine vétérinaire, l'antibioprophylaxie est encore souvent utilisée, et particulièrement lors des chirurgies de convenance des animaux de compagnie. Ces stérilisations sont des chirurgies courantes intervenant sur des animaux en bonne santé. Le risque de développement d'infection de site opératoire est ainsi limité à la suite de ces interventions dites propres. Les recommandations actuelles spécifient que l'antibioprophylaxie est alors inutile dans la grande majorité des cas. L'enquête dont nous présentons les résultats en deuxième partie de cette thèse, a permis de recueillir les réponses et opinions de 727 praticiens français. Elle nous a permis de confirmer qu'une grande proportion de vétérinaires ont encore recours aux antibiotiques, en antibioprophylaxie mais aussi en antibiocouverture, avec seuls 23,5 % de praticiens n'en effectuant jamais. L'étude a révélé plusieurs associations avec cet usage, dont l'habitude, le manque de preuves scientifiques et de mauvaises mesures d'asepsie. Un changement des pratiques nécessite donc une meilleure communication autour du sujet. Ce travail est une première approche visant à diminuer les réticences à la modification des pratiques en apportant une synthèse actualisée des recommandations sur le sujet et un retour d'expérience de certains vétérinaires.[-]
Dans le cadre du concept « One Health », l'usage raisonné des antibiotiques est plus que jamais au cœur des préoccupations en santé publique, du fait du développement croissant d'antibiorésistances. Cela a motivé la mise en place de réseaux de surveillance et de nombreux plans de lutte dans le monde. L'usage d'antibiotiques en prévention est notamment l'une de leurs cibles. Or, en médecine vétérinaire, l'antibioprophylaxie est encore souvent ...

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La dermatomyosite est une maladie à médiation immune, rare, affectant la peau et les muscles. Elle a pour particularité d'être commune à l'Homme et au chien, qui est le seul animal la développant naturellement. Chez le chien, la dermatomyosite est, principalement, connue sous sa forme héréditaire, chez les races Colley et Berger des Shetland. Ce travail s'applique, dans une première partie, à présenter les données scientifiques actuelles concernant l'épidémiologie, la pathogénie, la présentation clinique, le diagnostic, le traitement et le suivi de cette maladie chez l'Homme et chez le chien. Cette partie aboutit à une synthèse présentant les principales similitudes et différences de la dermatomyosite entre les deux espèces et montrant l'importance de la médecine comparée. Une deuxième partie est consacrée à une étude rétrospective de 21 chiens atteints de dermatomyosite ayant été présentés au centre hospitalier universitaire de VetAgro Sup. Elle permet d'illustrer, par des cas cliniques, les caractéristiques de la maladie et de sa prise en charge diagnostique et thérapeutique. Cette étude a permis de souligner que de nombreuses races peuvent être atteintes par la dermatomyosite, que la présentation clinique est variée, que la prise en charge thérapeutique est parfois complexe et que l'évolution des cas est très hétérogène, allant de la rémission spontanée au décès de l'animal.[-]
La dermatomyosite est une maladie à médiation immune, rare, affectant la peau et les muscles. Elle a pour particularité d'être commune à l'Homme et au chien, qui est le seul animal la développant naturellement. Chez le chien, la dermatomyosite est, principalement, connue sous sa forme héréditaire, chez les races Colley et Berger des Shetland. Ce travail s'applique, dans une première partie, à présenter les données scientifiques actuelles ...

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Les représentants du règne animal sont capables d'exploiter de nombreuses niches écologiques ainsi que de nombreuses sources de matière organique. L'hématophagie, soit l'ingestion du sang d'animaux vertébrés, est apparue à de multiples reprises au cours de l'histoire évolutive des métazoaires. D'autres espèces, plus rares, exploitent le tissu sanguin pour l'acquisition de nutriments sans processus d'ingestion à proprement parler. Dans ce travail, nous avons d'abord recensé un ensemble d'espèces ou groupes d'espèces qui obtiennent des nutriments provenant du sang de vertébrés. Le nombre précis d'espèces répondant à ce critère est difficile à évaluer, mais celles-ci existent dans de nombreux taxons : Arhtropoda, Nematoda, Plathelminthes, Annelida, Mollusca, Cnidaria et Chordata. La diversité spectaculaire des espèces qu'il est possible de qualifier d'hématophages se traduit par une diversité d'adaptations morphologiques, écologiques et biologiques permettant l'accès au sang, son ingestion et sa digestion. L'hématophagie implique également des adaptations permettant de palier les déséquilibres nutritionnels du sang et en particulier sa carence en certaines vitamines. Elle nécessite également des adaptations permettant de contourner certains mécanismes physiologiques des vertébrés comme la coagulation et l'inflammation, qui se mettent en place lors du repas sanguin. Nous discutons également dans cette thèse de l'impact de l'hématophagie sur la santé humaine et animale, en particulier du fait de la capacité de nombreuses espèces sanguinivores à transmettre des agents pathogènes responsables de maladies graves ou dont les conséquences économiques sont majeures.[-]
Les représentants du règne animal sont capables d'exploiter de nombreuses niches écologiques ainsi que de nombreuses sources de matière organique. L'hématophagie, soit l'ingestion du sang d'animaux vertébrés, est apparue à de multiples reprises au cours de l'histoire évolutive des métazoaires. D'autres espèces, plus rares, exploitent le tissu sanguin pour l'acquisition de nutriments sans processus d'ingestion à proprement parler. Dans ce ...

