L’élevage canin est un milieu à risque pour le parasitisme digestif qui est une dominante pathologique. Ce parasitisme a des conséquences sanitaires, économiques et sociales importantes. Le vétérinaire est un partenaire de choix dans sa maîtrise car il peut avec ses connaissances des parasites et des facteurs de risque présents en élevage permettre une surveillance de ces établissements et proposer des protocoles de lutte en association avec les éleveurs. La première partie de cette thèse présente une monographie des différents parasites digestifs (cestodes, nématodes et protozoaires) qui peuvent être observés chez le chien en France. Le plan de chaque monographie commence par la présentation du parasite avec sa biologie et son épidémiologie, puis les signes cliniques qu’ils peuvent provoquer ainsi que leur diagnostic et les méthodes de lutte sont présentés et pour finir, les conséquences en santé publique en termes de risque zoonotiques sont précisées. La deuxième partie traite d’abord de l’élevage canin et de ses caractéristiques règlementaires et épidémiologiques puis de l’identification et de la gestion des facteurs de risques présents. Les facteurs de risques décrits et analysés sont la conception des locaux, des logements et la maîtrise de l’ambiance, l’hygiène générale et sa mise en pratique, l’hygiène de vie avec l’alimentation et la lutte contre les nuisibles, le suivi des animaux avec l’étude des signes d’appel du parasitisme digestif, les examens complémentaires disponibles et la lutte médicamenteuse ainsi que le plan de prévention sanitaire. La troisième partie consiste en l’organisation pratique du volet parasitologie digestive d’une visite d’élevage canin.
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