Ce travail a pour objet de définir la notion d'estime de soi et d'apprécier la place de l'estime de soi chez les étudiants vétérinaires. L'estime de soi correspond à l'estimation de sa propre valeur. Plus l'être perçu est proche de l'être souhaité, plus un individu aura une haute estime de lui-même. L'estime de soi se repose sur plusieurs piliers : la confiance en soi, l'amour de soi et la vision de soi. Elle dépend de facteurs internes et externes. Une estime de soi basse entraîne des conséquences sur la santé mentale d'un étudiant vétérinaire, notamment en ce qui concerne l'ennui, la frustration, la tristesse, l'anxiété et son bien-être. Le manque d'estime de soi présente des impacts concrets sur un individu et peut s'avérer être un cercle vicieux, d'où la nécessité d'essayer de maintenir une bonne estime de soi. Le cadre professionnalisant apporte un bon nombre de solutions mais présente lui-aussi des limites. En effet, de nombreux moyens sont d'ores et déjà mis en place par l'administration de l'école, le corps enseignant, les étudiants et des associations. Il semblerait que la mise en place d'ateliers portant sur l'estime de soi puisse être un bon moyen de renforcer l'estime de soi des étudiants vétérinaires mais les études manquent de puissance statistique. Par conséquent, les propositions de mise en place d'ateliers sur l'estime de soi durant le cursus restent théoriques. Il existe différents types d'ateliers possibles : individuels ou en groupe, avec ou sans professionnel, facultatifs ou obligatoires. Chaque forme d'atelier présente des avantages et des inconvénients qu'il convient de prendre en compte pour une mise en place future.[-]

Mental Wellbeing and Positive Psychology for Veterinary Professionals: A Pre-emptive, Proactive and Solution-based Approach delivers a practical, hands-on guide to mental health and resilience for individual members of the veterinary professions and for those managing entire practices. Divided into 6 sections, the text offers valuable tools, including meditation, mindfulness, and positive psychology, to help readers grapple with the mental challenges presented by veterinary practice. The author has also included a series of case studies and anecdotes from her experience in counselling members of the professions, including a new-graduate vet, a specialist surgeon, and a head nurse, as they encounter issues like anxiety, compassion fatigue, fear of failure, imposter syndrome, and grief. By learning in advance about the common hurdles they will face during their careers, the reader will discover how to prepare for these in positive and proactive ways.
Readers will also find:
- A thorough introduction to effective strategies for dealing with the difficulties of the veterinary professions, including mindfulness, empathy, and emotional intelligence
- Comprehensive explorations of meditation, including body scan meditation, breath meditation, imagery, and mini-meditations
- Practical discussions of specific challenges faced by veterinary practitioners, including moral injury, client complaints, burnout, imposter syndrome, and a loss of confidence
- Fulsome case studies, including a veterinary nurse's journey to mental wellbeing
Dr. Laura Woodward is well positioned to write on the topic, as both a working veterinary surgeon and an accredited counsellor and has crafted a text that is perfect for veterinarians, veterinary nurses, and practice managers. Mental Wellbeing and Positive Psychology for Veterinary Professionals will also benefit veterinary students, student veterinary nurses, and teaching staff seeking a comprehensive resource for veterinary mental health.[Site de l'éditeur][-]

Trac, timidité, phobie sociale, obsession du rougissement : nos peurs des autres sont aujourd'hui plus fréquentes et plus douloureuses que jamais. Le télétravail et les rencontres virtuelles ont poussé les plus fragiles à privilégier les écrans et à réduire les échanges réels ; les réseaux sociaux ont facilité le harcèlement ; le culte de l'image de soi a renforcé les doutes et les complexes qui poussent à fuir les regards des autres. Vous trouverez dans cet ouvrage tout ce qu'il faut pour comprendre les mécanismes des peurs sociales, et surtout tous les moyens (travail sur soi, médicaments ou psychothérapies) pour réussir peu à peu à vous en libérer. Un livre majeur, écrit par trois experts reconnus, pour comprendre et surmonter toutes les peurs des autres. (4e de couverture)[-]

Face à un proche qui va mal, on aimerait pouvoir lui apporter de l'aide, mais on ne sait pas toujours comment s'y prendre. À quel moment en parler ? Quoi dire ? Vers qui orienter ? Ce livre vous donne les clés pour aider l'autre sans pour autant vous substituer à un thérapeute ou à un professionnel de santé.
Apprenez à parler de santé mentale autour de vous, à repérer les premiers signes de détresse psychologique, à écouter... À travers 67 idées essentielles, vous serez outillé pour accompagner votre entourage sur la voie du mieux-être et pour offrir votre soutien tout en prenant soin de vous.
Illustré de témoignages et unique en son genre, Aider est à consulter chaque fois que vous en aurez besoin. [4e de couverture][-]

La santé mentale, prochain défi sanitaire annoncé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'invite de plus en plus dans les médias, les réseaux sociaux, et les débats publics. Pourtant, elle reste mal connue du grand public. Tantôt, elle fait peur, suscitant de la méfiance ou de la fascination. Tantôt, elle n'est pas prise au sérieux. Prendre soin de sa santé mentale est un sujet souvent considéré comme secondaire. Quant aux troubles psychiques, ils restent tabous. Ce livre propose de sortir des clichés en déconstruisant 70 idées reçues concernant la banalisation des souffrances psychiques, les mythes autour des psychothérapies et des « psy » ; la peur du contrôle social…Écrit et dirigé par Astrid Chevance avec un collectif d'auteurs, chercheurs et/ou cliniciens, il constitue un outil précieux pour informer et sensibiliser, se défendre contre les préjugés et susciter des échanges.[-]

