Les envenimations vipérines sont, dans leur grande majorité, de faible gravité et n’entrainent pas de séquelles chez l’animal. Néanmoins, la présence d’un certain nombre de cas graves voire mortels, ainsi que la difficulté d’accès à la sérothérapie, seul recours réellement efficace dans ces circonstances, rendent la gestion des envenimations délicates en médecine vétérinaire. L’attitude recommandée face aux morsures vipérines consiste donc en une surveillance expectative de l’animal et une gestion symptomatique des signes cliniques et biologiques présentés.

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