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Imagerie comparée de la valve mitrale par tomodensitométrie chez la brebis, le porc et l'homme

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Thèse
H

Simmenauer, Liora

VetAgro Sup

2018

105 p.

L-2018-005

Animal de rente ; Porc ; Ovin ; Brebis ; Médecine humaine ; Homme ; Valve mitrale ; Tomodensitométrie ; Maladie cardiovasculaire ; Transplantation ; Imagerie médicale ; Modèle animal

Url / Doi : http://www2.vetagro-sup.fr/bib/fondoc/th_sout/dl.php?file=20...

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 5

Bibliographie : 38

Titre anglais : Comparative imaging of the mitral valve by computed tomography in sheep, pig and human

Ce travail a pour but d’étudier la morphologie de la valve mitrale, en particulier l’anneau mitral, au travers de l’examen tomodensitométrique, chez le Porc, la Brebis et l’Homme, afin d’en conclure quel serait le meilleur modèle animal. Nos résultats tendent à démontrer que la Brebis est le meilleur modèle animal, par rapport au Porc, pour l’Homme. Cependant certains biais ont été soulignés, qui amènent à moduler nos conclusions et invitent à des recherches complémentaires pour confirmer totalement le meilleur modèle.En outre, ce projet a également permis d’ouvrir de nouveaux horizons, notamment celui d’une étude dynamique sur de nombreuses phases du cycle cardiaque qui permettrait de comprendre les variations de morphologie de l’anneau mitral, au moyen de l’examen tomodensitométrique.Enfin, cette étude s’inscrit dans le cadre de la médecine humaine. Mais une fois mise en place chez l’homme , il serait alors tout à fait envisageable de calquer ces techniques de transplantation de valve chez l’animal de compagnie, qui est largement sujet aux maladies valvulaires. Seule l’étape de la conception des matériaux prothétiques compatibles en termes de taille restera à réaliser. La place affective de l’animal grandissante au sein du foyer ces dernières années, nous amène à penser que ce genre d’interventions seront amenées à se développer dans les prochaines années. D’autant plus que certains traitements par voie transcathéter sont déjà réalisés chez l’animal pour le traitement des sténoses pulmonaires ou de la persistance du canal artériel. Ce domaine constitue donc un vrai terrain d’avenir en médecine vétérinaire.

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