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Varroa destructor (ANDERSON et TRUEMAN, 2000), un acarien ectoparasite de l'abeille domestique Apis mellifera Linnaeus, 1758. Revue bibliographique et contribution à l'étude de sa reproduction.

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Thèse
H

Wendling, Sébastien

École nationale vétérinaire d'Alfort

2012

187 p.

A-2012-028

Relation hôte-parasite ; Reproduction ; Ectoparasite ; Varroase ; Varroa destructor ; Insecte ; Abeille ; Abeille domestique ; Apis mellifera

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=1490

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 028

Bibliographie : 443

Titre anglais : Varroa destructor (ANDERSON AND TRUEMAN, 2000), AN ECTOPARASITIC MITE OF THE HONEYBEE Apis mellifera LINNAEUS, 1758.
A LITERATURE REVIEW AND A CONTRIBUTION TO THE STUDY OF ITS REPRODUCTION.

En ligne : Oui

Directeur de Thèse : Chermette, René

Assesseur / Examinateur : Perrot, Sébastien

Type de fond : Fonds contemporain

Varroa destructor (Anderson et Trueman, 2000) est un acarien ectoparasite habituel de l'abeille asiatique Apis cerana. Les particularités de sa morphologie, de sa biologie et de sa reproduction ont permis un passage à l'abeille domestique Apis mellifera Linnaeus, 1758, introduite en Extrême-Orient dans les années 1930. Suite à une dissémination quasi-mondiale du parasite, la varroose constitue aujourd'hui un des grands fléaux de l'apiculture. Après une revue actualisée des connaissances sur V. destructor et son rôle pathogène, ce travail présente les résultats d'une étude sur la reproduction du parasite effectuée à partir de dissections de spermathèques provenant de femelles adultes phorétiques et de femelles adultes prélevées à l'intérieur d'alvéoles de couvain de faux-bourdons operculé. Nous avons montré que malgré un stock initial de spermatozoïdes réduit (en moyenne de 44,3), leur utilisation était optimisée par le recrutement d'un seul spermatozoïde par oeuf fécondé. La charge spermathécale initiale n'est donc pas un facteur limitant la reproduction de ce parasite en conditions naturelles. En outre, nous constatons que les variations phénologiques et l'état physiologique de l'hôte n'influent pas sur le contenu spermathécal. Enfin, l'ensemble des cas d'infertilité observés ne semble pas expliqué par la seule présence de femelles non fécondées. Ces résultats constituent une base de travail pour de futures recherches sur la reproduction de V. destructor qui pourraient déboucher sur une nouvelle forme de gestion de la varroose.

Emprunt/Réservation

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