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Etude comparative des différentes techniques de diagnostic des métrites chroniques chez la vache

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Thèse
H

Deguillaume, Laure

École nationale vétérinaire d'Alfort

2007

108 p

A-2007-094

Utérus ; Involution utérine ; Palpation transrectale ; Échographie ; Cytologie ; Bovin ; Vache

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=1059

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 094

Bibliographie : 201

Titre anglais : Comparative study of different methods for the diagnosis of chronical metritis in cows

En ligne : Oui

Directeur de Thèse : Chastant, Sylvie

Assesseur / Examinateur : Boulouis, Henri-Jean

Type de fond : Fonds contemporain

Les infections utérines de la vache en post-partum affectent les performances de reproduction, mais les critères de diagnostic ne sont pas scientifiquement validés. De plus, l’identification récente chez la vache d’une nouvelle entité clinique, la métrite chronique subclinique, amène à reconsidérer les techniques utilisables pour le diagnostic des métrites bovines. L’objectif de notre étude est de comparer les différentes techniques de diagnostic des métrites chroniques. Pour cela, 104 vaches de race Prim’Holstein, issues de 3 élevages de la région parisienne, ont été recrutées entre 21 et 60 jours post-partum. Toutes les vaches ont subi les examens suivants : palpation transrectale, échographie, examen du contenu vaginal, cytologie endocervicale, cytologie utérine et examen bactériologique utérin. L’examen cytologique utérin (positif à plus de 5% de polynucléaires neutrophiles) a été défini comme technique de référence. Une analyse univariée a étudié l’association entre chaque signe clinique recueilli et un examen cytologique utérin positif. La prévalence des métrites chroniques (cliniques et subcliniques) dans notre échantillon était de 26%. Seuls deux signes cliniques se sont révélés significativement associés à la cytologie utérine : le diamètre du col de l’utérus (positif à partir de 5 cm) et la consistance des cornes. Mais les valeurs de sensibilité et de spécificité calculées ne nous permettent pas de conseiller l’emploi d’une de ces techniques individuellement. L’utilisation des signes issus de la palpation transrectale, de l’échographie de l’utérus ou de l’examen vaginal engendre un nombre considérable de faux positifs. Au vu des résultats, reste à définir quel critère ou association de critères est à utiliser pour un diagnostic exact de métrites chroniques.

Emprunt/Réservation

Y Réserver

Exemplaires

Nbre d'exemplaires : 1
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