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SUIVI PARASITOLOGIQUE DU TROUPEAU DE BISONS D'EUROPE (BISON BONASUS) DE SAINTE EULALIE EN MARGERIDE (FRANCE)

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Thèse
H

Koessler, D.

École nationale vétérinaire d'Alfort

2002

85 P.

A-2002-012

Parasite ; Parasitose ; Parasitisme ; Bison ; Bison d'Europe ; Bison bonassus ; France

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=316

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 012

Bibliographie : 27

Titre anglais : PARASITE FOLLOW-UP IN A HERD OF EUROPEAN BISONS (BISON BONASUS) LOVONG IN SAINTE EULALIE (MARGERIDE, FRANCE)

Directeur de Thèse : Beugnet, Frédéric

Assesseur / Examinateur : Courreau, Jean-François

Type de fond : Fonds contemporain

L'élevage d'animaux sauvages pour la sauvegarde de l'espèce comprend plusieurs volets dont celui de la surveillance de l'état sanitaire du troupeau. Parmi les agents pathogènes pouvant avoir des conséquences sur la reproduction, l'état général, la survie puis la croissance des jeunes, les parasites sont les plus fréquemment mis en cause. Dans ce cadre, le but de notre étude était d'effectuer un suivi parasitologique d'un troupeau de bisons d'Europe (Bison bonasus) implanté en Margeride (France). Les 23 bisons, importés de Pologne en 1991 et 1992, avaient fait l'objet d'une première enquête parasitologique à leur arrivée. Le troupeau, composé de 35 animaux, a fait l'objet en 1998 d'analyses coproscopiques et de dépistages sérologiques concernant la fasciolose et l'hypodermose. La faune parasitaire s'est réduite : des nématodes sont retrouvés : strongles digestifs, trichures et Toxocara. La grande douve (Fasciola hepatica), très pathogène pour le bison d'Europe, n'a pas été mise en évidence ni par coproscopie ni par sérologie. Les autres trématodes rencontrés sont les paramphistomes. Six espèces de coccidies ont pu être identifiées et une sérologie hypodermose s'est révélée positive. Ces résultats indiquent que le niveau d'infestation du troupeau est faible, en accord avec leur mode d'élevage extensif et les traitements antiparasitaires reçus. Cependant, le contrôle de la présence d'hypodermes peut devenir un objectif majeur dans le cadre du programme national d'éradication de cette parasitose.

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