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Le coup de chaleur est une affection fréquente chez le chien. Il se définit cliniquement comme une hyperthermie associée à une altération de l'état mental de l'animal. Lorsque l'animal ne parvient plus à réguler sa température, la toxicité de la chaleur et la redistribution sanguine sont à l'origine d'un syndrome inflammatoire, d'une défaillance multi organique voire de la mort de celui-ci. La démarche diagnostique du coup de chaleur est simple et consensuelle. Malgré une prise en charge thérapeutique en centre de soins intensifs, le pronostic reste réservé. Nous avons réalisé une synthèse bibliographique des connaissances actuelles concernant l'épidémiologie, la physiopathologie et la prise en charge du coup de chaleur. Nous avons par la suite mené une étude rétrospective sur 50 cas de coup de chaleur soignés au Service des Urgences et des Soins Intensifs (SIAMU) de VetAgro-Sup (69) entre janvier 2010 et décembre 2020. Notre étude s'est fondée sur le calcul de risques relatifs se basant sur des paramètres de l'examen clinique d'admission ou de résultats des examens complémentaires. L'objectif était de mettre en évidence des critères péjoratifs de survie au coup de chaleur malgré une prise en charge optimale. Nous avons remarqué la sur représentation d'animaux apparentés ou de race brachycéphales au sein de la population étudiée. La présence à l'admission de muqueuses pâles, d'un état comateux, de pétéchies ou d'hémorragies ont été des paramètres défavorables à la survie de l'animal au sein de notre étude. Concernant la réalisation d'examens complémentaires, une acidémie, une hypernatrémie, une insuffisance rénale aigue ou un nombre d'hématie supérieur aux valeurs usuelles présentent un risque relatif de mort important.[-]
Le coup de chaleur est une affection fréquente chez le chien. Il se définit cliniquement comme une hyperthermie associée à une altération de l'état mental de l'animal. Lorsque l'animal ne parvient plus à réguler sa température, la toxicité de la chaleur et la redistribution sanguine sont à l'origine d'un syndrome inflammatoire, d'une défaillance multi organique voire de la mort de celui-ci. La démarche diagnostique du coup de chaleur est simple ...

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Notre travail découle de l'observation selon laquelle la prise en charge des pneumothorax traumatiques, d'après les consensus actuels, est conservative et non chirurgicale, comme elle l'est pour les pneumothorax spontanés. Nous avons réalisé une synthèse bibliographique dans le but d'expliquer les bases physiologiques de la respiration afin de montrer l'importance du pneumothorax, d'en présenter sa pathogénie, ainsi que ses différentes prises en charge.
Nous avons par la suite réalisé une étude rétrospective sur 97 animaux pris en charge par le centre d'urgence (SIAMU) de l'hôpital universitaire vétérinaire Vetagro-sup, situé dans la banlieue ouest de Lyon, ayant pour objectif d'identifier les cas pris en charge chirurgicalement, et d'en tirer d'éventuels preuve d'avantages par rapport à une prise en charge classique, de même que de potentiels éléments pouvant amener à privilégier d'emblée cette option thérapeutique.
La population laissait apparaitre une légère majorité de mâles, sans grosses dominance comme s'accorde à le dire la littérature. Les adultes étaient majoritaires. Nous avons montré que, parmi les différents paramètres décrivant l'animal à l'admission, c'est le volume ponctionné lors de la thoracocentèse qu'était le plus lié à la pose d'un drain thoracique. De plus, ce sont les traumas de morsures que sont très majoritairement traités pas chirurgie, contrairement aux accidents de la voie publique qui ne l'ont jamais été dans notre étude. D'autre part, nous avons montré qu'un faible poids était lié à une plus faible incidence de la chirurgie. Même si nous avons montré que l'augmentation du poids de l'animal réduisait le risque d'accident de morsure, nous été en mesure de mettre évidence qu'un faible poids était tout de même significativement lié à une prise en charge chirurgicale plus fréquente. Finalement, ni le taux de mortalité ni le temps d'hospitalisation ne laissaient penser qu'une différence d'efficacité entre la prise en charge classique ou la prise en charge chirurgicale du pneumothorax traumatique existe.[-]
Notre travail découle de l'observation selon laquelle la prise en charge des pneumothorax traumatiques, d'après les consensus actuels, est conservative et non chirurgicale, comme elle l'est pour les pneumothorax spontanés. Nous avons réalisé une synthèse bibliographique dans le but d'expliquer les bases physiologiques de la respiration afin de montrer l'importance du pneumothorax, d'en présenter sa pathogénie, ainsi que ses différentes prises en ...

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La prolifération de chats errants domestiques est une problématique scientifique, écologique et sociologique. Leur forte aptitude d'adaptation leur a permis de coloniser tout type de milieu. L'omniprésence de ces félins sur les territoires a pourtant des conséquences : nuisances urbaines, prédation de la faune sauvage, ou encore effet réservoir de maladies infectieuses et parasitaires. De nombreuses études se sont penchées sur l'impact des chats errants sur le milieu qu'ils occupent, nourrissant un débat sans fin au sujet des actions à mener tantôt pour protéger ses animaux et leur bien-être, tantôt pour protéger la biodiversité, les paysages et la santé. La question de la gestion des chats errants soulève de nombreuses questions éthiques. Un plan de gestion idéal serait de contrôler leurs effectifs, de réduire leurs impacts jugés néfastes sur leur milieu de vie tout en respectant leur bien-être. Plusieurs méthodes sont utilisées sur le terrain ou à l'étude : les méthodes létales, les méthodes de capture et relocalisation et les méthodes de maîtrise de la reproduction. Ces dernières se divisent en deux catégories : une maîtrise médicale, et une chirurgicale. C'est une méthode de cette dernière catégorie qui a été choisie pour être mise à l'essai par la Ville de Lyon, en partenariat avec la SPA, l'association les Chats de Loyasse et VetAgro Sup : un plan de stérilisation à l'échelle de l'agglomération. Les trois parties de cet accord inédit se sont entendues pour mettre en œuvre un programme de capture, stérilisation et relâche. Cette étude porte sur la genèse et le déroulement des premières opérations, ainsi que sur les premiers résultats obtenus entre 2019 et 2020.[-]
La prolifération de chats errants domestiques est une problématique scientifique, écologique et sociologique. Leur forte aptitude d'adaptation leur a permis de coloniser tout type de milieu. L'omniprésence de ces félins sur les territoires a pourtant des conséquences : nuisances urbaines, prédation de la faune sauvage, ou encore effet réservoir de maladies infectieuses et parasitaires. De nombreuses études se sont penchées sur l'impact des chats ...

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