L’incidence des lymphomes malins non hodgkiniens n’a cessé d’augmenter ces dernières années chez l’homme et chez le chien. De nombreux facteurs semblent intervenir dans le développement de ces lymphomes : conditions de vie, désordres génétiques, polluants environnementaux, maladies sous-jacentes, agents infectieux (bactériens et viraux). L’étiologie virale des lymphomes malins non hodgkiniens est bien démontrée chez l’homme, en particulier pour le virus d’Epstein-Barr présentant une forte incidence dans la population humaine mondiale et intervenant dans différents maladies. Chez le chien, cette étiologie n’est qu’hypothèse malgré la présence de différentes particules virales, d’anticorps anti-viraux ou d’activité reverse transcriptase chez des chiens atteints de lymphomes. Le chien pouvant jouer le rôle de sentinelle pour l’homme dans la surveillance des lymphomes, la recherche de ce virus dans la population canine générale et malade constitue une perspective d’avenir intéressante.
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