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MISE EN EVIDENCE D'UNE BACTERIEMIE AU COURS DES SOINS BUCCO-DENTAIRES CHEZ LE CHIEN ET INTERET D'UNE ANTIBIOPROPHYLAXIE PAR VOIE GENERALE.

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Thèse
H

Barot, A.

2002

134

N-2002-161

Chien ; Maladie parodontale ; Dentisterie ; Amoxicilline ; Acide clavulanique ; Septicémie ; Flore microbienne ; Prophylaxie

Url / Doi : https://doc-veto.oniris-nantes.fr/GEIDEFile/na_02_161.pdf?Ar...

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 161

Bibliographie : 272

En ligne : Oui

Type de fond : Fonds contemporain

La cavité buccale abrite une flore complexe essentiellement constituée à l'état sain de bactéries aérobies à Gram positif. La maladie parodontale se caractérise par le passage à une flore majoritairement constituée de bactéries anaérobies à Gram négatif, incluant notamment le groupe des bactéroides et des genres apparentés, prevotella et porphyromonas, fusobacterium et les spirochètes. Les conséquences locales de cette affection sont une inflammation gingivale évoluant vers une destruction des tissus de soutien de la dent. Mais la maladie parodontale peut également avoir des conséquences systémiques car les bactéries de la cavité buccale peuvent gagner la circulation générale. Elle peut provoquer des lésions cardiovasculaires, respiratoires, neurologiques, rénales, hépatiques, oculaires, cutanées ou encore agir sur la maternité ou le diabète. Pour limiter ces risques, une bonne hygiène buccale est nécessaire. Une antibioprophylaxie paraît justifiée.

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