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Documents Stubert, Fiona 1 résultats

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L'étude est basée sur l'examen des données issues des analyses mycologiques réalisées au sein du laboratoire DPM de l'ENVN entre août 2017 et décembre 2017. Elle compare les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des dermatophytoses canines aux félines. Il en résulte que les chats sont plus souvent infectés que les chiens, avec une prédominance marquée pour M. canis. Chez le chien, la fréquence moindre de M. canis par rapport au chat est compensée par celles plus élevées de T. mentagrophytes, M. gyspeum et M. persicolor. Dans les deux espèces, les jeunes de moins de six mois sont les plus atteints. D'autres facteurs tels que le sexe de l'animal, son pelage ou encore sa localisation géographique jouent aussi un rôle important dans l'infection par les dermatophytes cependant les résultats diffèrent selon l'espèce étudiée. Les animaux infectés présentent plus souvent des lésions focales et, peu inflammatoires chez le chat et inflammatoires chez le chien. De manière générale, les chats se révèlent être à l'origine des contaminations animales et humaines.[-]
L'étude est basée sur l'examen des données issues des analyses mycologiques réalisées au sein du laboratoire DPM de l'ENVN entre août 2017 et décembre 2017. Elle compare les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des dermatophytoses canines aux félines. Il en résulte que les chats sont plus souvent infectés que les chiens, avec une prédominance marquée pour M. canis. Chez le chien, la fréquence moindre de M. canis par rapport au chat est ...

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