L'auteur rappelle dans un premier temps les caractéristiques de la physiologie sexuelle de la chatte et dresse ensuite la liste des principales molécules abortives utilisées. Une étude expérimentale comportant 43 avortements tardifs réalisés sur 21 chattes permet de conclure à une très bonne fficacité de l'alizine dans l'interruption tardive de la gestation. Les principales manifestations observées sont des pertes hémorragiques brunes qui précèdent et suivent l'avortement.