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La réussite du traitement de la maladie parodontale du chien dépend notamment de la qualité du polissage, réduisant les irrégularités de la surface dentaire. Cette étude est née d'un constat : l'absence de consensus dans la littérature vétérinaire conduit à une réalisation très variable du polissage d'un praticien à l'autre, allant jusqu'à son absence. Nous avons donc cherché à déterminer le temps de polissage minimum offrant un résultat satisfaisant via l'observation au MEB de surfaces de canines polies entre 0 et 20 secondes. Les résultats montrent qu'un polissage inférieur ou égal à 5 secondes par dent est insuffisant pour prévenir le retour du tartre. Une nette différence apparait néanmoins pour 10 secondes de polissage où les clichés obtenus sont comparables aux références humaines, correspondant ainsi à un objectif à atteindre en pratique. Enfin, si un polissage de 15 secondes est souhaitable, la pour-suite au-delà de 15 secondes n'apporte rien et risque d'altérer l'émail dentaire.[-]
La réussite du traitement de la maladie parodontale du chien dépend notamment de la qualité du polissage, réduisant les irrégularités de la surface dentaire. Cette étude est née d'un constat : l'absence de consensus dans la littérature vétérinaire conduit à une réalisation très variable du polissage d'un praticien à l'autre, allant jusqu'à son absence. Nous avons donc cherché à déterminer le temps de polissage minimum offrant un résultat ...

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