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V
Ce travail porte sur l'intérêt de l'analyse des calculs urinaires du chien par diffraction X, pour leur diagnostic et leur étude pathogénique. A partir de 319 cas d'urolithiases spontanées, il apparait que les calculs urinaires du chien sont composes de phosphate ammoniaco-magnesien, de sels calciques, de cystine et enfin d'urate d'ammonium ou de sodium. La technique de diffraction a été comparée à d'autres techniques, en particulier à la spectrophotometrie infra-rouge et a une méthode chimique d'identification. Il ressort de cette comparaison que la méthode chimique choisie est a rejeter compte tenu des erreurs analytiques qu'elle entraine. En revanche, les résultats obtenus par spectrophotometrie infra-rouge sont comparables a ceux obtenus par diffraction x. A partir de cette étude analytique, les principaux mécanismes pathogéniques de formation des types calculeux isoles sont exposes. L'accent est mis principalement sur la relation structure-pathogénie-étiologie. Si les lithiases composées de struvite, de cystine, et d'urate ont une origine établie chez le chien, il n'en n'est pas de même des lithiases calciques.
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Ce travail porte sur l'intérêt de l'analyse des calculs urinaires du chien par diffraction X, pour leur diagnostic et leur étude pathogénique. A partir de 319 cas d'urolithiases spontanées, il apparait que les calculs urinaires du chien sont composes de phosphate ammoniaco-magnesien, de sels calciques, de cystine et enfin d'urate d'ammonium ou de sodium. La technique de diffraction a été comparée à d'autres techniques, en particulier à la ...
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