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Le mastocytome est la deuxième tumeur cutanée la plus fréquente chez le chat. Peu d'études sont disponibles concernant les facteurs pronostiques du mastocytome félin, ce qui a motivé la réalisation de ce travail. Notre étude rétrospective, réalisée sur 87 chats atteints de mastocytome, vise dans un premier temps à décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, histologiques et thérapeutiques de cette tumeur. Dans un second temps, une analyse statistique de survie est réalisée afin d'identifier des facteurs pronostiques. Deux formes de mastocytome sont distinguées : la forme cutanée, plus fréquente et généralement caractérisée par une masse cutanée unique bien délimitée, et la forme viscérale se traduisant par une atteinte de la rate ou des intestins. Notre étude a permis de confirmer certains facteurs pronostiques comme l'atteinte viscérale, la présence de certains signes cliniques au moment du diagnostic, le nombre de masses cutanées, la suspicion de métastases ganglionnaires ou viscérales et la mise en place d'un traitement, notamment une exérèse chirurgicale. D'autres paramètres étudiés comme l'index mitotique ou encore la localisation ne sont pas révélés comme facteurs pronostiques significatifs, contrairement à ce qui avait été mis en évidence par les précédentes études sur le sujet.
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Le mastocytome est la deuxième tumeur cutanée la plus fréquente chez le chat. Peu d'études sont disponibles concernant les facteurs pronostiques du mastocytome félin, ce qui a motivé la réalisation de ce travail. Notre étude rétrospective, réalisée sur 87 chats atteints de mastocytome, vise dans un premier temps à décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, histologiques et thérapeutiques de cette tumeur. Dans un second temps, une ...
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Le mastocytome est la tumeur cutanée la plus fréquente chez le chien. L'évaluation du pronostic par le vétérinaire est nécessaire pour la prise en charge de l'animal et pour la mise en place d'un traitement adapté ; cependant, celui-ci peut être difficile à évaluer. Le but de notre étude rétrospective sur 91 chiens concentrant des facteurs pronostiques péjoratifs, était d'évaluer certains facteurs pronostiques et notamment la localisation de la protéine KIT au sein des cellules, son lien avec la mutation du gène c-kit et le lien potentiel avec l'efficacité des traitements aux Inhibiteurs des Tyrosines Kinases. Notre étude a permis de confirmer certains facteurs pronostiques, comme les systèmes de gradings histologiques (notamment la combinaison des gradings de Patnaik et Kiupel), l'index mitotique et la localisation de la protéine KIT. Concernant la thérapeutique, cette étude a montré un effet délétère sur la survie des corticoïdes seuls pour traiter les mastocytomes cutanés canins. Cependant, elle n'a pas permis de confirmer un effet des traitements à base d'ITKs, quels que soient le statut mutationnel c- kit ou la localisation de la protéine KIT.
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Le mastocytome est la tumeur cutanée la plus fréquente chez le chien. L'évaluation du pronostic par le vétérinaire est nécessaire pour la prise en charge de l'animal et pour la mise en place d'un traitement adapté ; cependant, celui-ci peut être difficile à évaluer. Le but de notre étude rétrospective sur 91 chiens concentrant des facteurs pronostiques péjoratifs, était d'évaluer certains facteurs pronostiques et notamment la localisation de la ...
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Le sarcome histiocytaire canin est une tumeur très agressive pour laquelle aucun traitement n'est encore disponible. Bien que rare dans l'espèce canine, cette tumeur est très fréquente certaines races telles que le Bouvier Bernois, les Retrievers et le Rottweiler, où il peut être responsable de la moitié des décès rapportés au sein de la race. L'agressivité de la tumeur, couplée à un diagnostic souvent tardif permettent d'expliquer ce taux de mortalité élevé. La compréhension des mécanismes génétiques initiateurs de cette tumeur sont au centre de nombreuses études. Des mutations du gène PTPN11, à l'origine de la cancérisation des cellules, ont pu être mis en évidence chez le Bouvier Bernois dans différentes études. La disponibilité d'outils de diagnostic génétique précoce de la maladie est très importante pour la mise en place précoce d'un traitement anticancéreux. Toutefois, un diagnostic génétique n'est valable et fiable que si le gène muté recherché est spécifique de la maladie. La première partie de ce manuscrit décrit les données épidémiologiques et cliniques des cinq cancers les plus fréquemment diagnostiqués chez les chiens de race Bouvier Bernois, c'est à dire le sarcome histiocytaire, le mastocytome cutané canin, les sarcomes des tissus mous, le lymphome multicentrique et le mélanome, après avoir évoqué la prévalence des tumeurs au sein de cette race à l'international. La deuxième partie restitue les mutations génétiques décrites dans la littérature dans ces cinq tumeurs dans la race canine, avant de se concentrer sur le rôle du gène PTPN11 dans les cellules mais également sur les conséquences biologiques de ses mutations chez l'Homme et chez le chien. Enfin, la dernière partie présente les résultats de la partie expérimentale qui s'articule en deux temps. Le premier étant l'étude épidémiologique des tumeurs chez le Bouvier Bernois réalisée à l'aide des données issues du laboratoire d'Anatomie Pathologique Vétérinaire de Toulouse, LAPVSO. La deuxième étude s'articule autour de la recherche des mutations du gène PTPN11 dans les cinq tumeurs développées en première partie. Cette étude permet de confirmer la fréquence et la spécificité des altérations du gène PTPN11 dans le sarcome histiocytaire, altérations non significativement détectées dans les autres cancers étudiés. Ce travail a été réalisé en collaboration avec l'Institut de Génétique et de Développement de Rennes (UMR 6290-CNRS, équipe de génétique du chien) et LabOniris, du campus vétérinaire d'Oniris.
