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Principales urgences à domicile chez les petits mammifères de compagnie en région parisienne.

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Thèse

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=1655

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 099

Bibliographie : 41

Titre anglais : Main emergencies of small mammals in the area of Paris

En ligne : Oui

Directeur de Thèse : Mailhac, Jean-Marie

Assesseur / Examinateur : Arné, Pascal

Type de fond : Fonds contemporain

Les petits mammifères de compagnie sont de plus en plus rencontrés au cours de l’exercice de la médecine vétérinaire. Les praticiens sont donc amenés à gérer fréquemment leurs urgences, constatation à l’origine de ce travail qui comporte deux volets. Le premier correspond à une synthèse bibliographique des particularités anatomiques et physiologiques, des conditions d’élevage et d’entretien des principaux petits mammifères de compagnie que sont : le furet, le lapin, le chinchilla, le cobaye, l’octodon, le hamster, la gerbille, le rat et la souris ; ainsi que les principales urgences retrouvées chez ces derniers à travers la description des symptômes, de l’étiologie, des examens complémentaires à disposition et de la prise en charge. Le second volet est constitué par l’analyse des informations issues de la base de données de VETOADOM®, service permanent d’urgences vétérinaires à domicile. Cette étude a permis d’établir que les principaux petits mammifères de compagnie rencontrés en région parisienne dans les limites de la zone de chalandise de cette société ont été pour l’année 2011 : le lapin (51,4 %), le cobaye (20,1 %), le rat (10,7 %), le furet (8,7 %), le hamster (4,9 %), le chinchilla (2,2 %), la gerbille, l’octodon et la souris (moins de 1% chacun). De plus, elle a mis en évidence les motifs de consultation les plus fréquemment rencontrés : les troubles digestifs (26,6 %), puis les troubles cardio-respiratoires (16,1 %), les troubles neurologiques (15,6 %) et enfin les accidents domestiques (14,3 %). Enfin, concernant la mise en place d’une antibiothérapie, celle-ci est quasi-systématique et pas forcément adaptée, en particulier en ce qui concerne le choix de l’antibiotique. Mais la situation est amenée à évoluer grâce à la mise en place de formations et de conférences centrées sur les petits mammifères de compagnie.

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