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La pandémie de COVID-19 est à l'origine d'une crise sanitaire mondiale aux conséquences majeures. En France, elle a imposé entre autres mesures des confinements nationaux. Contrairement aux suivants, le premier a suspendu le libre accès aux établissements de soins vétérinaires du 17 mars au 5 mai 2020 : seules les activités de soins indispensables et urgentes sont permises. Nous avons alors mené une enquête descriptive transversale dans le but d'étudier l'impact des deux premiers confinements sur l'accès aux soins des animaux de compagnie français. Cette étude observationnelle, basée sur un questionnaire auto-administré en ligne à destination des propriétaires, a montré des difficultés d'accès aux soins lors des deux premiers confinements, surtout lors du premier, avec des reports de consultations et des difficultés à prendre rendez-vous. Toutefois, le nombre de consultations réalisées n'est significativement pas différent au cours des deux confinements, pouvant traduire des barrières imposées par les propriétaires eux-mêmes en lien avec le contexte sanitaire lors du premier. La télémédecine vétérinaire n'apparaît pas comme une alternative aux consultations habituelles, fait possiblement dû à une méconnaissance des conditions d'application dans le cadre de son expérimentation. Néanmoins, un biais majeur d'échantillonnage empêche l'extrapolation des résultats à l'ensemble des propriétaires de chiens et chats en France métropolitaine. Ce travail s'inscrit dans le concept One Health. La pandémie de COVID-19 illustre ses limites en confrontant les mesures prises pour préserver la santé humaine et les conséquences négatives sur la santé de nos animaux de compagnie et leur santé.[-]
La pandémie de COVID-19 est à l'origine d'une crise sanitaire mondiale aux conséquences majeures. En France, elle a imposé entre autres mesures des confinements nationaux. Contrairement aux suivants, le premier a suspendu le libre accès aux établissements de soins vétérinaires du 17 mars au 5 mai 2020 : seules les activités de soins indispensables et urgentes sont permises. Nous avons alors mené une enquête descriptive transversale dans le but ...

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Dans l'espèce canine, les lipides plasmatiques les plus importants sont le cholestérol et les triglycérides. Ils sont transportés par des complexes macromoléculaires appelés lipoprotéines. Elles sont de 4 grands types : chylomicrons, VLDL, LDL et HDL. L'hyperlipidémie désigne un trouble du métabolisme des lipides définit par une augmentation des concentrations plasmatiques en triglycérides et/ou en cholestérol. Physiologique en période post-prandiale, elle devient pathologique lorsqu'elle persiste à jeun. Plus de 80% des cas d'hyperlipidémie sont secondaires à certaines affections comme le diabète sucré, l'hypothyroïdie, la maladie de Cushing etc. Les cas d'hyperlipidémie primaire, moins fréquents, concernent certaines races de chiens et certaines régions géographiques. Auparavant considérée comme une entité clinique mineure, on sait maintenant que l'hyperlipidémie peut se manifester par des signes cliniques graves et se compliquer d'affections de pronostic réservé comme la pancréatite, le mucocèle biliaire, les convulsions etc. Dans le cas d'une hyperlipidémie secondaire, la démarche diagnostique consiste à identifier le désordre primaire et sa prise en charge aboutit généralement à la normalisation des concentrations plasmatiques en lipides. Le diagnostic d'hyperlipidémie primaire se fait par exclusion ; la prise en charge initiale est diététique et peut dans certains cas être complétée par une prise en charge médicale. L'hyperlipidémie, l'obésité, le diabète sucré, l'hypertension sont autant de maladies souvent associées chez le chien que l'on retrouve dans le Syndrome Métabolique de l'homme, entité formée d'un ensemble de facteurs de risques métaboliques ayant une étiologie commune et prédisposant au diabète sucré de type 2 et aux maladies cardiovasculaires. Récemment, les critères du Syndrome Métabolique ont été adaptés pour définir chez le chien l'état de Dysfonctionnement Métabolique Lié à l'Obésité, qui peut aboutir à des désordres métaboliques sévères.[-]
Dans l'espèce canine, les lipides plasmatiques les plus importants sont le cholestérol et les triglycérides. Ils sont transportés par des complexes macromoléculaires appelés lipoprotéines. Elles sont de 4 grands types : chylomicrons, VLDL, LDL et HDL. L'hyperlipidémie désigne un trouble du métabolisme des lipides définit par une augmentation des concentrations plasmatiques en triglycérides et/ou en cholestérol. Physiologique en période ...

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