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La personne a des droits fondamentaux : les droits de vivre, de ne pas être maltraitée, à la liberté, en somme le droit au respect de sa dignité. La personne, bien qu'étant une entité individuelle, est enracinée socialement et son identification, en tant qu'être ayant une valeur morale particulière, n'est pas indépendante de la position des autres à son égard. La condition essentielle pour s'inscrire dans une relation sociale est d'être capable d'apprécier l'existence d'autrui, ce qui repose au minimum sur la conscience pré-réfléchie de cette existence. Les « substrats neurologiques », dont découle cette conscience, sont présents chez certains animaux. L'être humain et la personne ne sont pas des concepts équivalents, il existe donc des personnes non humaines. Dans la relation de soin, le respect de la personne malade, humaine ou non humaine, se manifeste par l'engagement du soignant pour le meilleur intérêt du patient. Cet acte relève de la justification morale et consiste à prévenir, à guérir ou à soulager sa douleur, sa souffrance, son stress, à maintenir ou à améliorer sa qualité de vie, sa résilience. Mais la personne malade existe dans un contexte de vie particulier. Le dilemme éthique de la relation de soin repose sur le fait qu'elle doit veiller à l'intérêt du patient tout en tenant compte de son contexte de vie, sans que cette prise en compte prédomine sur cet intérêt. Le soin doit être justifié par des attentes réalistes concernant la santé et la qualité de vie du patient. Cette attente pose la question des limites - de la médecine, de la thérapeutique, du soin, de la vie et de la mort du patient - et entre autres du recours à l'euthanasie sur une personne.[-]
La personne a des droits fondamentaux : les droits de vivre, de ne pas être maltraitée, à la liberté, en somme le droit au respect de sa dignité. La personne, bien qu'étant une entité individuelle, est enracinée socialement et son identification, en tant qu'être ayant une valeur morale particulière, n'est pas indépendante de la position des autres à son égard. La condition essentielle pour s'inscrire dans une relation sociale est d'être capable ...

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La pandémie de COVID-19 est à l'origine d'une crise sanitaire mondiale aux conséquences majeures. En France, elle a imposé entre autres mesures des confinements nationaux. Contrairement aux suivants, le premier a suspendu le libre accès aux établissements de soins vétérinaires du 17 mars au 5 mai 2020 : seules les activités de soins indispensables et urgentes sont permises. Nous avons alors mené une enquête descriptive transversale dans le but d'étudier l'impact des deux premiers confinements sur l'accès aux soins des animaux de compagnie français. Cette étude observationnelle, basée sur un questionnaire auto-administré en ligne à destination des propriétaires, a montré des difficultés d'accès aux soins lors des deux premiers confinements, surtout lors du premier, avec des reports de consultations et des difficultés à prendre rendez-vous. Toutefois, le nombre de consultations réalisées n'est significativement pas différent au cours des deux confinements, pouvant traduire des barrières imposées par les propriétaires eux-mêmes en lien avec le contexte sanitaire lors du premier. La télémédecine vétérinaire n'apparaît pas comme une alternative aux consultations habituelles, fait possiblement dû à une méconnaissance des conditions d'application dans le cadre de son expérimentation. Néanmoins, un biais majeur d'échantillonnage empêche l'extrapolation des résultats à l'ensemble des propriétaires de chiens et chats en France métropolitaine. Ce travail s'inscrit dans le concept One Health. La pandémie de COVID-19 illustre ses limites en confrontant les mesures prises pour préserver la santé humaine et les conséquences négatives sur la santé de nos animaux de compagnie et leur santé.[-]
La pandémie de COVID-19 est à l'origine d'une crise sanitaire mondiale aux conséquences majeures. En France, elle a imposé entre autres mesures des confinements nationaux. Contrairement aux suivants, le premier a suspendu le libre accès aux établissements de soins vétérinaires du 17 mars au 5 mai 2020 : seules les activités de soins indispensables et urgentes sont permises. Nous avons alors mené une enquête descriptive transversale dans le but ...

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Hospitaliser les veaux, c'est développer un nouveau service au sein du cabinet vétérinaire. Pour être optimisé, le projet doit être élaboré en fonction des attentes des praticiens et de leurs motivations. Les auteurs expliquent ici de manière très concrète, en se fondant sur les témoignages et l'expérience de confrères, les points essentiels pour mener à bien un tel projet, étape par étape : décision, estimation du coût, réglementation, responsabilité vétérinaire, conception du projet, choix des matériaux, aménagement des locaux, rentabilisation, valorisation et amélioration du service, sans oublier la communication auprès des éleveurs. Sur le terrain, le retour d'expérience en clinique montre que l'hospitalisation des veaux, lorsqu'elle est réfléchie et organisée, offre des avantages pour les animaux, en optimisant leur chance de guérison, pour les éleveurs, dégagés de la surveillance d'un animal malade sans facturation de frais de déplacements, et pour les praticiens, en valorisant leur image, en optimisant leur temps de travail et en leur permettant, le cas échéant, de proposer des interventions chirurgicales en clinique. En outre, ce service permet de développer une consultation des veaux et petits ruminants en clinique, qui incite l'éleveur à agir en début de signes cliniques, optimisant ainsi les résultats thérapeutiques et favorisant le dialogue. Le propos est ponctué de plus de 150 photos et de témoignages de praticiens. Un ouvrage indispensable pour se lancer dans un projet motivant et s'adapter à un élevage en mutation.[-]
Hospitaliser les veaux, c'est développer un nouveau service au sein du cabinet vétérinaire. Pour être optimisé, le projet doit être élaboré en fonction des attentes des praticiens et de leurs motivations. Les auteurs expliquent ici de manière très concrète, en se fondant sur les témoignages et l'expérience de confrères, les points essentiels pour mener à bien un tel projet, étape par étape : décision, estimation du coût, réglementation, ...

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