En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK
0

Prévalence des Chlamydiales chez les rapaces de l'Oregon : identification d'une Rhabdochlamydia

Favoris Signaler une erreur
Thèse
H

Jouffroy, Sophie

École nationale vétérinaire de Toulouse

2017

82 p.

T-2017-061

Prévalence des maladies ; Chlamydia psittaci ; Staphylococcus aureus ; Rhabdomyolyse ; Oiseau ; Rapace

Url / Doi : https://oatao.univ-toulouse.fr/19685/1/Jouffroy_19685.pdf

Localisation : Env Toulouse (Bibliothèque)

N° de thèse : 061

Bibliographie : 161

Titre anglais : Prevalence of Chlamydiales in Oregon raptors and identification of a Rhabdochlamydia

En ligne : Oui

En tant que prédateurs au sommet de la chaine alimentaire, les oiseaux de proie sont des témoins importants de la présence de microorganismes pathogènes dans les écosystèmes. En captivité, ils représentent un risque pour la santé du personnel soignant et des vétérinaires. Deux agents pathogènes nous ont particulièrement intéressés au cours de cette étude : Chlamydia psittaci et Staphylococcus aureus résistant à la Méticilline (SARM). Chez l’homme, toutes les souches de C. psittaci peuvent provoquer une psittacose. La présence de SARM chez la faune sauvage en général, et chez les oiseaux en particulier, n’est que peu décrite. Différentes études montrent cependant le potentiel zoonotique de cet agent. L’objectif premier de cette étude était de mesurer la prévalence de Chlamydia psittaci chez les oiseaux de proie dans l’Oregon. Des écouvillons naso-buccaux ont été réalisés sur 82 oiseaux lors de leur admission dans l’un des neuf centres de faune sauvage participants à l’étude. La présence de Chlamydia spp. et de « Clamydia-like Organisms » (CLO) a été déterminée par PCR 16S. L’autre but de cette étude était de mesurer la prévalence du SARM chez des oiseaux ayant séjourné au moins deux jours dans des centres de la faune sauvage et de la comparer à la prévalence de l’agent pathogène à l’admission. Aucun SARM n’a été isolé parmi les 68 échantillons prélevés ; ainsi, seule l’étude concernant Chlamydia psittaci sera développée dans ce manuscrit.

Emprunt/Réservation

Y Réserver
Favoris Signaler une erreur