En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK
0

L'arginine estérase spécifique de la prostate chez le chien : marqueur précoce de l'hyperplasie bénigne de la prostate chez le chien mâle âgé entier ?

Favoris Signaler une erreur
Thèse
H

Prunier, L.

VetAgro Sup

2019

118 p.

L-2019-106

Carnivore domestique ; Chien ; Pathologie de la reproduction ; Maladie de la prostate ; Marqueur biologique ; Arginine ; Diagnostic

Url / Doi : http://www2.vetagro-sup.fr/bib/fondoc/th_sout/dl.php?file=20...

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 106

Bibliographie : 139

Titre anglais : Canine prostatic specific arginine esterase : early marker of benign prostatic hyperplasia in the whole olde male dog

Chez le chien entier âgé, l’hyperplasie bénigne de la prostate est l’affection prostatique la plus fréquente : elle concerne 95% des chiens mâles entier de plus de 9 ans. Néanmoins, le processus biologique à l’origine de cette pathologie peut commencer dès l’âge de 1 an. A l’heure actuelle, de nombreux outils diagnostiques sont à la disposition des cliniciens mais le dépistage précoce de cette pathologie reste difficile car la majorité des chiens sont asymptomatiques, retardant ainsi son diagnostic. C’est dans ce contexte d’affection gérontologique fréquente et difficile à dépister en routine que s’inscrit l’intérêt de ce manuscrit. Depuis 2008, le dosage sérique de l’arginine estérase spécifique de la prostate chez le chien est rendu possible grâce au test Odelis® CPSE commercialisé par Virbac. Le but de ce travail est donc de déterminer si cette protéine est un marqueur précoce de l’hyperplasie bénigne de la prostate chez le chien mâle entier et d’évaluer l’intérêt du dosage sérique de cette protéine dans le dépistage précoce de cette pathologie. Ce manuscrit rappelle dans une première partie l’anatomie et la physiologie de la prostate canine afin de comprendre le fonctionnement de cet organe, unique glande sexuelle accessoire chez le chien. La deuxième partie est consacrée à l’hyperplasie bénigne de la prostate chez les chiens, dans laquelle sont décrits les mécanismes à l’origine de cette pathologie, ainsi que les démarches diagnostique et thérapeutique à mettre en place sur un animal affecté. Enfin, la troisième partie concerne l’arginine estérase spécifique de la prostate chez le chien.

Emprunt/Réservation

Y Réserver
Favoris Signaler une erreur