Les dermatites atopiques humaine et canine présentent de nombreuses similarités aussi bien cliniques qu'étiopathogéniques (déviation de la réponse immunitaire cellulaire en faveur de la réponse Th2, sensibilisation à un spectre similaire d'allergènes, intervention de staphylococcus sp et des levures lipophiles, terrain génétique prédisposant, etc...)