La profession vétérinaire présente une spécifié unique car elle est la seule profession à être impactée doublement par la fatigue émotionnelle. En effet, les intervenants au sein des structures vétérinaires sont avant tout des soignants gérant les pathologies lourdes, les fins de vie, les échecs thérapeutiques et même les euthanasies. Et en même temps, ils sont sous la pression non pas de patients mais de clients, avec un rapport direct à l'argent. Probablement des raisons fortes à des abandons de métier réguliers et nombreux, des burn out, voire des suicides. Ce constat est alarmant, notamment vis-à-vis des jeunes générations, particulièrement impactées par le manque de confiance en soi d'origine majoritairement générationnelle.
Ce livre permet de comprendre son origine, ses conséquences et propose surtout des pistes concrètes pour améliorer la confiance en soi. Et si traiter le mal-être vétérinaire passait avant tout par s'attaquer au problème de leur confiance en eux ? (4e de couv.)[-]

Around the world, governments are starting to directly measure the subjective wellbeing of their citizens and to use it for policy evaluation and appraisal. What would happen if a country were to move from using GDP to using subjective wellbeing as the primary metric for measuring economic and societal progress? Would policy priorities change? Would we continue to care about economic growth? What role would different government institutions play in such a scenario? And, most importantly, how could this be implemented in daily practice, for example in policy evaluations and appraisals of government analysts, or in political agenda-setting at the top level? This book provides answers to these questions from a conceptual to a technical level by showing how direct measures of subjective wellbeing can be used for policy evaluation and appraisal, either complementary in the short run or even entirely in the long run. It gives a brief history of the idea that governments should care about the happiness of their citizens, provides theories, makes suggestions for direct measurement, derives technical standards, shows how to conduct wellbeing cost-effectiveness and cost-benefit analyses, and gives examples of how real-world policy evaluations and appraisals would change if they were based on subjective wellbeing. In doing so, the book serves the growing interest of governments as well as non-governmental and international organizations in how to put subjective wellbeing metrics into policy practice.
This is an open access title. It is available to read and download as a free PDF version on the Oxford Academic platform. It is made available under a Creative Commons Attribution-Non Commercial-No Derivatives 4.0 International licence.[-]

Very often, we're uncertain about what we ought, morally, to do. We don't know how to weigh the interests of animals against humans, or how strong our duties are to improve the lives of distant strangers, or how to think about the ethics of bringing new people into existence. But we still need to act. So how should we make decisions in the face of such uncertainty? Though economists and philosophers have extensively studied the issue of decision-making in the face of uncertainty about matters of fact, the question of decision-making given fundamental moral uncertainty has been neglected. In this book, philosophers William MacAskill, Krister Bykvist and Toby Ord try to fill this gap. They argue that there are distinctive norms that govern how one ought to make decisions given moral uncertainty. They then defend an information-sensitive account of how to make such decisions according to which the correct way to act in the face of moral uncertainty depends on whether the moral theories in which one has credence are merely ordinal, cardinal, or both cardinal and intertheoretically comparable. They tackle the problem of how to make intertheoretic comparisons, discussing several novel potential solutions. Finally, they discuss implications of their view for metaethics and practical ethics, and show how their account can shed light on the value of moral enquiry.
This is an open access title available under the terms of a CC BY-NC-ND 4.0 International licence. It is free to read at Oxford Scholarship Online and offered as a free PDF download from OUP and selected open access locations.[-]

Après La douleur, quelle chose étrange et L'anxiété, quelle chose étrange, Steve Haines se penche sur le traumatisme psychique. A l'aide de nombreuses références de spécialistes du domaine et d'exemples concrets, il brosse un tableau synthétique de ce que l'on sait sur ce phénomène psychologique, et notamment sur sa manifestion la plus courante, la dissociation.Comme dans ses précédents ouvrages, Steve Haines propose également des pistes pour les personnes qui souffrent de trauma, à base de techniques simples qui peuvent permettre de diminuer l'intensité des troubles ressentis (4e de couverture)[-]

"Après La douleur, quelle chose étrange, Steve Haines nous livre un guide consacré à l'anxiété, une émotion fréquemment éprouvée et redoutée. En exposant ce qui relève de la biologie, de la psychologie et du vécu, en nous montrant surtout à quel point ces différents aspects sont étroitement liés, il nous permet de comprendre ce mécanisme de défense et d'en appréhender plus sereinement les symptômes. S'appuyant sur des références scientifiques comme sur des exemples simples et concrets, Steve Haines nous propose des pistes de réflexion autour de l'anxiété et des exercices pratiques pour mieux la maîtriser." (4e de couverture)[-]

La douleur, quelle chose étrange explore les mécanismes psychologiques et physiologiques en jeu dans le phénomène, à la fois familier et craint, de la douleur. Praticien adepte des médecines douces sans pour autant être un adversaire de la médication, Steve Haines aborde la question du regard que la société porte sur la douleur et examine de façon approfondie comment elle agit, en s'appuyant sur de nombreuses références et citations de spécialistes du domaine (4e de couverture)[-]