Les primates non humains sont les hôtes d'une grande variété de parasites, pouvant avoir un effet délétère sur la santé des individus, comme sur la santé humaine. La prévalence, l'abondance et la diversité des parasites externes, gastro-intestinaux et sanguins, en fonction de facteurs environnementaux, physiologiques et sérologiques (statuts SIV et STLV) ont été étudiées au sein de deux colonies de mandrills (Mandrillus sphinx) au Gabon. Sur les 308 échantillons fécaux analysés, Balantidium coli (prévalence 47,3%), Oesophagostomum spp (83,4%), Ancylostoma spp (37,2%), Trichostrongylus spp (27,8%), Strongyloïdes spp (5,5%), Trichuris spp (4,4%), et Mammomonogamus spp (1 échantillon positif) ont été identifiés. Des poux piqueurs ont été trouvés sur 5 des 137 individus et 14% des animaux se sont révélés infectés par l'hémoparasite Hepatocystis spp. L'habitat, la saison, l'âge, le sexe, et les statuts en rétrovirus ont été retrouvés significativement corrélés avec les facteurs étudiés.
Exemplaires
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