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Documents Ursus arctos 9 résultats

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L'objectif de cette étude était d'étudier les facteurs influençant la fin de la diapause embryonnaire chez l'ours brun de Scandinavie et les conséquences sur le succès reproducteur. Les événements d'hibernation et de reproduction de 31 femelles sauvages de deux régions de Suède ont été identifiés à l'aide des profils de température corporelle, d'activité et de données GPS. Puis les effets de facteurs intrinsèques et environnementaux sur le début de la gestation et la survie des oursons ont été étudiés à l'aide de modèles linéaires généralisés. La fin de la diapause embryonnaire est fonction de la latitude et est plus tardive au nord qu'au sud. L'absence de changement notable dans les dates de parturition au cours des 7 années d'étude suggère que l'indice utilisé est la photopériode. La condition corporelle et l'âge maternel sont aussi des facteurs déterminants, les subadultes ayant une parturition plus tardive et une probabilité plus élevée de perdre leurs oursons lorsque l'abondance en baies est faible l'été précédent. Enfin, les oursons qui ont survécu au cours de leur première année étaient âgés d'au moins 105 jours à la sortie de la tanière. Nos résultats suggèrent que les ours bruns de Scandinavie pourraient être affectés par le changement climatique et soulignent l'importance de comprendre l'impact des changements globaux sur la reproduction des populations sauvages afin d'adapter les efforts de gestion et de conservation en conséquence.[-]
L'objectif de cette étude était d'étudier les facteurs influençant la fin de la diapause embryonnaire chez l'ours brun de Scandinavie et les conséquences sur le succès reproducteur. Les événements d'hibernation et de reproduction de 31 femelles sauvages de deux régions de Suède ont été identifiés à l'aide des profils de température corporelle, d'activité et de données GPS. Puis les effets de facteurs intrinsèques et environnementaux sur le début ...

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Sur le massif pyrénéen, 4 000 exploitations pratiquent le pastoralisme et la transhumance afin de profiter des pâturages d'estive. Cela représente 620 000 herbivores, dont 518 000 ovins. L'ours brun (Ursus arctos) est un omnivore à spectre trophique large, opportuniste et doué de fortes capacités d'adaptation. Lors de la période estivale, l'ours fréquentant le même territoire que les cheptels transhumants, on observe un pic de déprédation sur les ovins. Afin de prévenir ce phénomène, un triptyque de protection (regroupement nocturne, chiens de protection et gardiennage renforcé) est indispensable, bien qu'il soit insuffisant pour stopper totalement la déprédation ursine. En 2019, les attaques d'ours ont été à l'origine de 1 173 animaux tués ou blessés dans les Pyrénées françaises. Elles créent un stress intense chez les ovins, responsable de fortes détériorations des performances de production et de reproduction. Les brebis prédatées appartiennent à des races anciennes et locales, à effectifs déjà fragiles. Enfin, les mesures de protection ont des impacts zootechniques non négligeables (limitation des durées de pâturage, perturbation du rythme naturel des brebis, accroissement des déplacements, pression sanitaire forte et chute de la productivité) mais aussi environnementaux (réduction de la couverture herbacée, développement d'espèces opportunistes, apport azoté et perte de la ressource fourragère sur les zones de parcage nocturne). L'abandon de certains quartiers aboutit à une diminution de la valeur pastorale herbagère à court terme, et à un envahissement par les ligneux à long terme, responsables d'une perte de biodiversité. Enfin, la prévention de la prédation et la gestion des attaques induisent une surcharge de travail, une augmentation des coûts et une diminution des revenus pour les éleveurs. Les bergers doivent affronter la souffrance et l'angoisse de la perte de leurs animaux. Un syndrome post-traumatique peut s'installer, pouvant aboutir à des troubles psychosomatiques ou comportementaux, tels que dépression et suicide. A terme, ces impacts socio-économiques peuvent entraîner une descente d'estive prématurée et même un abandon de la pratique du pastoralisme.[-]
Sur le massif pyrénéen, 4 000 exploitations pratiquent le pastoralisme et la transhumance afin de profiter des pâturages d'estive. Cela représente 620 000 herbivores, dont 518 000 ovins. L'ours brun (Ursus arctos) est un omnivore à spectre trophique large, opportuniste et doué de fortes capacités d'adaptation. Lors de la période estivale, l'ours fréquentant le même territoire que les cheptels transhumants, on observe un pic de déprédation sur ...

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