LORS DES CAMPAGNES D'ETE 95, 96 ET 97, A CROZET, 3 EXPERIMENTATIONS ONT ETE CONDUITES PAR LE C.E.P.E. DU C.N.R.S. DE STRASBOURG AFIN D'EVALUER L'IMPACT DES PRISES DE SANG ACCOMPAGNEES D'UNE CONTENTION COURTE, MOYENNE ET LONGUE SUR LES CONCENTRATIONS PLASMATIQUES D'UNE HORMONE ET DE 4 METABOLITES. AFIN DE SAVOIR SI LE STATUT PHYSIOLOGIQUE DES OISEAUX POUVAIT INFLUENCER CET IMPACT, DEUX GROUPES DE MANCHOTS DIFFERENTS ONT ETE SELECTIONNES LORS DE LA CONTENTION COURTE. CES EXPERIMENTATIONS REVELENT QUE LE STRESS DE CONTENTION A UNE INFLUENCE SIGNIFICATIVE SUR TOUS CES METABOLITES ET HORMONE. AINSI, LA CORTICOSTERONEMIE D'UN MANCHOT EVEILLE PARADANT VA, EN MOYENNE, PASSER EN 30 MINUTES DE 3 A 20 ng/ ML, MAIS ELLE N'ATTEINT UN PLATEAU QU'AU BOUT DE 45 MINUTES DE MANIPULATION. CES VARIATIONS DIFFERENT EN FONCTION DU STATUT PHYSIOLOGIQUE DES OISEAUX ET PRESENTENT UNE IMPORTANTE VARIABILITE INDIVIDUELLE. ENFIN, LES TRACES PLASMATIQUES DU STRESS DE CONTENTION PERSISTENT MEME APRES UNE HEURE DE REPOS. PAR CONSEQUENT, LES PRISES DE SANG EXPERIMENTALES DOIVENT ETRE LE PLUS STANDARDISEES POSSIBLE AFIN DE CORRIGER, VOIR D'ECARTER, L'IMPACT DU STRESS.