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Ce travail aborde dans une première partie bibliographique les généralités sur la lithogenèse, l'évaluation des risques de formation de calculs, l'épidémiologie et la prise en charge de l'urolithiase féline. Dans un second temps, une étude rétrospective portant sur 4 705 calculs urinaires prélevés chez les chats entre 2016 et 2021 en France et analysés par spectrométrie infrarouge est menée. Cette étude a pour objectif de présenter l'épidémiologie actuelle, de mesurer l'évolution des proportions des différents calculs depuis la dernière étude française, et de préciser les facteurs de risque liés à leur formation. De plus, elle envisage l'intérêt potentiel d'adapter la classification morpho-constitutionnelle en médecine vétérinaire. Chez les chats, les oxalates de calcium sont les calculs les plus fréquents, suivis de près par les struvites. En particulier, les chats de race tels que les Persans, Sacrés de Birmanie et British sont surreprésentés dans la population française féline présentant des calculs urinaires. Les chats européens, en revanche, présentent plus souvent des calculs de struvite. Les mâles et les chats plus âgés (en moyenne 8,2 ans) sont davantage affectés par les oxalates de calcium, tandis que les femelles sont plus touchées par les struvites. Les chats en surpoids sont surreprésentés dans les cas de calculs de struvite. Les données récoltées permettent d'établir une analyse multivariée afin de prédire la nature du calcul avant son analyse. Le nombre de calculs, leur taille, leur forme, ainsi que les caractéristiques morphologiques comme la consistance ou la couleur, varient en fonction de la nature du calcul.
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Ce travail aborde dans une première partie bibliographique les généralités sur la lithogenèse, l'évaluation des risques de formation de calculs, l'épidémiologie et la prise en charge de l'urolithiase féline. Dans un second temps, une étude rétrospective portant sur 4 705 calculs urinaires prélevés chez les chats entre 2016 et 2021 en France et analysés par spectrométrie infrarouge est menée. Cette étude a pour objectif de présenter l'ép...
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Une revue des données bibliographiques concernant les généralités sur les calculs urinaires (la lithogénèse, l'évaluation du risque de formation des calculs, l'épidémiologie), la présentation clinique, la démarche diagnostique et les principaux types d'urolithes rencontrés chez le chien est tout d'abord présentée. Une étude rétrospective de 6 700 calculs urinaires prélevés chez le chien entre 2016 et 2020 en France et analysés par spectrométrie infrarouge est réalisée pour mesurer l'évolution des proportions des différents calculs chez le chien depuis la dernière étude française et préciser leurs facteurs de risque, confronter les critères respectifs des calculs de whewellite et de weddellite et enfin envisager l'intérêt de l'utilisation ou de l'adaptation en médecine vétérinaire de la classification morpho-constitutionnelle. Chez le chien, 97,8 % des calculs proviennent du bas appareil urinaire. Les calculs de struvite sont plus fréquents que les calculs d'oxalate de calcium et les calculs de cystine sont plus fréquents que les calculs de purines. Les chiens de moins de 10 kg et les races de petit format sont surreprésentés, en particulier le Terrier du Yorkshire. Les chiens âgés de 4 à 11 ans, les chiens mâles et les chiens mâles non castrés sont surreprésentés. Les chiens en surpoids ne sont pas surreprésentés. Les chiens stérilisés sont sous-représentés. La race, la taille, le statut sexuel et l'âge sont des facteurs qui influencent la nature des calculs. Le nombre d'éléments, leur taille, leur forme, la couleur et l'aspect de leur surface et de leur section dépendent de leur nature. Un modèle de prédiction de la nature des calculs urinaires pourrait ainsi être envisagé. Parmi les calculs d'oxalate de calcium, les calculs constitués de whewellite sont très majoritaires. Ces résultats sont à rapprocher des données morphologiques de ces calculs puisqu'une conversion cristalline de la forme dihydratée en oxalate de calcium monohydraté est possible.
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Une revue des données bibliographiques concernant les généralités sur les calculs urinaires (la lithogénèse, l'évaluation du risque de formation des calculs, l'épidémiologie), la présentation clinique, la démarche diagnostique et les principaux types d'urolithes rencontrés chez le chien est tout d'abord présentée. Une étude rétrospective de 6 700 calculs urinaires prélevés chez le chien entre 2016 et 2020 en France et analysés par spectrométrie ...
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Ce travail porte sur l'intérêt de l'analyse des calculs urinaires du chien par diffraction X, pour leur diagnostic et leur étude pathogénique. A partir de 319 cas d'urolithiases spontanées, il apparait que les calculs urinaires du chien sont composes de phosphate ammoniaco-magnesien, de sels calciques, de cystine et enfin d'urate d'ammonium ou de sodium. La technique de diffraction a été comparée à d'autres techniques, en particulier à la spectrophotometrie infra-rouge et a une méthode chimique d'identification. Il ressort de cette comparaison que la méthode chimique choisie est a rejeter compte tenu des erreurs analytiques qu'elle entraine. En revanche, les résultats obtenus par spectrophotometrie infra-rouge sont comparables a ceux obtenus par diffraction x. A partir de cette étude analytique, les principaux mécanismes pathogéniques de formation des types calculeux isoles sont exposes. L'accent est mis principalement sur la relation structure-pathogénie-étiologie. Si les lithiases composées de struvite, de cystine, et d'urate ont une origine établie chez le chien, il n'en n'est pas de même des lithiases calciques.
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Ce travail porte sur l'intérêt de l'analyse des calculs urinaires du chien par diffraction X, pour leur diagnostic et leur étude pathogénique. A partir de 319 cas d'urolithiases spontanées, il apparait que les calculs urinaires du chien sont composes de phosphate ammoniaco-magnesien, de sels calciques, de cystine et enfin d'urate d'ammonium ou de sodium. La technique de diffraction a été comparée à d'autres techniques, en particulier à la ...
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