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Le sarcome histiocytaire canin est une tumeur très agressive pour laquelle aucun traitement n'est encore disponible. Bien que rare dans l'espèce canine, cette tumeur est très fréquente certaines races telles que le Bouvier Bernois, les Retrievers et le Rottweiler, où il peut être responsable de la moitié des décès rapportés au sein de la race. L'agressivité de la tumeur, couplée à un diagnostic souvent tardif permettent d'expliquer ce taux de ...
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Le mastocytome est la tumeur cutanée la plus fréquente chez les chiens. Le pronostic, lors de la découverte de ces tumeurs, est cependant difficile à évaluer par le vétérinaire afin de lui permettre de mettre en place la prise en charge de l'animal la plus adaptée. Le but de notre étude rétrospective sur 74 animaux concentrant des facteurs pronostiques péjoratifs, était d'évaluer un certain nombre de facteurs notamment la détection de la mutation ITD de l'exon 11 de l'oncogène c-Kit et l'effet d'un traitement à base d'Inhibiteurs des Tyrosine Kinase sur le pronostic. Notre étude a permis de confirmer certains facteurs pronostiques, comme les systèmes de gradings histologiques (notamment en combinant les systèmes de grading de Patnaik et de Kiupel), les index mitotiques et Ki-67, l'ulcération et le statut mutationnel c-Kit. En terme de thérapeutique, cette étude a montré un effet délétère sur la survie des corticoïdes seuls pour traiter les mastocytomes cutanés canin et confirmé un effet non significatif des traitements à base ITKs lorsque le statut mutationnel c-Kit est négatif. En raison du faible nombre de tumeurs au statut mutationnel c-Kit positif, l'impact du traitement à base d'ITKs sur le pronostic n'a pas pu être montré.
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Le mastocytome est la tumeur cutanée la plus fréquente chez les chiens. Le pronostic, lors de la découverte de ces tumeurs, est cependant difficile à évaluer par le vétérinaire afin de lui permettre de mettre en place la prise en charge de l'animal la plus adaptée. Le but de notre étude rétrospective sur 74 animaux concentrant des facteurs pronostiques péjoratifs, était d'évaluer un certain nombre de facteurs notamment la détection de la ...
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Avec l'augmentation de l'âge des animaux de compagnie dans les pays développés, les vétérinaires doivent gérer un nombre croissant de cas de cancers. Les alternatives thérapeutiques disponibles en clinique vétérinaire jusqu'en 2009 venaient pour la plupart de l'industrie pharmaceutique humaine et étaient peu adaptées à l'utilisation animale. Ces traitements anticancéreux, le plus souvent de nature chimiotoxique, étaient difficilement accessibles à la profession et délicats à manipuler, si bien que beaucoup de vétérinaires étaient réfractaires à leur utilisation. Par ailleurs, le niveau de connaissances en oncologie animale est toujours extrêmement hétérogène en Europe, et ce domaine n'est pour l'instant réservé qu'à des vétérinaires spécialisés. Ces observations sont autant de preuves de la nécessité d'un marché oncologique spécifiquement animal en Europe et témoignent d'un réel besoin exprimé par la profession vétérinaire vis-à-vis des laboratoires pharmaceutiques. Dans ce contexte, le laboratoire Pfizer Santé Animale a lancé en 2010 le Palladia™ (phosphate de tocéranib), molécule développée spécifiquement pour le chien, et faisant partie d'une nouvelle classe thérapeutique : les inhibiteurs des récepteurs à activité tyrosine kinase. Son effet bénéfique associé à peu d'effets secondaires a été démontré sur les mastocytomes cutanés de grade II et III récidivants ou non résécables, tumeur cutanée la plus représentée chez le chien. Notre étude précise la stratégie par phases de lancement successives chacune à destination d'une catégorie différente de vétérinaires telle qu'adoptée par Pfizer pour mieux accéder à ce marché naissant, tout en se distinguant de son concurrent direct AB Science. Dans cette aire thérapeutique plus que d'autres, la publication d'études apportant de nouveaux éléments sur l'utilisation multimodale des traitements est un facteur clef de succès. Au vu des parutions récentes, on peut raisonnablement penser que ce marché est un futur vecteur de croissance de l'industrie pharmaceutique vétérinaire au même titre que dans l'industrie pharmaceutique humaine.
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Avec l'augmentation de l'âge des animaux de compagnie dans les pays développés, les vétérinaires doivent gérer un nombre croissant de cas de cancers. Les alternatives thérapeutiques disponibles en clinique vétérinaire jusqu'en 2009 venaient pour la plupart de l'industrie pharmaceutique humaine et étaient peu adaptées à l'utilisation animale. Ces traitements anticancéreux, le plus souvent de nature chimiotoxique, étaient difficilement accessibles ...
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