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Stabilisation intracapsulaire par un ligament artificiel bioactif pour le traitement de la rupture du ligament croisé antérieur chez le chien - Etude pilote

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Thèse
H

Ollier, Cindy

École nationale vétérinaire d'Alfort

2011

95 p.

A-2011-063

Ligament croisé antérieur ; Boiterie ; Ligament croisé ; Grasset ; Technique chirurgicale ; Carnivore ; Chien

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=1516

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 063

Bibliographie : 68

Titre anglais : Intracapsular stabilisation with a bioactive artificial ligament to treat anterior cruciate ligament ruptures in dogs – a pilot study

En ligne : Oui

Directeur de Thèse : Viateau-Duval, Véronique

Assesseur / Examinateur : Crevier-Denoix, Nathalie

Type de fond : Fonds contemporain

La rupture du ligament croisé antérieur (RLCA) est une des causes les plus fréquentes de consultation pour boiterie d’un membre postérieur en médecine vétérinaire. Plusieurs techniques chirurgicales sont actuellement utilisées pour la stabilisation du grasset lors de RLCA, mais toutes présentent un taux d’échec trop élevé, en particulier chez les chiens de moyen à grand format (plus de 10%). Les techniques de pose intra-articulaire de ligament artificiel, présentant historiquement un fort taux d’échec (ruptures et synovites), ne sont plus utilisées actuellement. Néanmoins, le ligament artificiel LARSTM a donné des résultats encourageants chez l’Homme et chez la brebis, ce qui nous a amené à l’utiliser dans une étude pilote chez le chien afin de vérifier la faisabilité de son implantation dans cette espèce et d’évaluer les résultats fonctionnels obtenus après implantation. Des ligaments LARSTM greffés avec du PolyNaSS ont été implantés sur cinq chiens présentés au CHUVA pour RLCA. Les résultats fonctionnels obtenus sont satisfaisants (3 cas) à très satisfaisants (2 cas) plus de six mois après l’intervention. Aucune complication majeure n’a été observée. Les complications mineures (3 cas) et les légères instabilités postopératoires (2 à 3 mm) observées sont en accord avec les données de la littérature chez l’Homme avec ce même ligament et chez le chien avec d’autres techniques. Une étude clinique prospective et comparative est d’ores et déjà prévue afin d’évaluer l’existence ou non d’un avantage réel de cette technique par rapport aux autres, notamment par rapport aux techniques d’ostéotomies tibiales.

Emprunt/Réservation

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