En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Filtrer

Filtrer

Type
Date
Auteur
Éditeur

Documents Léandri, J.M. 1 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
Les effectifs cumulés des neuf races de trait en France n'atteignent de nos jours qu'environ 32000 têtes alors qu'en 1900 ils constituaient l'essentiel des 2.903.000 individus recensés. La mécanisation de l'agriculture, de l'armée et plus largement de l'industrie, amorcée lors du premier conflit mondial et achevée à la fin des années soixante, explique en partie l'érosion des effectifs. Le marché de la viande chevaline s'est lentement dégradé et même s'il représente aujourd'hui le principal débouché, la consommation se limite à 33000 tonnes aujourd'hui. La traction pour le loisir rencontre un succès grandissant auprès du public mais ne s'est pas traduit pour l'instant par une relance de l'élevage du cheval de trait. Le maintien des effectifs à un niveau suffisant pour garantir ce patrimoine génétique implique de conserver les débouchés actuels et de trouver de nouvelles voies telles que la distribution du lait de jument ou la valorisation d'espaces agricoles peu productifs.[-]
Les effectifs cumulés des neuf races de trait en France n'atteignent de nos jours qu'environ 32000 têtes alors qu'en 1900 ils constituaient l'essentiel des 2.903.000 individus recensés. La mécanisation de l'agriculture, de l'armée et plus largement de l'industrie, amorcée lors du premier conflit mondial et achevée à la fin des années soixante, explique en partie l'érosion des effectifs. Le marché de la viande chevaline s'est lentement dégradé et ...

Lire plus | Réserver

Favoris Signaler une erreur