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Documents Sabourin, Léonie 1 résultats

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L'ingestion de baies n'est pas rare chez les animaux domestiques, et le vétérinaire ne sait pas toujours comment réagir face à cette situation. Nous avons réalisé une étude rétrospective des données du CAPAE depuis 2005 afin de comprendre quelle était la réelle importance des baies en toxicologie vétérinaire. Pour cela, nous avons analysé 496 appels (soit 3,6% des appels passés pour des plantes au CAPAE) rapportant l'exposition d'animaux à des baies. Parmi les espèces de plantes à baies les plus fréquemment incriminées, les plantes aux qualités ornementales et arbustives sont très représentées, avec notamment le laurier-cerise (18% des appels) ou le pommier d'amour (10%). Le chien est l'espèce la plus souvent impliquée (80,7% des appels), avec une prédominance des jeunes et très jeunes animaux. Les intoxications sont généralement de gravité limitée (80,2% des cas) et se traduisent majoritairement par des troubles digestifs, et notamment par des vomissements (61,2% des cas). Sept décès sont toutefois à déplorer. Les vétérinaires sont ainsi nombreux à contacter le CAPAE (42,1% des appels) afin de connaître la prise en charge à mettre en place lors d'une intoxication par des baies. Pour cette raison, nous avons réalisé 70 monographies des plantes à baies les plus couramment impliquées en toxicologie, accompagnées d'une illustration réalisée par nos soins pour 50 d'entre elles. Enfin, nous avons élaboré une clé d'identification pour aider le vétérinaire praticien à identifier ces espèces facilement.[-]
L'ingestion de baies n'est pas rare chez les animaux domestiques, et le vétérinaire ne sait pas toujours comment réagir face à cette situation. Nous avons réalisé une étude rétrospective des données du CAPAE depuis 2005 afin de comprendre quelle était la réelle importance des baies en toxicologie vétérinaire. Pour cela, nous avons analysé 496 appels (soit 3,6% des appels passés pour des plantes au CAPAE) rapportant l'exposition d'animaux à des ...

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