Après avoir rappelé la physiologie sexuelle de la chienne, l'auteur décrit les mécanismes pathogéniques des métrites. Il montre ainsi que la pathologie résulte de phénomènes plurifactoriels (troubles endocriniens, hyperplasie glandulo-kystique, surinfections bactériennes, ...). Il fait alors un descriptif des traitements actuels et étudie la possibilité de traiter avec une molécule antiprogestative utilisée comme abortif : l'aglépristone.

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