L'enquête présente, effectuée auprès des propriétaires de chiens dans plusieurs cliniques vétérinaires, a pour objectif de recueillir leur perception du concept de dominance et d'en comprendre les raisons. Les résultats montrent qu'une grande proportion de chiens bénéficie de privilèges de dominant et présente des signes de sociopathie (21%). L'étude des facteurs de risque de la dominance révèle que la pratique régulière d'une activité structurée avec le chien diminue le risque de sociopathie, alors que l'anthropomorphisme l'augmente. Interrogés sur quelques situations typiques de dominance, les propriétaires interprètent souvent mal (dans plus de 60% des cas) la signification des comportements hiérarchiques du chien. Les facteurs potentiels susceptibles d'influencer ces interprétations ont été recherchés (incompréhension des codes sociaux, anthropomorphisme, infantilisation).

Emprunt/Réservation

Y Réserver