La mortalité néonatale chez le chiot reste encore aujourd’hui élevée (en moyenne 20% selon les auteurs). Les signes cliniques étant peu spécifiques lors d’affection néonatale, il pourrait être utile de recourir à des examens complémentaires parmi lesquels nous pouvons inclure les paramètres biochimiques et hématologiques. La première partie aborde le développement embryonnaire, foetal et les grandes modifications physiologiques chez le chiot durant ses huit premières semaines de vie. Nous avons également cité les travaux ayant abordé le sujet de notre travail. La deuxième partie concerne la description des matériels et méthodes de notre étude, puis présente les résultats observés, montrant des valeurs usuelles totalement différentes de celles observées chez l’adulte. Enfin, la troisième partie comprend la discussion autour de l’étude, des hypothèses d’explication des valeurs observées et aborde les différences raciales observées.