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Effet de la vaccination de l'ensemble du troupeau allaitant avec le Bovilis® BOVIGRIP, sur l'incidence des maladies respiratoires chez les veaux.

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Thèse

Url / Doi : https://doc-veto.oniris-nantes.fr/ListRecordVisio.htm?idlist...

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 051

Bibliographie : 141

Titre anglais : Vaccination effect of entire beef herd with Bovilis® BOVIGRIP on calf respiratory disease incidence

En ligne : Oui

Type de fond : Fonds contemporain

Une étude menée sur deux campagnes de vêlages (2010/2011 et 2011/2012) a permis d’évaluer l’effet de la vaccination des mères et des veaux avec le Bovilis® BOVIGRIP sur l’incidence des maladies respiratoires, chez le veau allaitant. La première année d’étude, dans la moitié des bâtiments, les mères, les veaux et les éventuels jeunes bovins ont été vaccinés tandis que dans l’autre moitié des bâtiments, seuls les veaux et jeunes bovins ont été vaccinés. La seconde année, le protocole était inversé. Dans l’échantillon d’étude, 6875 veaux répartis dans 77 bâtiments ont été finalement inclus. Le taux d’incidence globale des maladies respiratoires était faible, respectivement 0,66 et 0,62 1ers cas de maladies respiratoires pour 1000 veaux-jours exposés en année 1 puis, année 2. Sur les deux années, la vaccination des mères a montré une tendance à la réduction de l’incidence des maladies respiratoires ainsi que la survenue de rechutes. En première année d’étude, la réduction d’incidence dans les bâtiments dans lesquels les mères ont été vaccinées était significative (P=0,04) par rapport aux bâtiments dans lesquels les mères n’ont pas été vaccinées. En seconde année d’étude, une tendance inverse a été observée. Cependant, le taux d’incidence dans les bâtiments dans lesquels les mères n’ont pas été vaccinées en année 2 tendait à être réduit par rapport aux bâtiments dans lesquels les mères n’ont pas été vaccinées en année 1 (P=0,08). Ce résultat suggère l’hypothèse d’un effet protecteur prolongé de la vaccination des mères, d’une année à l’autre. Ces résultats nécessitent néanmoins un complément de recherche pour déterminer les supports biologiques, potentiellement associés à la protection du veau.

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